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D’abord je remercier toutes les personnes qui ma donner l’aide

pour avoir participer aujourd’hui devant vous est j’ai l’honneur d’être parmi
vous.

Je dédie mon travail :

A
Maman avant tous.

Mon Père.

Mr OUSSALEM ABDALLAH.

Mr EDDIA SIDI BRAHIM.

Toutes les encadrants et les formateurs de L’ISGI LAAYOUNE.

Et ou stagiaires de la TSGE II.

Rapport de Fin de Formation 1 TSGE II


Au terme du présent rapport qui me soit permis d’adresser ma
reconnaissance et mes vifs remerciements au Directeur de phosboucraa
qui ma donner l’occasion d’effectuer mon stage de pratique au sein du
service approvisionnements et marché.

Mes remerciement s’adresse également au chef du service


approvisionnements et marché Mr MOHAMED BOUSLALAH et le personnel
de la section commandes MM. MOUMSIK, CHAWKI, SIDI et ASFIRI et a toutes
les personnes qui ont bien voulu me consacrer leurs temps lors de la
collecte d’information et de l’impression, de ce rapport.

Et bien sur pour toutes les personnes qui son toujours disponible pour
assurer notre démarche professionnel est qui sont vous exactement les
encadrants de L’ISGI.

Rapport de Fin de Formation 2 TSGE II


Rapport de Fin de Formation 3 TSGE II
La formation est un élément principal dans la qualification des
individus, et la pratique de ses constituants théoriques est une partie
indissociable de la formation professionnelle au sein de l’Office de
Formation Professionnelle et de la Promotion du Travail (OFPPT).
C’est dans ce cadre que l’Institut Spécialisé de Gestion et
d’Informatique (ISGI) insiste sur le suivi de la politique des stages pratiques
au profit de ses stagiaires en vue d’obtenir une main d’œuvre qualifiée.
En effet, le stage a pour but de :
 Concrétiser les connaissances professionnelles
théoriques.
 Avoir de nouveaux acquis.
 Découvrir le monde de travail.
 Faire une comparaison entre la théorie et le réel.
Cela permet au stagiaire d’améliorer son niveau, de découvrir le
milieu professionnel, d’augmenter sa capacité d’adaptation avec les
techniques de travail, et ainsi être capable de faire face aux exigences du
marché.

Rapport de Fin de Formation 4 TSGE II


Le minerai du phosphate fut découvert en 1917 dans la région se
situant entre LABROJ et OUED-ZEM.
En vue d’exploiter cette richesse nationale, l’OCP fut créé en 1920.
Une année après (1921), fut donné le premier coup de pioche, et ainsi le
début de l’exploitation des phosphates au Maroc.
Les premiers indices de phosphate au sud du Maroc furent découverts
en 1947 par un géologue espagnol, et les recherches étaient attribuées à
une entreprise nommée l’ENDARO autorisée par l’INI (Instituto Nacional de
Industria). Ces recherches ont atteint les secteurs : OEUD ABADILA, SAKIA
EL HAMRA, OUED EL ZAT…

Rapport de Fin de Formation 5 TSGE II


PHOTO: Mourad Cherif, directeur
général de L’OCP

Le Groupe Office chérifien des Phosphates (OCP) investira 10,3 milliards Dh d’ici à 2009. Ses
objectifs tracés pour la période 2005-2009 sont jugés réalisables par le Premier Ministre. La
politique de recherche de partenaires industriels à l’international, adoptée par le groupe, a fait
sa preuve.

Le Groupe OCP investira 10,3 milliards de dirhams d’ici à 2009. Ce budget


d’investissement est ventilé entre investissements miniers (notamment à
Youssoufia, Khouribga et Boucraâ/Laâyoune), investissements de
transformation chimique (aux ports de Safi et Jorf Lasfar) et renouvellement
de deux navires chimiques de Marphocéan.

« L’approche suivie pour la réalisation de ces projets d’investissement,


consiste à la réalisation des travaux par lots séparés au lieu de « clé en
mains ». Cette approche crée des opportunités exceptionnelles pour le
développement des PME-PMI nationales et des possibilités de création ou de
préservation d’emplois », souligne un communiqué du Groupe.

Pour le Premier ministre, Driss Jettou, « les objectifs ambitieux arrêtés par
le groupe OCP pour les horizons 2007 et 2009 sont tout à fait réalisables.»
Lors du conseil d’administration du Groupe, tenu mercredi 23 février à
Rabat, sous sa présidence, M. Jettou, identifie trois points forts du Groupe :
les gisements, les hommes et l’infrastructure.

Fort de ces atouts et avec une part de marché estimée en 2003 à 27,3 %,

Rapport de Fin de Formation 6 TSGE II


contre 27 % en 2002, le premier exportateur de phosphate dans le monde
nourrit deux ambitions : sécurises ses débouchés externes et s’ouvrir vers
d’autres opportunités de croissance à l’international. Au Groupe OCP, la
croissance externe passe par une bonne politique de partenariat industriel,
initiée voilà maintenant dix ans.

Le management du Groupe se félicite déjà de sa joint-venture avec le


groupe pakistanais FAUJI, visant la construction à Jorf Lasfar d’une unité
d’acide phosphorique d’une capacité de 375 000 t/an. Un autre projet de
partenariat avec un groupe brésilien, Bunge Fertilizantes, est aussi en cours
de validation.

Essentiellement tournées vers l’export, les ventes du Groupe OCP, ont


totalisé en 2004, le chiffre record de 1 ,74 milliards de dollars, en hausse de
26,4 %. Dans un marché devenu fortement concurrentiel, ces performances
sont à applaudir. Mourad Chérif, directeur général du Groupe, est d’ailleurs
conscient des contraintes du marché mondial du phosphate (un marché
cyclique, fluctuation des prix des matières premières, poids du coût du
transport maritime, etc), tout autant que de son potentiel de croissance.

« Le commerce international du phosphate et des produits dérivés présente


des potentialités à moyen et long terme, compte tenu de la progression
naturelle des besoins en fertilisants et des opportunités de développement
en dérivés phosphatés », souligne le DG de l’OCP.

Au niveau du marché local, les ventes du Groupe sont presque


insignifiantes, ne dépassant guère les 410 000 tonnes d’engrais et quelques
centaines de tonnes d’acide phosphorique et de phosphate brut. Lors du
conseil d’administration du Groupe, M. Jettou a d’ailleurs « invité le
management du Groupe à poursuivre ses opérations d’externalisation et de
sous-traitance, tout en veillant à contribuer au développement du marché
local. »

Rapport de Fin de Formation 7 TSGE II


Hausse de 26,4 % du chiffre d'affaires à l'export de l'OCP en 2004
L'OCP a réalisé en 2004 un chiffre d'affaires record à l'export de 1,74
milliard de dollars, en hausse de 26,4 % par rapport à 2003, relève-t-on
dans un communiqué publié à l'issue du conseil d'administration de l'Office,
tenu mercredi à Rabat, sous la présidence du Premier ministre, Driss Jettou.
L'OCP, tête de pont de la présence marocaine sur le sous-continent
indien
Les échanges commerciaux entre le Maroc et l'Inde ont atteint un total de
342,75 millions de dollars lors de l'exercice fiscal indien avril 2003-mars
2004 avec un excédent de 168,47 millions de dollars en faveur du
Royaume.
L'OCP consolide sa vocation à l'international
Le groupe Office Chérifien des Phosphates (OCP) a consolidé sa vocation
commerciale à l'International par l'édification d'un partenariat industriel
d'envergure avec le groupe pakistanais Fauji, portant création d'une usine
d'acide phosphorique à Jorf Lasfar.
Le Maroc, fournisseur stratégique de Phosphates au Vietnam
Le Premier ministre vietnamien, M. Phan Van Khai, a exprimé la volonté de
son pays de faire du Maroc un fournisseur stratégique des dérivés de
phosphates, lors d'une rencontre tenue, jeudi à Casablanca, avec le collège
directoire du Groupe Office Chérifien des Phosphates (OCP).
OCP : Un chiffre d’affaires de près de 15 milliards Dh en 2004
Le Premier ministre a présidé, mardi 10 janvier à Casablanca, une réunion
du Conseil d'Administration du Groupe de l'Office Chérifien des Phosphates,
consacrée à l'examen des bilans comptables de l'année 2002, des
prévisions de clôture 2003 et des budgets de fonctionnement et
d'investissement 2004.
L'intérêt du Pakistan pour les phosphates marocains
Le Premier ministre a présidé, mardi à Rabat, la cérémonie de signature de
deux accords relatifs à la réalisation d'une usine d'acide phosphorique à Jorf
Lasfar, pour un investissement de 2 milliards de DH, dans le cadre d'un
partenariat entre le Groupe OCP et le Groupe pakistanais Fauji.

Rapport de Fin de Formation 8 TSGE II


Rapport de Fin de Formation 9 TSGE II
PHOSBOUCRAA est une société anonyme d’un capital de
100.000.000 Dh, crée en 1962 par le colonialisme espagnol sous la
dénomination Fosfatos de Bucraâ.

L’activité principale de la société est l’extraction, le traitement et la


potabilisation d’eau mer nécessaire au lavage et rinçage des phosphates.

Elle a été intégrée au groupe (O .C .P) Office Chérifienne des


Phosphates en 1976 lors de la récupération des provinces Sahariennes, sa
dénomination est devenue la Direction d’Exploitation de Boucraâ.

La société PHOSBOUCRAA se compose de trois divisions :

La Division d’Extraction de Boucraâ : qui est chargée de


l’extraction du phosphate.

Rapport de Fin de Formation 10 TSGE II


Rapport de Fin de Formation 11 TSGE II
MOYEN DE TRANSPORT
ENTRE BOUCRAA ET LA PLAGE

La Division de Traitement à la Plage : qui assure le transport du


phosphate par liaison de convoyeur, le traitement, le stockage et
l’embarquement.

Rapport de Fin de Formation 12 TSGE II


La Division Administrative à Laâyoune : qui a pour mission
d’assurer la gestion du personnel, la couverture médicale, et l’animation
sociale.

En parallèle, deux services fonctionnels sont attachés à la Direction à


savoir le service des Approvisionnements et Marches et le service Analyses
Financier (comptabilité).

Rapport de Fin de Formation 13 TSGE II


Rapport de Fin de Formation 14 TSGE II
Après l'opération de prospection du terrain qui consiste à faire une
étude topographique (1) du sol et détermination la couche du phosphate à
extraire et sa profondeur , elle vient l'opération de formation (2) du sol qui
consiste à creuser des puits dans ce dernier pour évaluer l' épaisseur et la
rigidité de la couche supérieure à celle du phosphate ,c’est après cette
opération commence, le stade du sautage (3) c'est à dire faire sauter le sol
à l'aide des explosifs.

A BOUCRAA

Le décapage (4) : est le fait


d'enlever la couche sautée, il se fait
avec deux grandes machines
appelées"draglines", dont la capacité
du godet est de 46 m3, leurs
consommations en énergie électrique
est environ : 5MVA

Rapport de Fin de Formation 15 TSGE II


ENTRE LA MINE DE BOUCRAA ET
L'USINE DE TRAITEMENT

La liaison (5) : est une ceinture


(convoyeur à bande) qui relie
l'extraction au traitement ,elle est
d'une longueur de 98,3 Km et
composée de 11 convoyeurs de 6,7 à
11,6 Km chacun télécommandé par
un système de télétransmission .

A BOUCRAA

Défruitage (6) : Cette opération


consiste à charger le phosphate extrait
par des pelles géantes et des
chargeuses sur des camions de poids
lourd.

Criblage (7) : consiste à enlever les


roches du phosphate. Dans le cas où il y
avait une panne technique, les camions
se dirigent vers le stock du phosphate
Humide non criblé.

Rapport de Fin de Formation 16 TSGE II


A LA MINE DE BOUCRAA
Le stockage (8): se réparti en
deux niveaux de stockage :
 Le stock humide non criblé.
 Le stock sec criblé.
Cette opération se fait à l'aide d'une
liaison par convoyeurs (voir photo2) et
une stockeuse.
A L’USINE DE TRAITEMENT
Traitement (9): le phosphate est
traité par la suite dans une usine où il
sera lavé par de l'eau de mer et après
par de l'eau douce à l'aide d'un
potabilisateur.

A LA PLAGE

Embarquement (10): L’exportation


se fait au niveau du port, le phosphate
traité et fini arrive par la liaison
jusqu'au port et coule directement
dans les bateau. Cette plate-forme de
chargement peut recevoir des
bateaux d'une capacité variant entre
10.000 et 60.000 tonnes.

Rapport de Fin de Formation 17 TSGE II


Comme tous les services dans le Groupe O.C.P le services des
approvisionnements et marches a une fonction d’achat,dans le but
de satisfaire les besoins des utilisateur pour réaliser les objectifs de
production, il est réparti en sections organisées pour gérer la diversité
des articles et des marchandises à acheter.

Service AM est un service très important dans la société


PHOSBOUCRAA parce qu’il est organisé de façon à répondre à
l’ensemble des besoins de PHOSBOUCRAA. Cette organisation découle
de tous les article et les marchandises à acheter, leur nature, ainsi que
le volume des achats effectués.

Le service AM a pour but principal la satisfaction de l’ensemble des


besoins des utilisateurs en matières d’équipement, fourniture, pièces
de rechange, prestation et installations industrielles. Et cela dans les
meilleures conditions :

Délai convenable.
Quantité suffisante.
Qualité supérieure.
Prix optimum.

Rapport de Fin de Formation


18 TSGE II
Organigramme du service approvisionnements et marchés
Chefde
Chef deservice
service

Secrétariat
Secrétariat

Réparation
Etudeetet DemandeRéparation
Commande Achats Immobilisation
Etude Demande Commande Achats Immobilisation
analyse De prix locaux
analyse De prix locaux

Transitetet Marchés Facturation


Transit Marchés Facturation
transport
transport

!!!!!!nn
!!!!!!nn

Rapport de Fin de Formation 19 TSGE II


Le service des approvisionnements et marchés est organisé de
façon à satisfaire les besoins des services demandeurs en matières
d’équipements, fournitures et pièces de rechange…. Dont ils ont besoin
pour assurer la continuité de l’exploitation et éviter les ruptures de
stocks provoquant un arrêt brusque de la production dans des meilleurs
conditions : délai convenables, qualité supérieure et conforme, quantité
suffisante et prix compétitifs.

Il est réparti en sections définies ci-dessous afin de faciliter les


tâches et limiter les responsabilités :

 SECTION ETUDES ET ANALYSES:

Elle a pour mission :


 La réception, traitement et vérification du bien fondé des demandes
d’achats.
 Le contrôle des stocks et des encours de chaque article.
 La détermination des quantités demandées.
 Demande de codification des articles à code provisoire auprès des
directions concernées.
 Présentation des dossiers pour ouverture à la commission des achats
et marchés.
 L’enregistrement des commandes et leur dispatching.

 SECTION DEMANDE DE PRIX :

Elle a pour tâche principale la réception des demande d’achat


exceptionnelles : DAX et consultation des fournisseurs agréés.

 Réception des demandes d’achat exceptionnelles : DAX.

Rapport de Fin de Formation 20 TSGE II


 Analyse et étude.
 Transmission en demandes instruites.
 Consultation des fournisseurs agréés.
 Etablissement des demandes de prix.
 Réception des offres et leur préparation pour la CDAM.
.
 SECTION COMMANDE :

Elle a pour tâche :

 Enregistrement des commandes manuelles, après signature du


Directeur.
 Saisie des commandes mécanisées.
 Dispatching des commandes : acheteur, utilisateur, contrôle de
gestion, facturation, transit.

 SECTION IMMOBILISATION :

 Réception de la demande d’achat et du descriptif correspondant du


matériel ;
 Lancement de la demande de prix ;
 Recueil des offres ;
 Transmission des offres au chef de projet ;
 Réception des documents budgétaires du chef de projet :

 Note justificative de choix ;


 Etat comparatif ;
 Projet de commande ;
 Avis d’engagement.

Rapport de Fin de Formation 21 TSGE II


 Suivi de dossier jusqu’à la livraison et règlement des factures et
expiration du délai de garantie.

 SECTION REPARATION :

 Réception de bon de réparation à l’extérieur relatif au matériel à


réparer.
 Lancement des demandes de prix aux réparateurs à consulter.
 Après visualisation du matériel à réparer, le réparateur établit son
devis et l’envoi au service approvisionnements et marchés ;
présentation des offres à la commission pour l’ouverture.
 L’envoi au service concerné pour choix technique.

 SECTION FACTURATION :

 Contrôle des CRR et leur confrontation avec les commandes ;


 Réception et contrôle général des factures.
 Retour des factures non conformes à leur expéditeur.
 Suivi des factures jusqu’à règlement.

 SECTION PIECES DE RECHANGE :

 Consultation des fournisseurs agréés.;


 Relance des fournisseurs jusqu’à réception des offres en nombre
suffisant, au minimum 50%.
 Présentation des dossiers à la CDAM.
 Soumission, au demandeurs, des dossiers pour avis technique.
 Etablissement de l’état comparatif et négociation avec le moins
disant conforme.
 Préparation des commandes pour signature par le DB ou le PDG.
 Suivi des commandes jusqu’à la livraison.

Rapport de Fin de Formation 22 TSGE II


 Apurement des CRR.
 Traitement des dossiers litigieux.

 SECTION TRANSIT ET TRANSPORT :

 TRANSIT

 Suivi des dossiers flottants jusqu’à la l’arrivée à destination ;


 Récupération au avis d’arrivée ;
 Enregistrement des arrivages sur le répertoire ;
 Etablissement des lettres de réserves ;
 Etablissement et enregistrement des déclarations en douane ;

 TRANSPORT

 Organisation du transport par toutes les voies ;


 Veille du respect du contrat de transport avec le transporteur agréé
par Phosboucraâ ;
 Gestion de transport ;
 Consultation, passation de commandes relevant de ce secteur ;
 Ordonnancement factures et leur dispatching.

 SECTION ACHATS LOCAUX :

Comme son nom l’indique, cette section est chargée des achats
urgents et locaux.

 SECTION DES MARCHES :

 Réception des demandes de passation des marchés (DPM).

Rapport de Fin de Formation 23 TSGE II


 Demande de la catégorie de fournisseurs à consulter.
 A la réception de la liste, le Directeur sélectionne les entreprises pour
fixer le nombre à consulter.
 Lancement des appels d’offres auprès des fournisseurs agréés sous
forme d’un dossier contenant : lettre d’accompagnement, cahier des
charges particulier, cahier de prescription, cahier des bordereaux des
prix et liste préférentielle des marques d’équipement, plans, modèle
de soumission.
 Réception des offres techniques et leur présentation à la commission
des achats et marchés.
 Transmission des offres techniques au chef de projet pour
harmonisation et réception d’un descriptif technique définitif.
 Après réponse des entreprises aux offres techniques harmonisées,
l’acheteur l’envoi à nouveau au chef de projet pour avis de
conformité.
 En cas de conformité, l’acheteur demande des offres commerciales.
 Réception des offres et leur présentation à la CDAM.
 Etablissement de l’état comparatif des prix et négociation avec les
trois fournisseurs moins disant.
 Envoi des offres commerciales pour établissement des documents
budgétaires.
 Elaboration du marché constitué par : soumission, lettre de
commande, C.C.P, le plan, le planning.
 Une fois le marché est signé par les deux parties, la date de
commencement des travaux est fixée par un ordre de service.
 Réception des travaux une fois sont achevés.
 Facturation du marché selon les conditions et les modalités de
paiement.

Rapport de Fin de Formation 24 TSGE II


Rapport de Fin de Formation 25 TSGE II
PROCESSUS D’ACHAT

Expressions des besoins/ utilisateur

Etude et analyse
(Service approvisionnements/utilisateur)

Envoi de demande d’achat au service DB/AM

Lancement des demandes de prix


(DB/AM)

Réception d’offres
(DB/AM)

Commission des approvisionnements et marchés

Envoi pour l’avis technique

Etat comparative + négociation

Retour de l’avis technique


(DB/AM)

Passation de commande

BLF (Approvisionnement/utilisateur) +Facture (DB/AM)

Réception de compte rendu de réception


(Utilisateur)

Envoi de CRR + facture au service DB/AF


Rapport de Fin de Formation 26 TSGE II
La procédure d’achat

La procédure d’achat comporte les étapes suivantes :


 Expression de besoin.
 Recherche et sélection des fournisseurs.
 Passation de la commande.
 Suivi de la commande.
 Réception et contrôle de livraison.
Certains besoins sont répétitifs (les biens qui satisfont ces besoins sont
stockés dans l’entreprise en attente l’utilisateur) d’autre sont non répétitifs
ou occasionnels (les biens qui les satisfont ne sont pas stockés)

Expression de besoin

Recherche et sélection des fournisseurs Passation de la commande


Suivi de la commande Réception et contrôle de livraison Certains besoins
sont répétitifs (les biens qui satisfont ces besoins sont stockés dans
l’entreprise en attente l’utilisateur) d’autre sont non répétitifs ou
occasionnels (les biens qui les satisfont ne sont pas stockés) L’expression
du besoin sera différente selon qu’il s’agit de satisfaire un besoin répétitif
ou non.

Besoins répétitifs :

La gestion des stocks détermine les quantités à commander et la date


de commande.

Besoin non répétitif :

Le service demandeur (exp. service comptable pour un photocopieur,


service de production pour un outillage, service commerciale pour des
fournitures de bureau,…) émet une demande d’achat qui comporte une
description détaillée du besoin la quantité de produit demandée et les délai
souhaités.

 La recherche des fournisseurs :

Ici encore il faut distinguer besoin répétitif ou non répétitif : dans le


cas d’un besoin répétitif il suffit de décider si l’on continu à
s’approvisionner auprès du même fournisseur et dans les mêmes
conditions ; dans le cas d’un nouvel achat il faut rechercher les fournisseurs
potentiels et sélectionner.

Les sources d’information :

Rapport de Fin de Formation 27 TSGE II


Les principales sources d’information sont les catalogues, les offres
de services spontanées des fournisseurs, les annuaires professionnelles ,les
représentants, les visites de salons professionnel ,les échantillons ,les
réponses aux demandes de prix ou aux appels d’offres.

Les fichiers :

L’information collectée est stockée et mise à jour dans :

 Un fichier produits : qui contient les renseignement suivants : nom du


produit, utilisation dans l’entreprise, autre utilisations possibles,
fournisseurs possibles (actuels, connus, à éviter), commandes passées.

 Un fichier fournisseurs : qui contient les renseignements suivants :


nom et raison sociale du fournisseur, personne à contacter, renseignements
divers (ex : montant du chiffre d’affaire, solidité financière), produits
vendus, historique des commandes passées réponses aux appels d’offres,
aux demande de prix, comptes rendus d’essais, ces fichiers sont de plus en
plus traités grâce à des moyens informatiques.

 La négociation :

Les conditions d’achat sont négociées avec les fournisseurs qui ont
été sélectionnés. Un certain nombre d’objectifs devront être atteints au
cours de la négociation d’achat :

Spécification précise des produits (avec, par exemple, la définition


des niveaux de tolérance) et des moyennes de contrôle.

Détermination des prix et éventuellement des clauses de révision


de ces prix dans le cas de livraisons échelonnées dans le temps (ex :
révision en fonction de l’évolution du cours des matières premières, des
parités monétaires’…).

Fixation des modalités de paiement (paiement comptant avec


escompte, paiement à x jours, à jours fin de mois,…).

Définition des conditions de livraison (vente au départ : départ


usine, franco sur wagon ; vente a l’arrivée : franco domicile, franco gare de
destination ou, dans le cas de transport maritime, vente a l’embarquement
ou à débarquement).

Rapport de Fin de Formation 28 TSGE II


Etablissement des délais de livraison et des pénalités de retard.

 La commande :

Lorsque l’accord sur toutes les clauses a été réalisé avec le fournisseur,
il peut donner lieu à la rédaction d’un contrat.

La commande est une opération au coup par coup. Elle est rédigée par
le service des achats sur un bon de commande (à en –tête du client) ou sur
un bulletin de commande (à en tête du fournisseur).ce document est établi
en plusieurs exemplaires : en général, deux exemplaires pour le
fournisseur (l’un d’entre eux est retourné signé et sert d’accusé de
réception de commande) ;un exemplaire pour le magasin permet de
contrôler la livraison ,et un dernier exemplaire est conservé par le service
achat.

Le suivi de la commande :

Les délais de livraison sont surveillés et les relances sont effectuées.

La première relance est la réclamation de commande ; elle concerne la


confirmation de commande par le fournisseur (ou accusé de réception).Ce
document est essentiel car le fournisseur. Ce n’est qu’à partir de cette
acception que le fournisseur est tenu de livrer les biens aux conditions
prévues.

Avant la date de la livraison convenu, il est utile de se faire


confirmer cette livraison .Il s’agit alors de la relance préventive.

Enfin, en cas de retard de livraison, il faudra faire une nouvelle relance


avant d’en arriver, éventuellement, à une mise en demeure de livrer sous
forme de lettre recommandée avec accusé de réception.

La réception de la commande :

Rapport de Fin de Formation 29 TSGE II


Le processus d’achat se termine à réception de la commande par deux
types de contrôle (quantitatif et qualitatif) des bien, par le contrôle de la
facture et par les opérations de mise en stock.

− Le contrôle des biens lors de la livraison :

Le contrôle quantitatif confronte le bon de commande et le bon de


livraison, et d’autre part, vérifie que les quantités livrées sont bien celles
qui sont annoncées. Le contrôle qualitatif a pour but de vérifier la
conformité des biens livrés aux spécifications de la commande.

 Le contrôle de la facture :

Le contrôle de la facture consiste à rapprocher le bon de commande, le


bon de réception et la facture, et à vérifier les prix unitaires et les
différents conditions (de paiement, de port, d’emballage,…) avec les
conditions prévues.

La facture est alors transmise aux services comptables pour le règlement.

Rapport de Fin de Formation 30 TSGE II


Rapport de Fin de Formation 31 TSGE II
Le thème que j’ai choisi c‘est l’informatisation de la traçabilite dans le G
OCP est dans ce terme j’ai élaborer un étude au sein de groupe afin de
touché l’objectif au fond.

Introduction

Pour contrôler les menaces comme le vol, l’agression, la substitution, le


prélèvement et l’intrusion auxquelles sont vulnérables les chaînes
logistiques, la mise en place d’une politique de sûreté et de traçabilité des
marchandises est aujourd’hui plus que jamais nécessaire. Cette politique
s’accompagne de la mise oeuvre de systèmes informatisés sûrs et
cohérents au niveau de chacun des acteurs de la chaîne qui vont non
seulement aider à la maîtrise des risques mais qui vont surtout améliorer le
fonctionnement de l’entreprise. L’élévation du niveau de performance des
chaînes logistiques passe par l’informatisation des PME du TRM qui en
constituent le maillon le plus faible.

Tous les secteurs industriels de production utilisent des systèmes


complexes automatisés étroitement liés aux ensembles informatiques.
La problématique de la traçabilité étant au coeur des préoccupations des
entreprises, l'objectif de la formation est de donner aux étudiants des
compétences qui leur permettront d'être capable de :
- Comprendre les problèmes liés à l'automatisation intégrant
des systèmes d'informatisation
- Pour contribuer à la résolution des problèmes de traçabilité
- En prenant en compte les aspects humains et économiques de
l'entreprise.

Les métiers se rattachent aux domaines de l'automatisme et de la


robotique industriels, et de l'informatique industrielle. Tous les secteurs
industriels sont concernés.

METHODOLOGIE

- Conduite de projet et gestion de production


- Analyse fonctionnelle
- Cahier des charges
- Analyse de défaillances (outils qualité)

Rapport de Fin de Formation 32 TSGE II


Dans le cadre de mes études, je porte réflexion sur un travail ayant pour thème
«l’informatisation de la traçabilité »

Je vous remercie de bien vouloir participer à l’élaboration de mon projet de fin d’études en
répondant au questionnaire suivant.

Identification

Quelle est votre fonction?

Quelle est en année(s) votre ancienneté dans le poste?

Installation et formation

Avez-vous participé au choix du logiciel ?

o Oui
o Non

Les personnes qui travaillent avec vous, sont-ils convaincus du système ?

o Oui
o Non

Aviez-vous, avant l’introduction de l’informatique dans votre section, des notions


d’informatique ?

o Oui, d'ordre personnel


o Oui, d'ordre professionnel
o Non

Auriez-vous souhaité davantage de formation informatique?

o oui
o non

Rapport de Fin de Formation 33 TSGE II


L’informatisation de la traçabilité, dans votre section, représente pour vous :

o Sécurité de l’information par le partage des données


o Modification des habitudes de travail
o Réponse aux besoins de la traçabilité
o Méfiance personnelle vis-à-vis de l’informatique
o Source de stress
o Sources de travail supplémentaire

Comment avez-vous accueilli la proposition de l’élaboration d’une traçabilité


informatisée ?

o De manière négative (avec appréhension)


o De manière positive (sans appréhension)

Avez-vous un référent dans chaque équipe, sur qui vous pouvez compter en cas de
problème lors de l’utilisation de ce logiciel ?

o oui
o non

Mise en place

Avez-vous eu des doutes sur l’utilité de l’information à tracer ?

o Oui (précisez ci-dessous)


o Non

Mes doutes sur l'utilité de l'information à tracer :

Quelle a été la plus lourde charge pour vous, lors de la mise en place de la traçabilité
informatisée dans votre section ?

o L’enregistrement des données à tracer


o La formation sur le logiciel
o Autres

Si "Autres", précisez ci-dessous

Autres charges

Rapport de Fin de Formation 34 TSGE II


L’informatisation de la traçabilité, vous a-t-elle permis d’obtenir un gain de temps ?

o Oui
o Non

Après un temps d’adaptation, quel est votre sentiment à l’égard de l’informatisation


de la traçabilité ?

En dehors de l’objectif principal, avez-vous trouvé d’autres applications au logiciel ?

o Gestion du stock
o Gestion de la commande
o Gestion des ressources humaines
o La comptabilité
o Autres (précisez ci-dessous)

Autres application du logiciel :

Pouvez-vous en quelque mots, nous donner vos idées sur l’informatisation de la


traçabilité au sein de votre section et ces effets ?

Rapport de Fin de Formation 35 TSGE II


Si vous rencontrez des difficultés, quelles sont vos suggestions pour améliorer la
traçabilité informatisée au sein de votre section ?

Si vous avez des choses à ajouter sur ce thème pouvez-vous le décrire ci-dessous :

Rapport de Fin de Formation 36 TSGE II


LES STATISTIQUES DE QUESTIONNAIRES DE L'INFORMATSATION DE LA
TRACABILITE AU SEIN DE G OCP
I, F 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11 12 13 14 15 16 TOTALES POURCENTAGE
1 OUI * * * * 4 25%
NON * * * * * * * * * * * * 12 75%
2 OUI * * * * * * * * * * * * * * * * 16 100%
NON 0 0%
3 OUI OPE * * * * * * * * * 11 68.75%
OUI OPR * * * * * * * 7 43.75
NON * * 2 12.5%
4 OUI * * * * * * * * * * * * * * 15 93.75%
NON * 1 6.25%
5 a * * * * * * * * * * * * * 12 75%
b * * * * * 3 18.75%
c * * * * 7 43.75%
d * 1 6.25%
e 0 0%
f * 1 6.25%
6 NEG * 1 6.25%
POS * * * * * * * * * * * * * * * 15 93.75%
7 OUI * * * * * * * * * * * 11 68.75%
NON * * * * * 5 31.25%
M, P
8 OUI * * * * 4 25%
NON * * * * * * * * * * * * 12 75%
9 a * * * * * * * * * * * 9 56.25%
b * * * 5 31.25%
c * * 2 12.5%
10 OUI * * * * * * * * * * * * * * * 15 93.793.75%975
NON * 1 6.25%

Rapport de Fin de Formation 37 TSGE II


Rapport de Fin de Formation 38 TSGE II
Rapport de Fin de Formation 39 TSGE II
Rapport de Fin de Formation 40 TSGE II
Rapport de Fin de Formation 41 TSGE II

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