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Exercice 1

1) a) Module et argument de 1 + i√3 affixe zA du point A.


Par exemple :
De façon évidente, on a : 1 π 3 π
1 Th.1 : = cos et = sin .
3  th.1  π π 2 3 2 3
1 + i√3 = 2  + i  = 2  cos + i sin 
2 2   3 3
On en déduit (th.2) le module | zA| et un argument arg zA de zA : Th.2 : avec r > 0 et θ réel
| zA| = 2 et arg zA = π/3. z = r(cos θ + i sin θ) ⇔ |z| = r et arg z = θ.

b) Forme (exponentielle) re avec r > 0 et θ réel compris entre -π et π de zA.
Par exemple :
 π π
Sachant que z A = 2  cos + i sin  , on en déduit (th.3) l’écriture Th.3 : avec r > 0 et θ réel
 3 3
π (forme trigonométrique) z = r(cos θ + i sinθ) ⇔
i π iθ
exponentielle de zA : zA = 2 e 3 , et ici on a bien est compris entre -π et π. (forme exponentielle) z = re .
3
c) Dessin de A : voir plus loin.
Remarque : l’intention du concepteur est certainement de faire réaliser une construction « exacte », c’est-à-dire « règle-
compas ».
2) a) Ecriture sous la forme (exponentielle) reiθ (avec r > 0 et θ réel compris entre -π et π) de l’affixe zB du point B, image de A
π
par la rotation de centre O et d’angle .
3
Par exemple :
i
π
i
π
i
2π Th.4 : le point P’ d’affixe z’ est l’image du point P d’affixe z
On a : zB = e 3 zA (th.4) et zA = 2 e 3 donc (th.5) zB = 2 e 3 et par la rotation de centre O et d’angle a ⇔ z’ = eiaz

ici on a bien est compris entre -π et π.
3 Th.5 : pour tous a et b réels eiaeib = ei(a+b)
b) Ecriture algébrique de l’affixe zB du point B.
Par exemple :
i
2π Th.6 : lignes trigonométriques des arcs ou angles associés
On a : zB = 2 e 3 donc (ths.3, 6) zB = −1 + i 3 (un cercle trigonométrique peut être utile)

c) Dessin de B : voir plus loin.


3) Nature du triangle OAB.
Par exemple :
π
donc OB = OA et
Sachant que B est l’image de A par la rotation de centre O et d’angle
3
n = π (en radians), donc OAB est isocèle « d’angle au sommet » π , il est donc équilatéral.
AOB
3 3
π
i
4) a) Transformation géométrique telle que le point C soit l’image de A, sachant que zc = zA e 4 .
Par exemple :
π π
i i
On a : zc = zA e 4 donc zc = e 4 zA, donc (th. 4) C est l’image de A par la rotation
π
de centre O et d’angle .
4
b) Dessin de C : voir plus loin.
c) Ecriture trigonométrique de zC .
Par exemple :
π π π π 7π
i i i +  i
On a : zc = zA e 4 et zA = 2 e 3 donc (th.5) zC = 2 e  4 3
= 2e 12 donc (th.3)
 7π 7π 
zC = 2  cos + i sin  .
 12 12 
 2 2
d) Preuve que zc = zA  +i  et écriture algébrique de zC.
 2 2 
Par exemple :
i
π π
i ths.3, 7 2 2  2 2 2 π 2 π
On a : zc = zA e 4 et e 4 = +i donc zc = zA  +i . Th.7 : = cos et = sin
2 2  2 2  2 4 2 4
2− 6 2+ 6 Th.8 : i2 = -1.
Par ailleurs, zA = 1 + i√3, donc (th.8) zc = +i
2 2
7π 7π
e) Valeurs exactes de cos et de sin .
12 12
Par exemple :
7 π th.3
i  7π 7π  7π 7π
On a : zc = 2e 12 = 2  cos + i sin  = 2 cos + i × 2sin et zc
 12 12  12 12
Th.9 : a, b, a’, b’ étant des réels
2− 6 2+ 6 a +ib = a’ + ib’ ⇔ a = a’ et b = b’
= +i
2 2
7π 2− 6 7π 2+ 6
donc (th.9 et calcul) cos = et sin = .
12 4 12 4

Les dessins de A, B et C :
Exercice 2

A. Première stratégie

1) L’ensemble des réponses possibles


Un arbre permet d’obtenir cet ensemble : réponses possibles
B (B, B, B)
B
C (B, B, C)
B
B (B, C, B)
C
C (B, C, C)

B (C, B, B)
B
C (C, B, C)
C
B (C, C, B)
C
C (C, C, C)

Il y a donc 8 réponses possibles.

2) Probabilité de ne faire aucune erreur.


L’événement A « ne faire aucune erreur » est constitué du seul (B, B, B), Th.1 : dans le cas d’équiprobabilité,
donc (th.1) p(A) = 1/8. nbre éléments de A
p(A) =
nbre cas possibles
3) Probabilité de faire une et une seule erreur.
L’événement B « faire une et une seule erreur » est constitué de (B, B, C),
(B, C, B) et (C, B, B) donc (th.1) p(B) = 3/8.
4) a) Ensemble des valeurs prises par X.
Un tableau permet de trouver les valeurs prises par X
ω (B, B, B) (B, B, C) (B, C, B) (B, C, C) (C, B, B) (C, B, C) (C, C, B) (C, C, C)
X(ω) 6 3 3 0 3 0 0 0
D’où l’ensemble des valeurs prises par X : {0 ; 3 ; 6}.
b) Loi de probabilité de X, représentée sous la forme d’un tableau
On a (ths. 2, 1) th.2 : p(X = a) = p({ω/ X(ω)= a})
p(X = 0) = p{(B, C, C), (C, B, C), (C, C, B), (C, C, C)} = 4/8
p(X = 3) = p{(B, B, C), (B, C, B), (C, B, B)} = 3/8
p(X = 6) = p{(B, B, B)} = 1/8
D’où le tableau :
a 0 3 6
P(X = a) 4/8 3/8 1/8
c) Espérance de la variable aléatoire X
On a (th. 3) E(X) = 0×4/8 + 3×3/8 + 6×1/8 = 15/8 = 1,875. n
th.3 : E(X) = ∑ a i p(X = a i ) .
i =1

B. Deuxième stratégie
Le raisonnement est analogue à la partie A.
1) L’ensemble des réponses possibles
Un arbre permet d’obtenir cet ensemble : réponses possibles
B (A, B, B)
B
C (A, B, C)
A
B (A, C, B)
C
C (A, C, C)

Il y a donc 4 cas possibles.


2) a) Les valeurs possibles de Y sont de façon évidente 0, 1 et 4.
b) La loi de probabilité de Y est donc
a 0 1 4
P(Y = a) 1/4 2/4 1/4
c) D’où l’espérance de Y :
E(Y) = 0×1/4 + 1×2/4 + 4×1/4 = 6/4 = 1,5.

C. Du point de vue de l’espérance, la première stratégie est plus favorable au candidat que la deuxième.
Problème

Partie A
A propos de la fonction auxiliaire g, avec pour tout x, g(x) = 2ex + 2x + 3.
1) Sens de variations de g.
On a (th.1), pour tout x, g’(x) = 2ex + 2, Th.1 : pour tout x, (ex)’ = ex
donc (th.2 et somme de nombres positifs), pour tout x, g’(x) > 0, Th.2 : pour tout x, ex > 0
donc g est strictement croissante sur R.
2) a) La fonction g s’annule une et une seule fois sur [-2 ; -1].
On a g(-2) = 2e-2 – 2 donc g(-2) < 0, et g(-2) = 2e-1 + 1 donc g(-1) > 0. Th.3 : si une fonction f est strictement monotone
Par suite (th.3) g s’annule une et une seule fois en un nombre α de ]-2 ; -1[. et dérivable sur [a ; b] et si f(a)f(b) < 0 alors f
s’annule une et une seule fois sur ]a ; b[.
b) Arrondi de α au dixième.
Encadrement de α à 10-2, avec une calculatrice : -1,69 < α < -1,68. On prendre -1,7 comme arrondi de α au dixième.
c) Signe de g.
On sait que g(α) =0.
La fonction étant strictement croissante sur R, pour tout x > α, g(x) > 0
et pour tout x < α, g(x) < 0.

Partie B
Soit f, définie sur R telle que f(x) = 2ex + x2 + 3x.
1) Calcul de la limite de f en +∞.
Par exemple : Th.4 : limite d’une somme, d’un produit de
On a (ths. 4,5) lim f ( x ) = 2 lim e x + lim x 2 + 3 lim x = +∞ fonctions dans les cas distincts des formes
x →+∞ x →+∞ x →+∞ x →+∞
indéterminées.
Th.5 : lim e x = +∞
x →+∞

2) Calcul de la limite de f en -∞.


Par exemple : Th.6 : lim e x = 0
On a (ths. 4,6) lim f ( x ) = 2 lim e x + lim x(x+3) = +∞
x →−∞
x →−∞ x →−∞ x →−∞

3) Position de Cf par rapport à la parabole P d’équation y = x2 + 3x au voisinage de -∞.


a) Calcul de la limite de f(x) – (x2 + 3x) en -∞.
Par exemple :
On a f(x) – (x2 + 3x) = 2ex d’où (ths. 4,6) lim f ( x ) – ( x 2 + 3x ) = lim 2e x = 2 lim e x = 0
x →−∞ x →−∞ x →−∞

b) Déduction graphique du résultat précédent.


En étendant le th.7 à f(x) – (x2 + 3x), on en déduit que la courbe Th.7 : a et b étant deux réels, si lim [ f (x) − (ax + b) ] = 0
d’équation y = x2 + 3x (c’est à dire P) est asymptote à Cf au x →−∞

voisinage de -∞. alors la droite d’équation y = ax + b est asymptote à Cf au


De façon « imagée », Cf est « infiniment proche » de P au voisinage de -∞.
voisinage de -∞.
c) Position de Cf par rapport à P.
Par exemple :
On a f(x) – (x2 + 3x) = 2ex d’où (th.2) f(x) – (x2 + 3x) > 0 donc Cf est toujours au-dessus de P.
4) Etude des variations de f.
a) Dérivée de f.
Par exemple :
On a f(x) = 2ex + x2 + 3x d’où (th.1) f’(x) = 2ex + 2x + 3 = g(x).
b) Tableau des variations de f.
En utilisant les questions A1)c), B1), B2) et B4)a), on peut construire le tableau suivant
Valeurs de x -∞ α +∞
Signe de f’(x) – 0 +
Variations de f(x) +∞ f(α) +∞
c) Valeur approchée de f(α).
Par exemple :
On a f(α) ≈ f(-1,685) ≈ -1,844.
5) Equation de la tangente T à Cf au point d’abscisse 0.
Par exemple : Th.8 : l’équation de la tangente à Cf au point d’abscisse a est
L’équation de T est (th.8) : y – f(0) = f’(0)(x – 0) donnée par : y – f(a) = f’(a)(x – a).
Or (th.9) f(0) = 2 et f’(x) = 5 Th.9 : e0 = 1
Soit ici y – 2 = 5x
D’où sous forme réduite, l’équation de T : y = 5x + 2.
6) Tracé de T et de Cf, P étant déjà représentée (ici en pointillés).
La courbe Cf est représentée en « gras ».

Partie C

1) La partie est « à l’intérieur » de la ligne rouge.


2) a) Calculer le nombre A d’unités d’aire de la partie représentée.
Par exemple : Th.10 : si f est dérivable et positive sur [a ; b], alors le
0,5 0,5 nombre U d’unités d’aire de la partie délimitée par
∫ f (x)dx = ∫ (2e + x + 3x)dx
x 2
En utilisant le théorème 10, A =
0 0 Cf, l’axe des abscisses et les droites d’équations x = a
Donc (ths. 11, 1, 9) b

 x3 x2 
0,5
1 3 19
et x = b est donné par : U = ∫a
f (x)dx .
A =  2e x + + 3  = 2e0,5 + + − 2 = 2e0,5 − . Th.11 : Si F est une primitive de f sur [a ; b], alors
 3 2 0 24 8 12
f (x)dx = [ F(x)]a = F(b) – F(a)
b

b
a

b) Aire, en cm2, de la partie représentée et valeur approchée au centième de cette aire.


19
L’unité d’aire vaut 4 cm2 donc l’aire représentée est égale à 8e0,5 − cm2.
3
On peut prendre 6,86 cm2 comme valeur approchée.

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