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Intro partie 1

Les données liées à l’activité de l’entreprise naissent au sein de deux principaux types de
systèmes d’informations : les Progiciels de Gestion Intégrés (ERP) ou les progiciels
spécialisés (Best Of Breed).
Les Best of Breed sont des logiciels spécialisés dont le domaine d’application se centre sur
une seule fonction dans l’entreprise. Les informations du même progiciel circulent très
facilement entre les différents pôles de cette fonction et sont regroupées dans la même base de
donnée.
Les ERP sont au contraire généralistes, ils centralisent la gestion des ressources et des
processus de l’entreprise. Reliés à une même base de donnée, l’ensemble des fonctions
concernées sont reliées et les données transitent plus simplement.

A. En amont du data warehouse


I Partie ERP
Mettre schéma microsoft erp
1. Son utilité
L’ERP a pour objectif d’améliorer la performance des processus de l’entreprise. Pour ce faire,
il se compose d’une base à laquelle on peut ajouter divers modules qui couvrent les activités
des salariés de l’entreprise. On trouve par exemple des modules financiers (comptabilité
générale et analytique, finance), logistiques, ressources humaines, relation client,…
Ainsi, l’entreprise peut s’équiper au fur et à mesure afin de faciliter la formation de ses
salariés. Cependant, l’atout majeur de l’implémentation d’un ERP reste l’homogénéisation du
système d’information de l’entreprise. Les opérations enregistrées par les salariés sont
immédiatement prises en compte et selon des règles définies, iront impacter d’autres activités
de l’entreprise. Ces tâches étaient auparavant executées par les salariés : ils sont alors
déchargés de ces tâches répétitives et sans valeur ajoutée et l’entreprise gagne du temps de
main d’œuvre et augmente la fiabilité de ces processus.

2. Une base de donnée commune


Trouver des infos

3. Mise en place d’un reporting opérationnel.


L’ERP conserve l’ensemble des informations liées à l’activité de l’entreprise au sein de bases
de données, dès lors, analyser ces données pourrait sembler assez simple.
En réalité, une information comme le chiffre d’affaire est composé d’un multitude de données
disséminées dans les nombreuses bases de données. Pour palier à ce problème, on met en
place une vue métier qui permet de regrouper et d’organiser les données en fonction des
métiers de l’entreprise. Ainsi, en fonction de son métier, l’utilisateur accèdera aux
informations dont il pourrait avoir besoin pour construire un reporting opérationnel.
Cf rapid data templates de bo, fast start de cognos et seagate software + actualiser : peut etre
de nouveaux

4. Avantages de ce type de reporting


Cf livre comment piloter act entreprise grace dwh Un grand débat est mené sur le support le
plus adéquat pour le reporting opérationnel. Les partisans du support ERP se bsent sur divers
arguments que voici.
Les applications métiers ne rencontrent pas de problème d’actualisation des données. En effet,
le système génère des données qui sont immédiatement stockées dans des bases de données et
instantanément disponibles pour l’analyse.
De plus, ce type de reporting est utilisé par un grand nombre de salariés et le fait d’utiliser un
data warehouse n’apporte pas de valeur ajoutée à l’utilisateur pour ce type d’analyse. Des
lors, utiliser un data warehouse entrainerait des couts supplémentaires sans apporter de valeur
ajoutée. Il vaut donc mieux utiliser l’ERP qui évite à l’entreprise d’être confrontée à ce
contexte.
Enfin, le data warehouse oblige à analyser les données en fonction de leur historisation.
L’ERP fourni des informations non historisées et permet ainsi de génerer des rapports sans
cette notion temporelle.

4. Limites du reporting opérationnel


Ce système de repoting est seulement adapté aux opérationnels et rencontre donc des limites
sur plusieurs plans :
Du point de vue de l’évolutivité : plus on souhaite de détacher des données opérationnelles et
avoir une vision synthétique des données, plus le système aura de difficultés à les produire. En
effet, la synthèse des données nécessite le rapprochement de différentes branches de
l’entreprise pour avoir une vision globale. L’ERP n’est pas capable de réaliser cela car il
fonctionne branche par branche (il sera difficile de rapprocher les données financieres et client
par exemple)
Du point de vue technique : Les ERP sont capables de gérer de nombreuses situations au sein
de l’entreprise. Pour ce faire, ils sont dotés d’une structure complexe qui leur permettent
d’assurer un service fiable. Cela implique que les données soient décomposées et éparpillées
dans les bases de données du système. En vue de constituer le report, extraire l’ensemble de
ces données dans de nombreux endroits du système peut occuper une part importante des
ressources du système.
Du point de vue analytique : L’ERP ne permet pas de fournir des données historisées : seul le
data warehouse est capable de le faire du fait de sa modélisation multidimensionnelle.
Du point de vue de l’intégration : si l’entreprise utilise d’autres systèmes d’information, il
devient impossible d’intégrer ces données dans les bases de l’ERP. Il en est de même pour
l’intégration des données externes à l’entreprise.

Ainsi, le reporting basé sur l’ERP ne peut répondre aux attentes de l’entreprise quand dans
très rares cas. Parmis ces exceptions, on recence la situation d’une entreprise dont la création
du système décisionnel et du data warehouse est en cours. En attendant que le système
fonctionne pour ses utilisateurs, l’entreprise a toujours besoin d’un reporting pour assurer son
fonctionnement. C’est dans ce cas de figure que l’entreprise base son analyse décisionnelle
sur son ERP.

Gefco a pour sa part mis en place ce type d’architecture lorsque les modules financiers ont
étés mis en place. Cette situation a duré près de xx ans – donner les pb, …

II le Best of Breed
Metre schema BoB microsoft
1 ; Definition
Best of Breed se traduit littéralement par : meilleur de sa catégorie. Il qualifie une solution
logicielle prétendant offrir des fonctions avancées sur un segment de marché bien délimité.
Ainsi, cette solution est souvent utilisée pour des problématiques que les ERP ne peuvent
résoudre du fait de leur « universalité ». En effet, certains secteurs ont des process originaux et
nécéssitent un progiciel spécialisé pour y répondre. Ils sont aussi utilisés par les entreprises
qui reprochent aux ERP leur manque d’intuitivité et de flexibilité : l’utilisateur doit s’adapter
à l’ERP et non l’inverse.
Le champ d’application de ce type de solution est limité à un secteur de l’entreprise : il devra
donc cohabiter avec les autres systèmes d’information de l’entreprise. En effet, pour
fonctionner, ce logiciel doit avoir à sa disposition les données générées par les autres
applications (données client, fournisseur,…) mais doit aussi communiquer les données qu’il
génère. Cela soulève le problème de son intégration avec les autres progiciels de l’entreprise.

2. Outils d’EAI
CF livre blanc CNRS diaporame sol EAI
Avant l’existance des EAI, les application métiers communiquaient par le biais d'interfaces
spécifiques point à point. Ce modèle était très lourds à mettre en place et très peu évolutif.
Cf schéma cnrs schéma eai point a point
L’outil d’EAI (Intégration d'Applications d'Entreprise ) a permis de palier à ces problèmes en
permettant au système d’information de l’entreprise de gagner en souplesse et en réactivité.
Ainsi, L’EAI permet de synchroniser et de faire communiquer des applications hétérogènes
(les Best of Breed entre autre) par échange d’informations en temps réel, indépendamment
des plates-formes et du format des données.
Son fonctionnement repose généralement sur l'utilisation d'un bus de communication qui
permet aux applications de communiquer entre elles.
Cf schéma livre blanc cnrs Panorama d’une infrastructure EAI
Les Progiciels de l’entreprise peuvent se brancher sur le bus de communication grâce à des
interfaces génériques selon le mode « Publish & Subscribe ». Ainsi, dès qu’une information
présente dans une application doit être transmise à d’autres applications, l’application source «
publie » l’information dans le bus d’échange. Les applications destinataires peuvent alors «
s’abonner » pour recevoir cette information via le bus.
CF livre blanc OCto technology EAI intégration des applications d’entreprise – octobre 99
L’EAI assure l’intégration à différents niveaux :
 Au niveau des données : utilisation de connecteurs légers : c’est le mode message. Il
est orienté batch (Batch : un message est envoyé dans le système, cela genere des
actions et eventuellement un fichier de réponse) et les données sont transmises au fil
de l’eau (def fil de l’eau)
 Au niveau des applications : utilisation de connecteurs lourds de type API. Les triggers
permettent d’identifier certaines informations et déclencher des actions sur les autres
progiciels en présence. Il peut s’agir d’identifier la création d’un nouveau client dans
la gestion commerciale et d’impacter l’application de CRM – pas sur de l’exemple.
 Au niveau des processus métiers : il s’agit d’un cas de workflow ou l’EAI se charge
d’orchestrer l’exécution des taches entre les différentes applications et les éventuelles
interventions humaines.
Le rôle d’un EAI s’arrête à la gestion des interfaces et des échanges inter-applicatifs. Il
n’intervient pas dans le fonctionnement interne des Best of Breed qui restent indépendant
entre eux et conservent leurs fonctions et processus métier.

Gefco a eu recours à des Best of Breed avant de s’équiper en ERP. Comment cela etait il relié,
plus de détail sur fonctionnement et les pb liés ?
Le passage sur SAP s’est effectué sur les modules de finance et de logistique, par contre le
groupe a conservé quelques outils métiers pour palier à la spécificité de l’activité de
l’entreprise. May be completer

Ainsi, en amont du data warehouse, le système d’information est constitué de progiciels dont
le type est déterminé par la complexité des processus métiers de l’entreprise. Pour ceux qui
présentent une spécificité particulière, seul le Best of Breed sera en mesure d’apporter une
solution efficace. En revanche pour les processus plus standardisés, l’entreprise aura plus
intérêt à recourir à un ERP.
Dans le cadre de l’intégration des données au sein du data warehouse, le progiciel de gestion
intégré présente l’avantage de disposer ses données dans une même base de donnée. De plus,
l’architecture de celle-ci est connue des spécialistes de la construction de data warehouse.

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