Академический Документы
Профессиональный Документы
Культура Документы
- Statistique de test :
R² 0.386998
Q=
k − 1 =
8−1 = 89.466503
1 − R² 1 − 0.386998
n− k 1000− 8
F 7 , 992 = 2.01
- la procédure de Wald :
Statistique de test :
SCR C − SCR L 194 .7129 −194 .4284
W = n. = 1000. = 1.463264
SCR L 194 .4284
X 1² = 3.841
- Hypothèses : H0 : SK = 0 et KU – 3 = 0
HA : (SK, KU) ≠ (0,3)
- Statistique de test :
n n
JB = .SK ² + ( KU − 3)^ 3 = 28.47810
6 24
X 2² = 5.991
JB > X 2² , donc on rejette hypothèse H0, ce qui signifie que la normalité des erreurs
n’est pas vérifié.
On en déduit que la qualité des tests qui vont suivre seront de mauvaise qualité et donc
biaisé car l’hypothèse de normalité n’est pas vérifié.
h. Le test de Durbin-Watson est assez limité, il ne teste que les autocorrélations des
résidus d'ordre 1. De plus, son utilisation est encadrée par des conditions draconiennes
-la régression doit comporter un terme constant ;
-les variables X sont certaines (non-stochastiques), en particulier elles ne doivent pas
comporter la variable endogène retardée.
-Le terme d’erreur est supposé suivre une loi normale
- Hypothèses : H0 : ρ = 0 HA : ρ ≠ 0
On en conclut qu’il n’y a pas d’autocorrélation entre les erreurs. Cependant le test est
biaisé vers 2 en raison de la présence d’une variable retardée donc on va préférer le
test de de Breusch-Godfrey. Ce test permettra de détecter une autocorrélation à un
ordre supérieur à 1. De plus il reste valide en présence de la variable endogène
retardée. Ce test de Breusch-Godfrey réside dans la recherche d’une relation entre les
résidus et les résidus décalés.
- Hypothèses : H0 : σi ² = σ ² HA : σi ² ≠ σ ²
m. Dans le test de White p devrait être égal à 45 alors que dans autre cas le tableau
nous donne p = 29. Il se peut que le logiciel n’a pas tenue compte du reste des
variables car elle n’explique pas le modèle. (je s’est pas quoi mettre pour
argumenter je n’est aucune idée de la raison de l’omission de certaines variables)
- l’augmentation de salaire qu’un individu âgé de 30 peut espérer au bout d’une année
supplémentaire est :
Un individu âgé de 30 ans peut espérer une augmentation de salaire de 0.349011 euros
pour une année supplémentaire.