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PROJET
TUTORÉ
Inspection Académique
de la Haute-Vienne
Licence Professionnelle – IUT du Limousin – Session 2003
Nous remercions également notre tuteur, Monsieur Stéphane MERILLOU, pour ses
conseils et ses mises en gardes.
REMERCIEMENTS.................................................................................................................... 3
SOMMAIRE ................................................................................................................................ 4
INTRODUCTION ....................................................................................................................... 7
IV) Problèmes lors de la migration de l’application ACCESS en une base MySQL :...... 36
1) Problèmes que nous avons rencontrés lors de la migration des données de
MS ACCESS vers MySQL :.................................................................................. 36
2) Problèmes les plus rencontrés, en général, lors de la migration des données
d’une base Microsoft ACCESS vers une base MySQL :....................................... 36
CONCLUSION.......................................................................................................................... 60
ANNEXE 1 ................................................................................................................................ 62
ANNEXE 2 ................................................................................................................................ 65
L’Inspection Académique de Limoges est chargée de tenir à jour les bases de données
ayant des relations avec l’enseignement scolaire, notamment au niveau du primaire.
Or, de nombreuses activités sont organisées pour les élèves, et elles nécessitent l’intervention
de personnes qui accompagnent et encadrent les écoliers.
Ainsi, elle doit gérer l’ensemble des intervenants extérieurs qui participent aux activités des
élèves (sorties extérieures, piscine…).
Ainsi, les écoles concernées sont recensées par circonscription (Bellac, Limoges, Saint-
Yrieix).
On peut identifier les projets existants, et de ce fait la nature des activités qui sont proposées.
Les intervenants sont également archivés par un numéro et leurs coordonnées personnelles.
De plus, l’application gère aussi les interventions de ces intervenants (date, circonscription,
école concernée, intervenant, nature de l’activité).
Tout ceci se présente sous la forme d’une interface graphique simple et efficace.
Les utilisateurs ont également la possibilité de visualiser et d’imprimer des états selon des
critères définis (par exemple : liste des écoles par circonscription).
Les autres utilisateurs sont les responsables des différentes circonscriptions (Bellac et
Saint-Yrieix) qui doivent venir à Limoges pour également saisir leurs données et consulter la
base de données.
Une fois que cela est fait, ils n’ont plus qu’à faire leur choix parmi les opérations qui
leurs sont proposées :
L’application GIE2000 a été développée avec Microsoft Access 97, en juin 2002 par
une stagiaire en BTS Informatique de Gestion du Lycée Suzanne Valadon.
Elle a ensuite été retravaillée par Monsieur CUBAUT pour en arriver à son état actuel.
Nous pouvons constater que l’application GIE2000 est orientée autour de trois tables
majeures :
! la table « INTERVENANT » qui permet de stocker toutes les données
personnelles concernant un intervenant (nom, prénom, numéro
d’agrément…),
Autrement, nous pouvons dire qu’un intervenant est spécialisé dans une discipline, et
qu’il ne peut intervenir que dans sa circonscription.
Toutefois, il peut interagir dans de nombreuses interventions.
Une intervention n’existe que si elle a été demandée par une école, qu’elle a un
organisme support, un projet, et un intervenant.
Le premier serveur héberge donc l’application GIE2000 ainsi que la base de données
contenant les informations nécessaires.
Configuration de sauvegarde :
! RAID 1 logiciel pour la partition de données
b) Serveur WEB :
Configuration de sauvegarde :
! RAID 1 matériel pour la partition système
! RAID 5 matériel pour la partition des données
GIE2000 est une application départementale gérant les intervenants extérieurs lors des
activités des élèves (sorties…).
Comme nous l’avons vu précédemment, trois circonscriptions sont concernées par cette
application : Bellac, Limoges et Saint-Yrieix.
Actuellement, lorsque que les responsables des circonscriptions veulent modifier les
données de la base, ou tout simplement les consulter, ils sont obligés de venir dans les locaux
de l’Inspection Académique à Limoges pour accomplir ces tâches.
Ce fonctionnement est une perte de temps pour ces responsables.
Aussi, le souhait de Monsieur CUBAUT serait de pouvoir rendre accessible les données
de l’application GIE2000 (située sur un serveur local Windows 2000) depuis le serveur Web
(sous Linux) de l’Inspection Académique, pour pouvoir y accéder dans un premier temps
depuis l’Intranet, et dans un second temps en fonction des résultats obtenus, depuis le site
internet de l’Inspection Académique.
Toutefois, une des recommandations de Monsieur CUBAUT est de trouver une solution
économique, voire gratuite, pour son administration.
Une fois le sujet défini et compris, nous nous sommes mis aux recherches.
Il nous a tout de même fallu un moment pour arriver à trouver des solutions opérationnelles.
Au total, nous avons totalisé quatre solutions que nous avons par la suite soumises à Monsieur
CUBAUT.
Cette solution consiste à établir un lien direct du serveur Web LINUX vers la base
ACCESS de l’application GIE2000 située sur le serveur Windows 2000.
Cette solution est réalisable à l’aide d’un procédé de type « ODBC Bridge » (Pont ODBC), ou
« Socket Server ».
Pour rappel :
Cette solution permet de créer « un pont d’ODBC » entre le serveur Web et la base de
données ACCESS, comme le montre le schéma suivant :
La solution que nous avons trouvé est une solution payante : Easysoft ODBC-ODBC
Bridge.
En effet, l’entreprise EasySoft est spécialisée dans la conception de pont ODBC entre des
stations à plateformes différentes (Windows, Linux…) et des bases de données diverses
(Microsoft ACCESS, ORACLE, SQLServer…)
MS-Access Browser
| |
ODBC/ADO www server
| |
socket server<------------------------------->PHP
XML Data
Windows Machine Linux Machine
Du fait qu’elle soit soumise à la licence GNU (donc solution libre et gratuite), son
avancement est plutôt lent et à l’heure où est relié ce dossier, seule la partie serveur a été
développée.
La seconde solution consiste à mettre en place une autre base de données qui sera
visible de l’intranet de l’Inspection Académique, puis de synchroniser les informations de cette
nouvelle base avec celles de l’application ACCESS. La synchronisation se fera par
l’intermédiaire d’un lien ODBC entre les SGBD.
Cette base de données devra donc être attaquable par des pages PHP qui seront distribuées par
le serveur Apache déjà en place sur le poste LINUX.
a) Première variante :
L’autre base de données est stockée sur le serveur LINUX et dans ce cas on devra
trouver un SGBDR compatible avec les plates-formes de type UNIX.
L’autre base de données est stockée sur le serveur applicatif NT et dans ce cas, on devra
trouver un SGBDR attaquable depuis le serveur LINUX.
Cette solution n’est pas forcément la plus simple et encore moins la plus rapide.
Elle consiste tout bonnement à adapter et refondre en pages PHP les formulaires de saisie, les
états… de l’application MS ACCESS GIE2000, et à migrer les données sous une base de
données MySQL.
En revanche, avec cette solution, il n’y a plus aucun problème de liaisons de tables ou
de réplication des bases de données puisque toutes les informations se retrouvent sur le serveur
Linux : en effet, on obtient avec cette méthode un véritable Intranet de type client/serveur.
En premier lieu, il faut noter que le choix des solutions s’est effectué par rapport au
besoin de l’Inspection Académique, mais également par rapport à des points soulevés par
Monsieur CUBAUT, à savoir :
! il fallait choisir une solution gratuite,
! éviter de configurer tous les postes du réseau local,
! tenir compte du fait que le serveur applicatif était quasiment saturé en capacité
de stockage.
Voyons maintenant les solutions qui ont été rejetées et pour quelles raisons.
b) Socket Server :
! La seconde raison est une raison de sécurité des données : le poste LINUX
dispose d’un système de sauvegarde en RAID 5 matériel en opposition au
serveur applicatif NT qui ne met en œuvre qu’un système de mirroring
(RAID 1) logiciel.
Cependant, comme nous l’a fait remarqué Monsieur CUBAUT, cette solution ne tient
pas compte de certaines exigences en matière d’ergonomie de l’interface cliente. En effet, il est
plus facile de mettre en place un système d’impression de données basé sur des états à partir
d’ACCESS qu’à partir de pages PHP. En particulier en ce qui concerne les états au format
paysage. De plus, il souhaitait conserver au maximum la partie cliente de son application
développée sous ACCESS 2000. Nous avons donc également éliminée cette solution
Les logiciels de SGBDR pour plate-forme UNIX ne manquent pas, ils sont même très
nombreux, performants et souvent même gratuits ! ! !
Monsieur CUBAUT n’était pas très enthousiaste à ce que l’on penche pour une solution
INFORMIX étant donné que ce logiciel commençait à tomber peu à peu en désuétude et donc
serait de moins en moins utilisé en ce qui concerne les services de l’éducation nationale.
Nous avons donc opté pour une solution MySQL.
Nous procèderons de la manière suivante : nous allons utiliser l’utilitaire MyODBC afin
de faire pointer l’application ACCESS vers la base MySQL par l’intermédiaire de liaisons de
tables créées sous ACCESS.
MyODBC est le pilote ODBC utilisé pour accéder à un serveur MySQL. Il est
disponible sur de nombreuses plates-formes dont :
Cette opération requiert la création d’une base de données MySQL dont la structure
correspond parfaitement à celle de la base ACCESS GIE2000.
De plus, il faudra configurer le serveur MySQL de manière à ce qu’il accepte des connexions
provenant d’autres postes que le serveur.
On devra développer un module de consultation des données sous forme de pages PHP.
! contrainte de sécurité des données améliorée (étant donné que le poste LINUX
est équipé d’un RAID 5 matériel et que le serveur NT est équipé uniquement
d’un RAID 1 logiciel),
Étudions la configuration matérielle dont nous disposions pour faire nos tests.
a) Câblage utilisé :
Concernant le câblage que nous avons utilisé, il est des plus simples : vu que nous
disposions de deux ordinateurs pour simuler les serveurs, et que nous ne disposions pas de
concentrateur (HUB), nous nous sommes servi d’un câble RJ-45 croisé.
Ensuite, nous avions besoin d’un ordinateur pour installer notre serveur Linux.
Ses caractéristiques sont les suivantes :
! Processeur : AMD K6-2 450 Mhz
! Mémoire : 64 SDRAM 66mhz
! Disque dur : 6Go 5400tr
Enfin, il nous a fallu un poste pour simuler le serveur applicatif NT. Pour cela, nous
avons utilisé un de nos postes de travail dont les caractéristiques principales sont :
! Processeur : AMD DURON 600 Mhz
! Mémoire : 256 SDRAM 133mhz
! Disque dur : 10Go 5400tr
d) Remarque :
Nous n’utilisons pas un matériel doté d’une grande puissance afin que les tests de
performance ne soient pas faussés par la puissance de chaque machine et d’autre part, parce
que nous n’en avons pas les moyens.
Pour notre serveur Linux, nous avons une installation comme suit :
! Système d’exploitation : Linux RedHat 7.1
! apache_1.3.27.tar.gz
! mysql-3.22.32.tar.gz
! php-4.2.2.tar.gz
! phpMyAdmin-2.3.2-php.tar.gz
c) Remarque :
Seuls Windows 2000 professionnel et Microsoft Access 97 ne sont pas gratuits ; tous
les autres logiciels utilisés sont en libre accès.
1) Installation de Linux :
La première des choses est d’installer le système d’exploitation. Dans notre cas, il s’agit
de la distribution Linux RedHat 7.1.
Nous avons réalisé une installation des plus classiques, à savoir :
make Compilation
cd /etc/rc.d/rcX.d
ln -s /usr/local/mysql-3.22.xx/support-files/mysql.server S08mysql
Ainsi, MySQL sera lancé automatiquement à chaque démarrage.
ln -s /www/bin/apachectl S09apache
Avec cette commande, le serveur Apache sera exécuté à chaque démarrage.
Il faut rajouter les deux lignes suivantes au fichier /www/conf/httpd.conf pour permettre
au serveur Apache de reconnaître les pages PHP et de les interpréter en tant que telles.
a) Installation :
Nous avons d’abord du créer un répertoire « adminbase » dans /www/htdocs puis lui attribuer
les droits nécessaires.
Voici les commandes que nous avons exécutées :
$cfg['PmaAbsoluteUri'] = 'http://localhost/adminbase';
Celle-ci permet de préciser l’URL du répertoire où se trouve PhpMyAdmin.
Rappelons que MyODBC est le pilote ODBC utilisé pour accéder à un serveur MySQL.
Il est disponible sur de nombreuses plates-formes dont :
En ce qui concerne notre projet, nous avons installé la version 2.50.39 pour Windows
NT de MyODBC.
Ce n’est pas la dernière version, celle-ci étant la 3.51, mais c’est la plus stable du pilote.
Tout d’abord, la boîte de dialogue d'installation permet de choisir les drivers ODBC à
installer sur l’ordinateur. MyODBC ne propose que le driver pour MySQL. On le sélectionne.
Une fois le driver ODBC pour MySQL installé, il s'agit maintenant d'ajouter puis de
configurer une source de données pour se connecter à une base MySQL. Dans la boîte de
dialogue Data Source, on choisit donc « Add... », afin d'ajouter une source.
La base de données « mysql » sur un serveur MySQL est la base dans laquelle sont
définies toutes les permissions et droits d’accès aux différentes bases.
Remarque : les manipulations décrites ci-dessous sont valables lorsque l’on utilise l’interface
graphique PhpMyAdmin mais l’on peut également les effectuer en lignes de commande (en
faisant des requêtes INSERT sur les tables « host » et « user »).
Pour tester que les deux bases de données communiquent bien ensemble, il nous faut
les lier.
Ainsi, la dernière étape consiste à créer des liaisons de tables.
a) Synchronisation :
Dans ce cas, nous conservons l’indépendance des bases de données : si une des base de
données vient à être défaillante, les données sont toujours disponibles sur l’autre.
Toutefois, cette solution présente deux inconvénients :
! pour mettre à jour les deux bases, nous devons les synchroniser par le biais de
routines plus ou moins complexes, et de plus, pas en temps réel,
! nous avons une redondance des données, d’où une perte de capacité de stockage
sur les disques du serveur.
Conclusion :
Pour ces raisons, et sachant que le serveur applicatif NT ne dispose plus de beaucoup d’espace
disque, nous n’avons pas retenu cette solution.
La liaison de tables consiste à créer un lien entre les tables de l’application GIE2000
sous MS ACCESS et les tables correspondantes de la base de données MySQL.
! d’économiser de la capacité de stockage sur les disques des serveurs, puisque les
données, bien que visibles depuis la base de données ACCESS, ne sont
réellement stockées que sur le serveur LINUX,
Conclusion :
Aussi, et en tenant compte des remarques de Monsieur CUBAUT (diminution de l’espace
disque du serveur applicatif NT, et sécurité par système RAID5 sur le serveur Linux contre du
RAID1 pour le serveur NT), nous avons opté pour cette solution.
! Tout d’abord, nous avons simulé une panne de réseau en déconnectant le câble
RJ-45.
La connexion ne s’est pas établie et le message d’erreur est le suivant :
! Ensuite, nous avons simulé une panne du serveur MySQL en stoppant le service
« mysqld ».
De même, la connexion ne s’est pas établie et nous avons obtenu le même
message d’erreur que ci-dessus.
! Nous avons simulé une panne du serveur Apache en arrêtant le service « httpd ».
La connexion s’établit sans difficulté.
Lorsque nous avons mis en place, en test, la migration des données, nous avons dû faire
face à certains problèmes.
Aussi, voici quelques astuces pour y remédier.
! il vaut mieux cocher « Return Matching Rows ». Cela est conseillé lorsque la
source de données est un logiciel de type Microsoft (EXCEL, ACCESS, SQL
SERVER, etc…)
Lorsque l’on s’est décidé pour migrer les données, par l’intermédiaire de tables liées,
d’une base Microsoft ACCESS vers une base de données MySQL sur un serveur UNIX ou
même sur un serveur Microsoft (car la cohabitation entre les deux formats de bases de données
n’est pas impossible !), un des points les plus importants est de s’assurer que les types de
champ de la base ACCESS sont bien reconnu et ont une correspondance dans la base MySQL.
En effet, bien que cette opération soit relativement simple à effectuer, c’est en général à
cause des conversions de types que l’on se retrouve avec des erreurs.
! La première chose consiste à vérifier que votre table est bien construite, et donc
si elle possède bien une clé primaire,
! Lorsqu’un champ est de type « NUMAUTO » sous Access, il est très fortement
conseiller de le transformer en champ de type « INT » afin d’éviter les erreurs.
! Sous Windows NT, Access retournera les champs de type « BLOB » comme
des objets « OLE OBJECTS ».
! Dans certains cas, Access peut générer des requêtes SQL illégales, que MySQL
ne peut pas comprendre. On peut corriger cela en sélectionnant l’option
« QUERY | SQLSPECIFIC | PASS-THROUGH » dans le menu d’Access,
Enfin, il se peut que l’on ait à modifier la structure d’une table MySQL liée à une base
Access. On doit alors mettre à jour la liaison de la table.
! Sinon, pour les autres versions, il faut supprimer la table liée et rétablir la
liaison.
1) Description :
Tout d’abord, nous nous sommes beaucoup servi de l’application GIE2000 existante,
notamment au niveau des états.
Enfin, nous avons dû, selon les souhaits de Monsieur CUBAUT, respecter le graphisme déjà
établi par les stagiaires précédents, et ce, en utilisant les feuilles de styles existantes.
2) Organisation du site :
Les variables de connexion, sont stockées dans un fichier à part. Ce fichier est inclus
pour chaque connexion.
Connexion.php
<?
$host="localhost"; Les pages PHP sont situées sur le même
poste que le serveur de base de données
$user="root"; Super Utilisateur mysql
$pwd="..........."; Mot de passe mysql
$database="GIE2000"; Base de données
?>
Il est nécessaire de disposer les différents résultats sous formes de pages dans les menus
« éditer » et « rechercher », car il peut y avoir plus de mille résultats suivant les requêtes.
Les résultats sous formes de pages sont récupérées à partir d’une seule variable : $page.
if (!empty($HTTP_POST_VARS["page"])) $page=$HTTP_POST_VARS["page"];
else $page=1;
Pour optimiser les résultats, il est nécessaire d’effectuer deux requêtes différentes : une
pour calculer le nombre de résultats, et une pour récupérer les résultats de la page.
1- Première requête :
$req0=mysql_query($sql0, $cc);
2- Deuxième requête :
Ex : LIMIT 100, 20
On affiche ensuite les résultats obtenus, puis la page en cours et des liens vers la
première page, la page précédente, la page suivante et la dernière page.
Pour la plupart des éditions de données, il est possible de récupérer les requêtes à partir
de l’application Access. On édite une liste en mode création et on récupère sa source. On
modifie légèrement la requête pour la rendre valide pour Mysql (INNER JOIN à remplacer).
Sur l’application intranet, il y a quatre différents types d’édition : lister les intervenants,
les interventions, les écoles et les organismes. Tous les types d’édition d’Access sont repris.
Des fonctionnalités ont été rajoutées par rapport à Access. « Trié par » et la possibilité
d’éditer uniquement la partie qui nous intéresse. Par exemple, pour la liste des intervenants par
écoles, il est possible de trier par nom d’intervenant ou par numéro d’agrément, et de choisir un
sigle et une école en particulier.
Il est possible de lister les interventions par cadre intervention, de lister les projets liés à
une intervention et les projets non liés.
3- Résultats :
Les variables « trié par » et les choix possibles sont transmis sur les différentes pages.
Exemple avec « Lister les intervenants par école, trié par nom intervenant, sigle : EMC, école :
indifférent »
$sigle=$HTTP_POST_VARS["sigle"];
$ecole=$HTTP_POST_VARS["ecole"];
$oderby=$HTTP_POST_VARS["orderby"];
$sql1 = $sql11.$sql12.$sql13.$sql14
$req1=mysql_query($sql1, $cc);
4- Rechercher :
! Rechercher un intervenant :
A partir du menu « rechercher » ou « éditer », il est possible d’avoir des détails sur les
intervenants, les interventions et les écoles.
Une école est définie par un projet, une école, un intervenant et les cadres
d’interventions s’il y en a. Il est possible d’avoir plus de détail sur l’école et l’intervenant
associés.
Cette phase va nous permettre de tester notre solution sur les serveurs de tests mis à
notre disposition par le service informatique de l’Inspection Académique.
D’une part, elle va nous permettre de valider les deux phases précédentes (analyse et
prototypage).
D’autre part, elle nous confronte aux réalités de l’entreprise :
! obligation de résultat,
! mise en place d’une solution adaptée et optimisée,
! respect du délai,
! respect de certaines contraintes initiales.
7- Remarque importante
Si ce logiciel est installé sur le serveur, on crée la structure de la base Mysql qui va
accueillir les données de l’interface ACCESS. Cette méthode se réalise par l’interface
graphique de phpMyAdmin.
La procédure est la suivante :
" création de la base par interface graphique
" vérification de la structure
La source SQL être un fichier texte contenant les requêtes SQL permettant de créer
uniquement la structure de la base MySQL. On doit réinjecter les requêtes de création de
structure contenues dans le fichier au serveur MySQL.
La procédure est la suivante :
" connexion au serveur MySQL (on exécute les requêtes contenues dans le
fichier en redirigeant son contenu vers l’entrée standard du serveur
MySQL) :
./mysql -u root -pmot_de_passe- < «nom_du_fichier_SQL »
" puis, on se reconnecte à MySQL pour voi si les opérations ont bien été
effectuées :
./mysql -u root -pmot_de_passe-
" on se connecte à la base GIE créée afin de vérifier si toutes les tables ont
été créées :
mysql> connect GIE2000
On liste toutes les tables de la base :
mysql> show tables
mysql>
La base mysql sur un serveur MySQL est la base dans laquelle sont définies toutes les
permissions et droits d’accès aux différentes bases.
Remarque :
Les manipulations ci-dessous sont décrites lorsque l’on utilise l’interface phpMyAdmin mais
on peut également les effectuer en mode texte (en faisant des requêtes INSERT sur les tables
« host » et « user »).
c) Les mêmes manipulations que ci-dessus mais en mode texte (au cas
où l’utilitaire phpMyAdmin ne serait pas installé sur le serveur) :
//On tape et on exécute la première requête correspondant à l’insertion dans la table « host »
mysql> insert into host values
mysql> (‘192.168.0.2’,’GIE2000 ‘,’y’,’y’, ...etc)
mysql> ;
(On ne met à ‘y’ uniquement les privilèges qui sont nécessaires)
a) Installation de MyODBC :
La boîte de dialogue d'installation permet de choisir les drivers ODBC à installer sur la
machine. MyODBC ne propose que le driver pour MySQL. On le sélectionne.
Une fois le driver ODBC pour MySQL installé, il s'agit maintenant d'ajouter puis de
configurer une source de données pour se connecter à une base MySQL. Dans la boîte de
dialogue Data Source, on choisit donc « Add… » afin d'ajouter une source.
REMARQUES IMPORTANTES : penser à appliquer les conseils vus lors des tests de fiabilité
de transmission de MyODBC.
On effectue des requêtes d’insertion en mode QBE ACCESS afin de transférer les
données des tables ACCESS GIE2000 directement dans GIE MySQL par l’intermédiaire des
liaisons de tables.
a) Optimisation du code :
! Première amélioration :
! Seconde amélioration :
! copier le dossier contenant les pages PHP dans le répertoire contenant les autres
sites de l’Intranet,
! définir les bons droits sur le dossier du site : le mieux est de mettre les mêmes
que pour les autres sites du dossier,
Pour sauvegarder la base GIE2000 du serveur MySQL, il existe deux solutions majeures :
Le thème de notre projet tutoré nous a permis de faire des recherches dans plusieurs
domaines, à savoir : les environnements de Microsoft avec Windows et UNIX avec Linux, les
bases de données (sous Microsoft et Unix), la mise en place de pages Web dynamiques avec le
langage PHP…
De plus, bien que le projet soit aujourd’hui fonctionnel, il est toujours possible d’y
apporter des améliorations.
Ainsi, rien n’interdit de développer des pages PHP de saisie pour remplacer les
formulaires de saisie de l’application ACCESS GIE2000.
De ce fait, à terme, la base de données du serveur applicatif NT pourra être supprimée
et on obtiendra un vrai système client/serveur.
--
-- Table structure for table 'annee_agrement'
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-- Dumping data for table 'annee_agrement'
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-- Dumping data for table 'archive'
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-- Table structure for table 'cadre_intervention'
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-- Dumping data for table 'cadre_intervention'
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-- Table structure for table 'circonscription'
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-- Dumping data for table 'circonscription'
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-- Table structure for table 'code'
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-- Dumping data for table 'code'
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-- Table structure for table 'discipline'
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-- Dumping data for table 'discipline'
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-- Table structure for table 'ecole'
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-- Dumping data for table 'ecole'
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-- Table structure for table 'intervenant'
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--
-- Dumping data for table 'intervenant'
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-- Table structure for table 'intervention'
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--
-- Dumping data for table 'intervention'
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-- Dumping data for table 'liaison'
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-- Table structure for table 'organisme_support'
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--
-- Dumping data for table 'organisme_support'
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-- Table structure for table 'projet_pedagogique'
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--
-- Dumping data for table 'projet_pedagogique'
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-- Dumping data for table 'sauvegarde'
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--
-- Table structure for table 'sigle'
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--
-- Dumping data for table 'sigle'
--
--
-- Table structure for table 'utilisateur'
--
0. PREAMBLE
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C. State on the Title page the name of the publisher of the
Modified Version, as the publisher.
D. Preserve all the copyright notices of the Document.
E. Add an appropriate copyright notice for your modifications
adjacent to the other copyright notices.
F. Include, immediately after the copyright notices, a license notice
giving the public permission to use the Modified Version under the
terms of this License, in the form shown in the Addendum below.
G. Preserve in that license notice the full lists of Invariant Sections
and required Cover Texts given in the Document's license notice.
H. Include an unaltered copy of this License.
I. Preserve the section Entitled "History", Preserve its Title, and add
to it an item stating at least the title, year, new authors, and
publisher of the Modified Version as given on the Title Page. If
there is no section Entitled "History" in the Document, create one
stating the title, year, authors, and publisher of the Document as
given on its Title Page, then add an item describing the Modified
Version as stated in the previous sentence.
J. Preserve the network location, if any, given in the Document for
public access to a Transparent copy of the Document, and likewise
the network locations given in the Document for previous versions
it was based on. These may be placed in the "History" section.
You may omit a network location for a work that was published at
least four years before the Document itself, or if the original
publisher of the version it refers to gives permission.
K. For any section Entitled "Acknowledgements" or "Dedications",
Preserve the Title of the section, and preserve in the section all
the substance and tone of each of the contributor acknowledgements
and/or dedications given therein.
L. Preserve all the Invariant Sections of the Document,
unaltered in their text and in their titles. Section numbers
or the equivalent are not considered part of the section titles.
M. Delete any section Entitled "Endorsements". Such a section
may not be included in the Modified Version.
N. Do not retitle any existing section to be Entitled "Endorsements"
or to conflict in title with any Invariant Section.
O. Preserve any Warranty Disclaimers.
5. COMBINING DOCUMENTS
You may combine the Document with other documents released under this
License, under the terms defined in section 4 above for modified
versions, provided that you include in the combination all of the
Invariant Sections of all of the original documents, unmodified, and
list them all as Invariant Sections of your combined work in its
license notice, and that you preserve all their Warranty Disclaimers.
The combined work need only contain one copy of this License, and
multiple identical Invariant Sections may be replaced with a single
copy. If there are multiple Invariant Sections with the same name but
different contents, make the title of each such section unique by
adding at the end of it, in parentheses, the name of the original
author or publisher of that section if known, or else a unique number.
Make the same adjustment to the section titles in the list of
Invariant Sections in the license notice of the combined work.
6. COLLECTIONS OF DOCUMENTS
You may make a collection consisting of the Document and other documents
released under this License, and replace the individual copies of this
License in the various documents with a single copy that is included in
the collection, provided that you follow the rules of this License for
verbatim copying of each of the documents in all other respects.
You may extract a single document from such a collection, and distribute
it individually under this License, provided you insert a copy of this
License into the extracted document, and follow this License in all
other respects regarding verbatim copying of that document.
8. TRANSLATION
9. TERMINATION
You may not copy, modify, sublicense, or distribute the Document except
as expressly provided for under this License. Any other attempt to
copy, modify, sublicense or distribute the Document is void, and will
automatically terminate your rights under this License. However,
parties who have received copies, or rights, from you under this
License will not have their licenses terminated so long as such
parties remain in full compliance.