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logistique

Chapitre 3 : gestion des stocks et approvisionnement

Problématique

Avec des niveaux de stock très élevé : capacité de répondre rapidement aux
demandes de la clientèle mais les coûts sont extrêmement élevé et pèse
naturellement sur les prix de vente et les marges donc sur la compétitivité
globale de l’entreprise

En matière de gestion de stocks, il s’agit donc d’atteindre un équilibre, c’est à


dire d’éviter à la fois le sur-stockage et la rupture de stocks

La difficulté majeure est de déterminer la quantité en stock.

Pour déterminer la politique optimum d’approvisionnement, il faut déterminer :

- Les stocks stratégiques

- La politique d’approvisionnement

- Le niveau optimal des stocks

- Surveiller les stocks

- Minimiser les coûts de stockage

Déterminer une politique d’approvisionnement, c’est répondre à des choix


stratégiques :

- Faut-il par exemple acheter, fabriquer ou sous-traiter ?

- Faut-il centraliser ou décentraliser l’approvisionnement ?

- Faut-il privilégier un fournisseur unique ou au contraire diversifier ses


sources d’approvisionnement ?

- Faut-il piloter les flux par l’aval ou par l’amont ?

- Quelle est la place et l’importance des stocks ?

C’est le contexte économique et concurrentiel qui oriente ces choix

I déterminer les stocks stratégique

C’est comprendre le ou les stocks réellement nécessaires pour répondre au client


final. Il faut adapter ces stocks en fonction du délai de livraison que le client est
prêt à accepter. Il faut de plus positionner le stock dans la chaine logistique par
rapport à la gestion des flux (tirés par l’aval (le client) et poussés par l’amont (les
fournisseurs et la production).
logistique

A le cycle de production

Le cycle de production = les délais

Les stocks en amont sont les stocks de matière première, à ne pas confondre
avec les stocks en aval qui sont ceux de produits finis.

B les différents types de stock et leurs origines

Les différents stocks

- Les stocks de matières premières ou les stocks de marchandises

- Les stocks de produits intermédiaire (produits semi-finis composant, ayant


déjà subis une transformation et qui va encore être transformé), stock des
biens qui vont être incorporés dans le processus de production (ex : le bois
dans la production de meuble) à ne pas confondre avec les marchandises
qui sont des biens achetés pour être revendus e l’état, sans transformation

- Les stocks de produits finis

 Plus le cycle de production est long et complexe, plus il existe de stocks


intermédiaires

Leurs origines

- Les stocks aval ou stocks de sécurité (en cas de problème de livraison)


logistique

- Les stocks techniques (voir feuille)

- Les stocks économiques (voir feuilles)

C positionnement des stocks stratégiques

la question de savoir quels stocks éliminer ou garder est un enjeux


stratégique
logistique

II politique d’approvisionnement

Le Re-complément : il faut par exemple toujours avoir 100 en stock, si je n’ai


plus que 70, je recommande 30

Les stocks théoriques : ce que je pense avoir dans mon stock

Les stocks réels : ce que l’on a réellement après inventaire


logistique

Ici, seuil d’alerte à 50 unités, on doit recommander

Ici, le -25 est une rupture de stock, on doit 25 produits aux clients, on a plus
que 75 produits disponible sur les 100 produits commandés.

Q1 = R – S (1) = 90

Q1 = 150 – 60 = 90

Au moment de la commande, je dois commander 90 produits pour arriver à


150 produits

Cette politique est la plus flexible et la plus difficile à mettre en œuvre


logistique

B évaluation d’une politique d’approvisionnement

Pour être bonne, une politique d’approvisionnement doit :

- Etre en mesure de répondre aux contrainte internes (flux amont) et


externes (la demande = flux aval)

- Tenir compte des délais de livraisons, du conditionnement ( le volume de


stockage), du rythme des approvisionnements et des conditions tarifaire

- Tenir compte du degré d’incertitude de la demande (plus ou moins


continue. Plus la demande est incertaine, plus on choisit une politique
flexible

- Tenir compte de la rémanence de la demande (la réaction du client en cas


de rupture de stock)

On évalue l’efficacité d’une politique d’approvisionnement grâce :

- A la mesure de la « qualité de service » qui est un indicateur de non


qualité, c’est la capacité à rendre service aux gens qui ont besoin du biens
(nombre de rupture, demande non satisfaite, livraisons hors délais)
exemple : qualité de service = nombre d’article livrés dans les délais /
nombre total d’articles demandés)(ex : NL=150, NT=200, QS=0.75 : faible)

- A la mesure du taux de couverture : la valeur moyenne des stocks / valeur


moyenne de la demande ( ex : SM=58, DM=87,TC=58/87=0.66. les stocks
couvrent 66% de la D)

- A la mesure du taux de rotation des stocks : stock moyen par an /


demande moyenne par an * 360 jours (ex : SM=150 ; Ddm=1000 RS = 54
j) le résultat est exprimé en jours, les stocks restent en moyenne 54 jours

Gérer les stocks, c’est :

• Assurer la demande :

- Externe des clients

- Interne des ateliers

• Trouver le niveau optimal, c’est à dire :

- Eviter les ruptures

- Eviter le sur-stockage

• Une gestion à flux tendus : chaque sorties de stocks est égale à une entrée
en stock (juste à temps) ici on minimise les stocks et donc les coûts
logistique
logistique

Cependant ce type de gestion n’est pas toujours possible

III le niveau des stocks

• Il dépend des délais de livraison des fournisseurs et de la fiabilité de ces


délais

• Il dépend des quantités et de la fréquence de consommation des unités en


stock (la vitesse de rotation, de renouvellement des stocks)

• Il dépend du niveau des aléas économique (on ne peut pas contrôler ce


point mais il compte beaucoup) ex : raisons climatique : pèse beaucoup
sur l’agriculture. Il faut donc faire des stocks de sécurité

A notions de base

- Les stocks minimum : ils sont calculés en fonction des délais de


réapprovisionnement et de la consommation correspondante : il ne faut
pas descendre en dessous de ce chiffre afin d’éviter les ruptures de stock.

- Les stocks de sécurité : ils sont nécessaires pour faire face à


l’augmentation de la production par rapport aux ventes ou au retard
d’approvisionnement

- Les stocks d’alerte : ils sont un indicateur de déclenchement des


commandes

- Les stocks moyen : si l’activité est régulière ( si l’on vend tous les jours
autant de produits, SM = (stock initial + stock final) / 2 . si l’activité est
irrégulière, SM = somme arithmétique des stocks moyens

B principaux indicateurs de niveau des stocks

Ici les stocks d’alerte sont égaux aux stocks minimum


logistique

IV surveiller les stocks

Pour connaître le niveau des stocks il faut les surveiller

• Surveillance systématique de tous les stocks si possible et rentable

• Surveillance par exception : 2 méthodes

-méthode 20/80

-méthode Abc

• Si forte rotation, surveillance par sondage, ponctuellement, au hasard. On


surveille quelques produits représentatif de tous les produits

-calcul de la rotation des stocks = stocks moyen annuel / demande


moyenne annuelle * 360 jours (période)

A méthode 20/80
logistique

% quantité : 257/1982 = 13%

% CA : 218 450 / 440040 = 50%

% cumulé quantité : 13 + 5.5+ 1.5 = 20%

A partir de quand en volume obtiens 20% et CA cumulé en valeur de 78%

On est proche d’une inégalité de répartition 20/80. Ici trois références génèrent
80% du CA, ces trois grands produits sont à surveiller

Courbe de concentration
nulle : tous les produits sont
équivalents

Courbe de concentration
forte : inégalité 20/80

Courbe de concentration moyenne : une partie des références qui représente une
partie importante du CA : petite inégalité

B méthode ABC
logistique

ce mode de gestion est plus fin, il faut classer les articles en trois catégories

Contrôle rigoureux tous les mois : A

Contrôle tous les six mois : B

Contrôle juste ce qui est obligatoire : C

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