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4. Le prix doit il etre juste ?

Le prix doit il correspondre à la valeur de la chose ? Non. Il y a dans la vente romaine le dolus
bonus (bon dol). La vente est un ct de droit des affaires et dans la vie des affaires il est normal
de profiter de la faiblesse du coct. Deux exceptions
Le mineur : protection de deux manière, par une loi de 193 av JC la lex laetoria. Cette loi
decide que le mineur ne sera protégée que s’il y a intention dolosive de la part de son coct cad
s’il voulait effectivement le tromper.
Le coct est condamné à une amende et subit aussi une infamie (mauvaise réputation) , blame
infamant mais la vente n’est pas annulée donc protection imparfaite.
Le preteur améliore cette protection, il protège le mineur contre toute lesion est involontaire et
permettre l’annulation de la vente.
La protectionoit etre demandé par le mineur lui-même.

- Du à Diolétien à la fin du III e siècle, il décide de protéger le vendeur d’immeuble


Le droit romain considère qu’on peut vendre sous contrainte économique et donc à de
mauvaise condition mais on est jamais obligée d’acheter.
La protection du vendeur d’immeuble s’explique par une pression foncière de la part de
ptaires à la tete de grands domaines, les potentes cherchant à acheter les terres des paysans,
les humiliores.
La lesion ne sera prise en compte que si elle est enorme. C une lesion qui dépasse la miotié de
la valeur de la chose.
Dans le code civil, la lésion est sanctionnée que si elle est egale au 7/12e

Si la lesion est constatée , le vendeur et pas l’acheteur peut soit demander la rescision de la
vente ( annulation pour cause de lésion) ou alors il réclame un complément au juste prix.

Le vendeur peut aussi reclamer le complément du juste pris ( le comlément pour arriver àç la
miotié de la valeur de la chose.

Le code civil reprend ce méanisme de la lésion et se montre plus exigeant puisque la lésion
doit etre des sept douzième.
Dans le code civil c l’acheteur qui a le choix entre demander le ùmaintient de la vente ou son
annulation

C. Le consentement dans la vente

C l’echange des consentement qui forme le contrat de vente. Ce consentement il doit d’abord
emaner de personnes capables.
Le mineur ne peut aps passer une vente mais ac l’aide de son tuteur
La femme mariée ne peut aps non plus mais idem ac l’aide d’un tuteur ( un tiers)

Pour marquer l’echange des consentments deux moyens ( romains prennent precaution car
peur consentiualisme)

1.Le versement d’arrhes


Ces arrhes correspondent à une somme d’argent soit elevée soit symbolique. Il est possible de
remettre un objet personnel, un anneau.
Cet usage vient de la pratique des fianvcailles. Le fiancée remet une bague pour honorer sa
promesse.
Dans le vente remise d’un anneau pour marquer la force de la promesse ou de vendre.
Quand les consentments sont echangés la vente est formée

Ces arrhes sont deux valeurs :


Valeur probatoire de l’echange des consentments : expression du consentement définitif.
Les arrhes ont aussi une valeur pénitentielle : Les arrhes ocnstituent un moyen de sortir du
contrat en abandonnant la somme qui a été versée. Valeur de dédommagement payée au coct
et de pénitence.
Cette valeur pénitentielle n’était pas automatique en droit romain, il fallait ajouter un une
clause dans le contrat, la lex commissoria ( le pacte commisoire ou clause résolutoire)
Cette clause permet de renoncer au contrat, d’obtenir la résolution du ct. Cette clause permet à
lo’une ou l’autre des aprties de sortir du contrat. L’acheteur verse les arrhes ( dans ce cas son
montant sera elevée), il peut alors sortir du contrat en abandonnant les arrhes…
Le vendeur a recu les arrhes, il peut lui aussi sortir du contrat en les restituant au double
( restitution de le somme qu’il a recu en doublant la somme)
Dans le système romain les parties peuvent doubler les arrhes afin que soit le vendeur soit
l’achteur soit les deux peuvent sortir du contrat.
Aujourd’hui on parle de vente ac faculté de dédie quand une suele des aprties peut sortir du
contrat.
On parle de vente ac versement d’arrhes quand les parties sont placées à eglité et que l’une et
l’autre peuvent sortir du contrat.

2. La vente par ecrit

Au cours de l’epoque classique , l’usage s’est répndue de prouver la vente apr la redaction d’u
ecrit, l’instrumentum. Cet ecrt devait ùentionner la date de la vente. On remettait cet ecrit à
l’acheteur qui poouvait s’en servir pour justifier lke paiment du prisx et pour exiger le
paiment de la chose.
Au cours du bas empire l’ecrit est de plus en plus employé si bien que sous Justinien on
distingue deux types de vente, la vente consensuelle traditionnelle. Cettte vente se forme par
l’echange des consentements.
Et la vente apr ecrit, c une vente dans laquelle les aprties vont decider à l’avance de donner
une force importante à l’ecrit. Cet ecrit va servir à deux choses :
- il n evas aps former la vente mais la rend parfaite :
Lortsque l’ecrit sert seulement à la perfection de la vente, c très utile lorsque le saprties
souhaitent préciser ultérieurment les conditions matérielles de l’execution de leur obligation

- l’ecrit sert à former lka vente et à la rendre parfaite


C une dénaturation de la vente romaine. L’ecrit va servir alors à la formation et à la
perfection. Elle permet une phase de pourparler très longue, les parties peuvent sortir du
contrat.
La vente entre absents.
Dans ce cas, cet écrit doit présenter certianes qualités. Il doit mentionner la chose et le prix, il
ne doit pas être un brouillon doit etre un txt rédigé au propre ( Justinien), il doit mentionner la
présence d’un témoin auprès du vendeur et d el’acheteur.)
III. Les obligations essentielles des parties

Ce sont des obligations inhérentes à la vente : l’obligation de livrer et d epayer

Question : la vente par écrit :1.Vente consensuelle


Etape 1 : echange consentement forme la vente et la rend
parfaite c'est-à-dire qu’on peut demander l’exécution de la vente en justice à partir de la.

2. Vente par écrit

Echange des consentements forme le ct, la elles sont engagées l’une et l’autre mais la
perfection se trouve au moment de la rédaction de l’ecrit on prévoira à cette étape les
conditions matérielles de l’exécution de l’obl ( car le vendeur ne peut aps s’en défaire mtnt ou
l’acheteur ne peut aps le recevoir), c’est à partir de la redaction d’un ecrit que le recours en
justice est possible pour l’exécution des obligations.
Ici celui qui se retire de la vente avant rédacton d’un ecrit devra des d et i….
2e utilisation de l’ecrit : le consetement n’engage à rien, c’est l’ecrit qui liera les aprties ( et
prévoira eventuellement les conditions matérielles d’exécution.

2 obligations dans la vente : obligation de payer :actio venditi


obligation de livrer : actio empti

A. Obligation de payer le prix

Obligation de dare prescium : obligation de transfert de pté portant sur le prix. Il s’opère
par la formalité de la traditio (l’argent étant une res nec mancipi) : remise de la main à la
main sans témoin permettant de transférer pté des choses non précieuses
Si l’acheteur n’accompli pas son obligation en justice, il devra à l’issu du procès
rembourser le prix de vente.
Dans toute une série de situation, l’acheteur devra payer plus que le prix de vente :
- l’aménagement contractuel de la vente : les parties se sont entendus pour que
l’acheteur retarde la prise de livraison, le vendeur conserve la chose un certain temps
avant la livraison. L’acheteur devra rembourser au vendeur toutes les dépenses
engagées pour la conservation de la chose. Il supporte toutes les dépenses qu’il aurait
supportées s’il avait pris immédiatement la livraison de la chose.
Ex : les frais de funérailles pour l’esclave mort après la vente mais avant la livraison.. C
l’acheteur qui supporte les frais car s’il avait pris directement après la vente l’esclave c lui
qui aurait payé les funérailles
- la faute de l’acheteur, il tarde à payer en ayant déjà reçu la possession de la chose.
Dans ce cas, à partir de l’échéance prévu pour le paiement, l’acheteur est « mora »
c'est-à-dire mis en demeure. Il devra des d and i pour le retard, il devra des dommages
et intérêts « moratoires » du pour le retard.
- Faute de l’acheteur prenant tardivement possession de la chose. Dans ce cas,
l’acheteur va payer en plus du prix, tous les frais de gardes de la chose.
- Lorsque la vente par écrit se développe, c’est l’acheteur qui en plus du prix va payer
les frais de rédaction de l’ecrit

L’action venditi est dite incertaine pour le paiement. On ne peut pas savoir à l’avance
quelle somme précise l’acheteur va devoir payer en raison des exceptions cu dessus on ne
pourra pas savoir quelle somme il paiera exactement…

B. L’obligation de livrer la chose


Deux sous obligation

1. Obligation de conserver la chose

Pendant qu’il conserve la chose le vendeur demeure propriétaire mais il a un droit de propriété
vié de sa substance parce qu’en raison du contrat le vendeur ne peut plus exercer son droit de
propriété sur la chose, il n’a pas l’usus, il ne peut pas s’en servir, il n’ a aps le fructus ni
l’abusus pour vendre à un autre que l’acheteur. Si le vendeur contrevient à ses obligations
l’acheteur peut former contre lui une action fondé sur le dol, c une actio empti fondé sur le
dol.
Le contrat de vente est un contrat de bonne foi si pas bonne foi, dommages et intérêts

Théoriquement en tant que propriétaire le vendeur conserve le droit de vendre le bien à qui il
veut. En effet le vendeur peut transférer la pté à un autre car il ne transfère que la possession à
l’acheteur. Mais en pratique il ne peut pas le faire, car en transférant la pté il ne pourrait pas
délivrer la possession. L’acheteur pourrait dans ce cas, faire une action fondée sur le dol.

Le vendeur est responsable de sa faute dolosive, de tous ses actes mal intentionnés
Reste à savoir si le vendeur est engagé au delà de son dol. Il s’agit de mesurer l’étendu de
l’obligation contractuelle du vendeur

En droit romain trois degrés de responsabilités :


- la faute dolosive
- le cas fortuit : si la chose vendue disparait, l’esclave volé par un tiers, l’esclave fuguant
- la force majeure : la chose détruite par la foudre ou lors d’un naufrage, par une incursion de
pirates, la guerre

Le vendeur a la garde de la chose et sa responsabilité est étendu au cas fortuit. Le vendeur


n’est aps responsable en cas de destruction de la chose par la force majeure ( cf théorie des
risques)

Le vendeur supporte une responsabilité très elevée, très certainement parce qu’il demeure
ptaire de al chose ( la chose est encore en sa possession, ol ne l’as aps livrer)
2. Obligation de livrer la chose

a . L’étendu de la chose à livrer

Parfois le vendeur devra livrer un peu plus que la chose. Il doit le faire dans deux hypothèses,
le vendeur doit livrer tout ce qui fait parti de la chose.
Le vendeur qui vend une maison doit livrer ac la maison tous les tuyaux, toute l’installation
hydraulique installées de manière définitive dans la maison. En fait tous les biens immeubles
par destination devront être livrés.
Le vendeur doit livrer tous les accessoires de la chose. Tout ce que la chose a pu produire
depuis la jour du contrat, les fruits produit pas la chose (enfant d’une esclave, les alluvions
accroissant la surface du terrain)

b. La délivrance de la possession de la chose

Le vendeur doit seulement mettre l’acheteur en possession de la chose vendue et lui assurer
une possession paisible, durable et inexpugnable. La possession étant un droit reelle, il faut
qu’un cérémonie vienne compléter le contrat, la traditio.
La traditio sert à transférer la possession des res mancipi et res nec mancipi, mais elle ne
permet seulement de transférer la pté sur les res nec mancipi.

Ainsi quelque soit la qualité du bien le vendeur devra mettre en œuvre une traditio. Cette
traditio doit conférer es droits suffisants à l’acheteur, des droits supérieur à ce que les tiers
peuvent faire valoir sur l’acheteur.
Le véritable propriétaire, soit le vendeur soit autrui ne doit pas venir menacer l’acheteur
possesseur. Possession inexpugnable : impossibilité de se voir déposséder par un autre. IL y a
la une garantie contre l’éviction.

Ce principe de transfert de possession permet de faciliter le commerce entre citoyens mais


surtout entre citoyens et pérégrins.
Ce qu’on veut eviter est le transfert de la propriété quiritaire. Il y a à Rome trois formes
d’appropriation d’un bien.
A l’origine n’existait en droit romain que la propriété quiritaire réservée au citoyen romain, ne
pouvant porter que sur les res mancipi. Pour la transférer, il faut s’acquitter d’une mancipatio.

-Le préteur va reconnaitre une autre propriété, la propriété prétorienne protégeant au départ
les citoyens ayant acquis une res mancipi. La mancipatio n’a pas pu etre faire ( mancipation
inexistante ou non valable, un des témoins n’est pas citoyen, donc pas de pté quiritaire)
L’acheteur citoyen va voir le préteur pour exposer la situation et invoquer sa bonne foi.
La propriété prétorienne ne suppose plus la mancipatio pour exister, les citoyens et pérégrins
vont pouvoir en profiter. Ctte pté va porter aussi sur les res nec mancipi, il faut au moins la
remise de la chose une traditio.

-Au dernier degrès la possession, l’ind ne fait que détenir matériellement la chose appelée
corpus. Vente du contact matérielle ac le bien. La pté put se passer de contact mais pas la
possession.
La possession comprend aussi l’animus c'est-à-dire la volonté de garder la chose.

Conflit entre ptaire et possesseur


Il s’agit d’eviter au vendeur de transférer le trnasferer la pté quiritaire car cette pté limite la
vente à des citoyens, à certaines choses ( on veut pouvoir aussi vendre des choses non
précieuses)
Ce transfert de pté necessite une mancipation, formalité complexe faisant perdre tps, mauvais
pour l’economie.

En +212, Caracalla accorde la citoyenneté romaine à tous les habitants de l’empire.


A cette epoque res man et nec manc n’a plus vraiment de logique. On maintient le transfère de
la seule possession ( on aurait pu généraliser transfert pté quiritaire)
-Ce transfert règke une pb de preuve : le vendeur transfert la pté doit prouver qui est lui-même
ptaire, il doit prouver qu’il a acheter au véritable ptaire. Le vendeur du vendeur doit lui aussi
prouver qu’il a acquis au véritable ptaire….il faut prouver une chaine translative de pté, une
chaine initerrompue de pté. Cette chaine est nommée la probatio diabolica. On veut eviter
cette preuve apr transfert possession.

Dans le droit français contemporain « possession vaut titre »→présomption de propriété


En matière d’immeubles, la succession de tous les ptaires sont inscrits sur un registre, la
cadastre…

- C e transfère de possession permet de vendre la chose d’autrui, le droit romain ne


connait pas de mécanisme de représentation. Un epartie ne peut agir pour une autre en
raison du formalisme ( les parties directement engagées doivent etre présentes).
-Le domaine de la vente est considérablement étendue, la possession peut exister entre
toutes personnes et porter sur toute chose.
-Cette possession suffit car elle transfère tous les avantages de la pté. L’acheteur
possesseur est protégé par le préteur qui met à sa disposition, les interdis possessoires.
Interdis possessoires : possesseur menacée par une personne dans sa possession, il va voir
le préteur qui va interdir à quiconque de porter atteinte à sa possession.

Le transfert de possession avantage le vendeur. L’acheteur transfère la propriété du prix


mais ne reçoit que la possession de la chose. Toutefois en raison du caractère de bonne foi
du ct de vente, l’acheteur va presque toujours devenir ptaire. Généralement il devient
ptaire par l’ecoulement du temps ( usucapio : fait de prendre par l’usage, 1an pour les
meuble et deux ans pour les immeubles)
Da,s certains cas, l’acheteur va pouvoir demander immédiatement dès la conclusion de la
vente la transfère de pté
Si la ptaire abandonne ses biens mobiliers pendant trop longtemps se voit donc retirer la
pté.

Vendeur ditoyen ayant la pté


Acheteur citoyen
Res mancipi
Le vendeur va pouvoir choisir de transférer la pté
Si l’acheteur a un doute transfert immédiat de pté

Citoyen pérégrins
Res nec mancipi
Traditio
Si procès fromé par une tiers par un tiers contestant les droits de l’acheteur.
Le droit romain accorde une valeur supérieur à la traditio.
La traditio n’a servi qu’a transférer la possession mais aurait pu transférer la pté, on
accode donc une valeur supérieure à la pté, cette traditio est appelée tradition ex justa
causa

M présent
Se laisser aller, vers l’inconssient

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