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Master ESIF La politique de la concurrence

Université Moulay Ismail


Faculté des Sciences Juridiques, Économiques et Sociales
Meknès

Elément de module : analyse stratégiques des comportements


Exposé sous le thème :

M ZEAMARI

El hachmi Abdelaziz
Fahmi Sara
Ousekour Mourad
Thaye Salma

Introduction

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Master ESIF La politique de la concurrence

PARTIE 1 :

AXE1 : Présentation de la politique de la concurrence :

A : Définition :

B : Objectifs généraux:

AXE 2 : La concurrence dans l’histoire de pensée économique

A : Chez les économistes de l’école classique : Adam


Smith

B : Chez les économistes de l’école néo-classique

 Marché de concurrence pure et parfaite.

 Marché praticable.

 Marché contestable.

C : le concept actuel de la concurrence


PARTIE 2 :

AXE 1 : comment concevoir une politique de concurrence :

A : La promotion de la politique de concurrence :

 Avantages d’une politique de la concurrence

 les actions ou réformes à mener


a : Sur le plan national ou communautaire
b : Sur le plan international
B : la réglementation de la politique de concurrence :
 Modèle de réglementation American :
 Modèle de réglementation de la CEE
 Réglementation du marché concurrentiel au
Maroc
CONCLUSION

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Introduction :

L époque semble désormais révolue ou les responsables


politiques prenaient toute les décisions en matières économiques ou
intervenaient régulièrement dans la vie économiques a travers leur
politique budgétaire monétaire ou industrielle.

Cette remise en cause du dirigisme économique s explique par la


mondialisation qui rend plus difficile l action des autorités économiques, et
par la victoire des idées libérales, accusant l’Etat d être responsable des
difficultés économique du dernier quart du siècle.

Si certains aspects de cette évolution paraissent irréversibles, les


moyens d’action des Etats sont pourtant loin d’avoir disparu.

La concurrence est à la base de l'économie libérale qui s'est


mondialisée. Dans le modèle d'économie de marché, la concurrence est
censée être la méthode la plus efficace d'organisation pour le
fonctionnement de l'économie, alors que dans les modèles dirigistes et
étatique c'est l'état qui est considéré comme devant organiser et fixer
l'orientation de l'économie.

Le développement de la concurrence s'est traduit par des vagues


de privatisations revenant sur les nationalisations et les monopoles
étatiques et par les restrictions quant aux aides publiques.

Le droit de la concurrence s'est donc développé dans la plupart


des pays, dits "en transition vers une économie de marché".

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AXE1 : Présentation de la politique de la concurrence :

A : Définition :

Ensemble des objectifs que les pouvoirs publics et économiques


poursuivent devant un phénomène qui touche à la concurrence
économique ; moyens qu’ils mettent en œuvre à ces fins. Les politiques de
concurrence sont inspirées par l’économie et appartiennent ainsi aux
politiques économiques.

B : objectifs généraux :

L’objectif premier d’une politique de concurrence est de promouvoir


l’efficience dans un sens économique.

Il s’agit d’établir des normes et de définir des règles destinées à


protéger la concurrence sur le marché ; sauvegarder le Marché unique
face à la montée du « patriotisme économique » inciter les entreprise à
chercher la compétitivité et l’efficience économique, la maîtrise du niveau
général des prix face à la résurgence de l’inflation et la promotion de la
compétitivité dans ses dimensions structurelle grâce à un ensemble de
disposition légale et réglementaire

C : Outils de la politique de concurrence :

Définir une politique de concurrence, c'est avant tout fixer un niveau


souhaitable de concurrence, à partir duquel on pourra, par exemple,
· apprécier les projets de concentration,
· identifier les types d'accords devant bénéficier d'une exonération
par catégorie,
· fixer les priorités en fonction desquelles seront examinées les
plaintes pour comportements anticoncurrentiels,
· jeter les bases d'une collaboration efficace entre les autorités
communautaires et les autorités nationales compétentes en matière
de concurrence,
· dégager des critères d'admissibilité des aides d'État,
· fixer des seuils (en part de marché notamment) en deçà desquels
l'infraction ne sera pas poursuivie (règle de minimis)
· négocier les engagements de la part des entreprises en défaut de
conformité avec les dispositions de la politique envers les autorités
de concurrence.

AXE 2 : La concurrence dans l’histoire de la pensée


économique

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A : Chez les économistes de l’école classique : Adam
Smith

Contemporain de la révolution industrielle et qui s'étend de la fin du


XVIIIe siècle au début du XIXe siècle. Une grande partie des concepts
fondamentaux et des principes de l'économie classique ont été énoncés
par Smith dans De la richesse des nations
Fortement opposé aux mercantilistes, Smith fait valoir que la libre
concurrence et le libre échange, s'ils ne sont pas entravés par
l'intervention des pouvoirs publics, sont mieux à même de réaliser la
croissance économique. Il introduit notamment le thème de la main visible
selon lequel c'est la recherche individuelle du gain qui garantit
l'enrichissement général. L'Etat garde certaines fonctions économiques : il
doit limiter les excès liés à la liberté individuelle et créer un cadre social et
économique bénéfique à l'épanouissement des intérêts particuliers

B : Chez les économistes de l’école néo-classique

 Marché de concurrence pure et parfaite.

Le modèle de la concurrence pure et parfaite (CPP) se définit par un


certain nombre d'hypothèses fondamentales et constitue l'un des
fondements de la théorie néoclassique. Ce sont ces hypothèses qui
permettent de comprendre la détermination du prix sur le marché, le
comportement de la firme ainsi que le fonctionnement des mécanismes
des marchés.
Ce modèle repose sur les conditions suivantes :

• l’atomicité : le nombre d’acheteurs et de vendeurs est très grand


donc l’offre ou la demande de chaque agent est négligeable par
rapport à l’offre totale ; aucun agent ne peut fixer les prix.

• l’homogénéité des produits : les biens échangés sont semblables en


qualité et en caractéristiques, et donc interchangeables ; un produit
de meilleure qualité réelle ou supposée constitue donc un autre
marché.

• La transparence de l’information : l’information parfaite de tous les


agents sur tous les autres et sur le bien échangé suppose une
information gratuite et immédiate ;
• la libre entrée et sortie sur le marché : il ne doit y avoir aucune
entrave tarifaire (protectionnisme), administrative, technique à
l’entrée d’un offreur ou d’un demandeur supplémentaire.

• la mobilité des facteurs de production (le capital et le travail) : la


main-d’œuvre et les capitaux se dirigent spontanément vers les
marchés où la demande est supérieure à l’offre ; il n’y a pas de délai
ni de coût dans leur reconversion.

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Il est à signaler que les conditions d'une concurrence pure et
parfaite sont rarement atteintes en dehors des marchés purement
financiers et ceux des matières premières.

 Marché praticable.

Dans les années 50, le concept de concurrence praticable ("workable


competition") fait son apparition, essentiellement pour remédier aux
insuffisances de l'approche structuraliste. Il s'agissait de rendre utilisable
la conception structuraliste, mais en l'affaiblissant pour tenir compte des
contraintes concrètes du marché analysé.

En clair, il s'agit d'un concept de concurrence adapté aux besoins des


décideurs dans le domaine de l'antitrust, qui leur permettra d'identifier la
meilleure structure pour chaque marché, une fois établie la liste de toutes
les contraintes (inévitables) qui éloignent de la structure "idéale" de la
CPP. Une fois précisée cette structure "sous-optimale" sera adoptée
comme référence ou comme cible.

La concurrence praticable est l’objectif visé par le droit et la


politique de concurrence d’un pays donné, 2 pratiques essentielles
doivent être interdites :

• Empêcher les accords entre entreprises ayant pour effet de


restreindre la concurrence (entre elles ou avec des tiers), lors qu’ils
n’ont aucun effet bénéfique
• Contrôler les tentatives des monopolistes ou des entreprises
dominantes d’abuser de leur position et d’empêcher l’émergence
d’une nouvelle concurrence

La concurrence praticable se définit par la trilogie des 3 composants


Structures – comportements- performances.

 Marché contestable.

La théorie des marchés contestables a été développée par Baumol,


Panzar et Willig [1982]. Cette théorie est apparue dans un contexte de
renouveau du libéralisme économique et politique et visent
à dépasser les analyses de la concurrence praticable. Elle a eu pour
ambition de fournir une nouvelle analyse des structures de marchés.
L'idée fondamentale de cette théorie est que la concurrence est
gouvernée par les

conditions d'entrée et de sortie de l'industrie, non pas par le nombre


d'entreprises, comme c'est le cas dans le modèle Structure-
Comportement-Performance.

Les analyses de contestabilité s’expriment surtout dans le cadre


du contrôle des concentrations et dans les secteurs anciennement
monopolisés récemment ouverts à la concurrence

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Pour les fondateurs de cette théories, un marché est dit contestable si:

• il n’y a pas de barrières à l’entrée ou à la sortie


• toutes firmes (en place ou intrants potentiels) ont accès à la même
technologie de production
• il y a une information parfaite sur les prix disponible pour tous les
consommateurs et entreprises
• les entrant peuvent entrer/sortir librement avant que les concurrents
puissent ajuster leurs prix (absence de barrières à l’entrée,
notamment réglementaires)

C : le concept actuel de la politique de


concurrence :

Depuis la seconde guerre mondiale, un nouvel ordre économique s est


mis progressivement en place ; Il se traduit notamment par la libération
des marchés conduisant a la libre circulation des biens, services et
capitaux et par un mouvement d’intégration des économies.

La libre circulation des biens services et de capitaux pouvant être


entravé par des réglementations liées aux régimes juridiques,
la nécessite d’une politique mondiale de la concurrence est devenue un
thème important de la réflexion des experts.
Face a la mondialisation du marche les Etats mettent en œuvre des lois
interdisant des pratiques anticoncurrentielles qui ont pour vocation
d’étendre leur compétence au delà des frontières nationales ainsi avec la
globalisation de l’économie ,les politiques en matières de concurrences
s’exercent a la fois de façon interne et externe .

Axe 3 : comment concevoir une politique de


concurrence :

A : La promotion de la politique de la
concurrence
La promotion d’une politique de la concurrence est un sujet d’intérêt
remarquable et cela pour plusieurs raisons, d’une part elle protège au
mieux les intérêts des consommateurs d’autre part assure la compétitivité
des entreprises
En effet, la politique de la concurrence est, pour tout pays en
économie de marché un facteur de développement car elle engendre des
richesses pour l’économie nationale.
Il y a plusieurs changements intervenus durant les deux dernières
décennies dans les structures de marché qui ont mis en fin la politique de
concurrence classique .la politique actuelle de concurrence au niveau
national et communautaire doit s’efforcer de tirer les conséquences de
l'affrontement international stratégique entre les entreprises et soutenir la
création de 'géants' nationaux ou communautaires. De plus, se pose
aujourd'hui le problème de l'articulation entre les politiques menées au

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niveau communautaire et au niveau national qu'il s'agisse des principes
juridiques, du rôle des acteurs et des outils d'intervention

 Avantages d’une politique de la


concurrence
Comme on le sait, la concurrence a trois objectifs traditionnels : un
meilleur choix possible en terme de qualité, les prix les plus bas possible
et un stock suffisant pour le consommateur
Le jeu normal de la concurrence entre les opérateurs économiques a
un double avantage pour l’économie: la satisfaction optimale des
consommateurs et le dynamisme qu’elle influe à l’économie. Dans ce cas,
elle protège et les intérêts des consommateurs, et les intérêts des
producteurs et ceux de l’économie.
La promotion d’une politique de la concurrence est donc une
nécessité, un élément primordial pour un pays. Elle est un facteur de
développement et de réformes économiques permettant ainsi au marché
de fonctionner plus efficacement tout en produisant des richesses.
Ainsi, la politique de la concurrence assure aux consommateurs un
vaste choix de produits à des prix compétitifs et en même temps favorise
les gains de productivité.
Elle garantie en même temps la protection des consommateurs,
assure la sécurité des produits et lutte contre la fraude.

 les actions ou réformes à mener


Au regard de ce qui précède, il semble nécessaire de mener des
actions ou d’opérer des réformes pour la promotion de la politique de la
concurrence. La promotion d’une politique de la concurrence doit donc se
traduire à deux niveaux à savoir sur le plan national ou communautaire, et
sur le plan international.

 Sur le plan national ou communautaire


Il s’agira :
-apprécier les projets de concentration,
-fixer des seuils (en part de marché notamment) en deçà desquels
l'infraction ne sera pas poursuivie
- d’informer et de sensibiliser les consommateurs, les opérateurs
économiques et l’administration sur les textes en matière de politique de
la concurrence. Cela pourrait se faire par des tournées de sensibilisation,
par les médias ou par la publication de documents consolidés à cet effet ;
- de mettre en place un dispositif législatif en matière de concurrence
cohérent accessible à tous, avec des objectifs précis et prenant en compte
la promotion de la politique de la concurrence ;
- d’améliorer la cohésion entre la politique économique de libéralisation de

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l’économie nationale et la politique de la concurrence d’une part, et la
législation nationale et celle communautaire d’autre part ;
- de reconnaître aux organes de régulation de la concurrence une véritable
autonomie
 Sur le plan international
Il s’agira de :
- aider les économies par le renforcement de capacité et d’assistance
technique et de coopération ;
- participer activement aux réunions internationales pendant lesquelles ils
pourront défendre leurs intérêts économiques en matière de concurrence ;
- mettre en place un cadre international de régulation de la concurrence
(cadre multilatéral de la concurrence, examen par les pairs…).

B : Réglementation de la politique de concurrence

L’Etat joue un rôle déterminant dans la politique de la concurrence, à


travers son intervention entant qu’acteur réglementant et organisant la
concurrence entre les différents agents économiques.

Avant de parler du Maroc, il est primordial de présenter les


importants réglementations qui ont été mise en œuvre sur la scène
internationale, en partant du modèle American ‘sherman act’ jusqu’au
l’élaboration du ‘traité de Rome’.

 Modèle de réglementation American :

La première tentative de limiter les comportements


anticoncurrentiels des entreprises a été du gouvernement américain, par
l’élaboration de la loi du Sherman Act en 2 juillet 1890, qui a fait naitre le
premier droit de la concurrence moderne. Il a pour objectifs :

- d’interdire les ententes illicites qui limites les échanges et le


commerce ;
- et de sanctionner les monopoles et les tentatives de
monopoliser, connues sous l’expression d'abus de position
dominante.

 Modèle de réglementation de la CEE :

La recherche d’un système concurrentiel efficace et performant, est


parmi les majeures préoccupations du Traité de Rome. Ainsi, d’après ses
articles 85 et 86, il a distingué entre deux séries de règles :

 La réglementation de pratiques individuelles restrictives :

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Elle prévoit la condamnation de pratiques individuelles, susceptibles
de n’affecter qu’un seul acteur (participant) au marché, il s’agit
principalement de condamner :

- L’absence de transparence en ce qui concerne les prix, les


conditions de ventes …
- Les pratiques déloyale des ventes, les ventes à la perte, la
vente avec prime (sauf de faible valeur ou considéré comme un
échantillon)
- Les pratiques restrictives, telles le refus de vente, l’imposition
d’un prix minimal de revente, la discrimination de prix, de délais
de paiement qui ne serait pas justifier et constituerait un
désavantage ou un avantage dans la concurrence.

 La réglementation de pratiques anti-concurrentielles collectives


(PAC) :

Elle a pour objectif de réglementer les PAC susceptibles de perturber


l’ensemble du marché et son fonctionnement, et de faire face aux
ententes illégaux et aux abus de position dominantes :

- Sont prohibées les actions concertées, convention ou


entente lorsqu’elles tendent à limiter l’accès au marché ou le
libre jeu de la concurrence, à faire obstacle à la fixation des
prix par le libre jeu de marché, à repartir le marché ou les
sources d’approvisionnements.
- Condamnation de l’exploitation abusive d’une situation de
domination, qui pourrait consister en refus de vente, vente
liée, rupture de relation commerciale.
- Concernant la concentration, c’est le seul domaine qui n’ait
pas été prévu par le traité de Rome. Le problème des fusions
susceptibles de nuire à la concurrence ne se posait donc pas.
Ainsi, à partir du Septembre 1990 une réglementation mise en
place par la Commission Européenne, a permis de contrôler les
opérations de concentrations, à travers l’adoption d’un
règlement à l’unanimité par le Conseil des ministres
européens.
Réglementation du marché concurrentiel
au Maroc

La politique de la concurrence au Maroc se concrétise par la loi 06-99


sur la liberté des prix et de la concurrence.
Cette loi a pour objectifs :
• la protection du libre jeu de la concurrence afin de stimuler
l'efficience économique ;
• d'améliorer le bien-être des consommateurs ;
• d’assurer la transparence et la loyauté dans les relations
commerciales.

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Elle contient des dispositions traitant des questions liées, au champ


d’application de cette loi, aux pratiques anticoncurrentielles et aux
opérations de concentrations prohibées, aux organismes intervenant pour
la mise en place de ladite loi, et aux modes de contrôles et de sanctions
appliqués.

CONCLUSION

Face à cette turbulence de l’environnement aussi bien nationale


qu’internationale, l’application d’une politique de la concurrence saine et
performante reste de plus en plus difficile, parce qu’elle est confrontée à
des situations de plus en plus diversifiées et complexes.
Ainsi, dans l’économie contemporaine, l’application d’une telle
politique confronte quelques difficultés. Du fait de :

- Dans une économie ouverte, le fonctionnement des marchés


au niveau intérieurs reste dépondant de l’extérieur et des
conditions internationales, ce qui rend difficile le contrôle des
entreprises dominantes et les fusions qui peuvent être
entreprises ;

- Pour aboutir à une politique efficace de la concurrence, les


responsables devraient principalement s’appuyer sur des
informations statistiques appropriées, afin de bien estimer la part
de chaque firme sur les marchés considérés, la chose qui reste
difficile à estimer ;

- Il n’existe pas de caractères formels de qualification des


ententes, et les découvrir n’ai donc pas aisé ;

- Toutes les ententes ne sont pas mauvaises, il importe de


distinguer les bonnes des mauvaises ententes, ce qui n’ai pas
facile non plus ;

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- Les critères économiques de la concurrence sont nombreux et,
selon les cas, le législateur élargi de plus en plus le champ de la
permission ou de la répression.

En effet, la majeure préoccupation d’une telle politique de la concurrence


est ; d’une part, promouvoir une concurrence saine et performante, et
d’autre part, ne pas empêcher la création des structures adaptées aux
évolutions du marché, et à l’environnement en général, dilemme qui reste
toujours difficile à réaliser.

BIBLIOGRAPHIE :

‘’La richesse des nations ‘’: Adam Smith (1776)

‘’Séminaire pour les autorités francophones de concurrence’’


Cour de Cassation, Paris lundi le 21 novembre 2006

‘’ contestable markets and the theory ok industry structure’’: Baumol, J.C


Panzar, R.D Willig (1982, p.2)

Conférence des nations unies sur le commerce et le développement,


Genève 8-10 novembre 2004 ‘’ la sensibilisation a la promotion d’une
politique de concurrence ‘’

‘‘La loi du Sherman Act ‘’en 2 juillet 1890

‘’Traité de Rome’’ articles 85 et 86

‘’La loi 06-99’’ sur la liberté des prix et de la concurrence au Maroc

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