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ENSEIGNER AU COLLÈGE
ANGLAIS
LV1-LV2
Programmes
et
Accompagnement
Pages
Article 1er – Le collège accueille tous les élèves ayant suivi leur
scolarité élémentaire. Il leur assure, dans le cadre de la scolarité
obligatoire, la formation qui sert de base à l’enseignement secon-
daire et les prépare ainsi aux voies de formation ultérieures.
ANGLAIS ■ 5
Les modalités de mise en œuvre des programmes d’enseigne-
ment et des orientations nationales et académiques sont définies par
les établissements, dans le cadre de leur projet, conformément aux
dispositions de l’article 2-1 du décret du 30 août 1985 susvisé.
Article 5 – Le collège offre des réponses appropriées à la diver-
sité des élèves, à leurs besoins et leurs intérêts.
Ces réponses, qui ne sauraient se traduire par une organisation
scolaire en filières, peuvent prendre la forme d’actions diversifiées
relevant de l’autonomie des établissements.
Elles peuvent également prendre d’autres formes, dans un
cadre défini par le ministre chargé de l’éducation nationale, notam-
ment :
– un encadrement pédagogique complémentaire de l’enseignement ;
– des dispositifs spécifiques comportant, le cas échéant, des aména-
gements d’horaires et de programmes ; ces dispositifs sont proposés
à l’élève avec l’accord de ses parents ou de son responsable légal ;
– des enseignements adaptés organisés, dans le cadre de sections
d’enseignement général et professionnel adapté, pour la formation
des jeunes orientés par les commissions de l’éducation spéciale pré-
vues par la loi du 30 juin 1975 susvisée ;
– une formation s’inscrivant dans un projet d’intégration individuel
établi à l’intention d’élèves handicapés au sens de l’article 4 de la
loi du 30 juin 1975 susvisée ;
– des formations, partiellement ou totalement aménagées, organisées
le cas échéant dans des structures particulières, pour répondre par
exemple à des objectifs d’ordre linguistique, artistique, technolo-
gique, sportif ou à des besoins particuliers notamment d’ordre médi-
cal ou médico-social. Les modalités d’organisation en sont définies
par le ministre chargé de l’éducation nationale, le cas échéant
conjointement avec les ministres concernés. Des structures parti-
culières d’éducation peuvent également être ouvertes dans des éta-
blissements sociaux, médicaux ou médico-éducatifs, dans des
conditions fixées par arrêté conjoint du ministre chargé de l’éduca-
tion nationale et du ministre chargé de la santé.
Par ailleurs, peuvent être proposées aux élèves, en réponse à
un projet personnel, des formations à vocation technologique ou
d’initiation professionnelle dispensées dans des établissements d’en-
seignement agricole. Les modalités d’organisation en sont définies
par arrêté conjoint du ministre chargé de l’éducation nationale et du
ministre chargé de l’agriculture.
Article 6 – Le diplôme national du brevet sanctionne la for-
mation dispensée au collège.
Article 7 – Au terme de la dernière année de scolarité obliga-
toire, le certificat de formation générale peut, notamment pour les
élèves scolarisés dans les enseignements adaptés, valider des
acquis ; ceux-ci sont pris en compte pour l’obtention ultérieure d’un
certificat d’aptitude professionnelle.
Article 8 – Afin de développer les connaissances des élèves sur
l’environnement technologique, économique et professionnel et
notamment dans le cadre de l’éducation à l’orientation, l’établisse-
6 ■ ANGLAIS
ment peut organiser, dans les conditions prévues par le Code du tra-
vail, des visites d’information et des séquences d’observation dans
des entreprises, des associations, des administrations, des établisse-
ments publics ou des collectivités territoriales ; l’établissement orga-
nise également des stages auprès de ceux-ci, pour les élèves âgés de
quatorze ans au moins qui suivent une formation dont le programme
d’enseignement comporte une initiation aux activités profession-
nelles.
Dans tous les cas une convention est passée entre l’établisse-
ment dont relève l’élève et l’organisme concerné. Le ministre chargé
de l’éducation nationale élabore à cet effet une convention-cadre.
Article 9 – Dans l’enseignement public, après affectation par
l’inspecteur d’académie, l’élève est inscrit dans un collège par le
chef d’établissement à la demande des parents ou du responsable
légal.
Article 10 – Les dispositions du présent décret sont applicables
en classe de sixième à compter de la rentrée scolaire 1996, en classe
de cinquième à compter de la rentrée scolaire 1997, en classe de
quatrième à compter de la rentrée scolaire 1998, en classe de troi-
sième à compter de la rentrée scolaire 1999.
Article 11 – Le décret n° 76-1303 du 28 décembre 1976 relatif
à l’organisation de la formation et de l’orientation dans les collèges
est abrogé progressivement en fonction du calendrier d’application
du présent décret défini à l’article 10.
Article 12 – Le ministre de l’éducation nationale, de l’ensei-
gnement supérieur et de la recherche, le ministre du travail et des
affaires sociales, le ministre de l’agriculture, de la pêche et de l’ali-
mentation, le secrétaire d’État à la santé et à la sécurité sociale sont
chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent
décret qui sera publié au Journal officiel de la République française.
Fait à Paris,
le 29 mai 1996
Alain JUPPÉ
Par le Premier ministre :
Le ministre de l’éducation nationale,
de l’enseignement supérieur
et de la recherche
François BAYROU
Le ministre du travail
et des affaires sociales
Jacques BARROT
Le ministre de l’agriculture,
de la pêche et de l’alimentation
Philippe VASSEUR
Le secrétaire d’État à la santé
et à la sécurité sociale
Hervé GAYMARD
ANGLAIS ■ 7
Cycle d’adaptation :
Classe de 6 e
LV1
Attention. Les programmes de cette édition sont désormais obsolètes en 6ème (LV1) et 4ème (LV2).
Veuillez consulter la nouvelle édition 2006 dans la collection Textes de références.
Organisation des enseignements
dans les classes de 6e de collège
Arrêté du 29 mai 1996 – (BO n° 25 du 20 juin 1996), modifié par l’arrêté du 14 jan-
vier 2002 (BO n° 8 du 21 février 2002)
Français 4 + (0,5) ou 5
Mathématiques 4
Histoire-géographie-éducation civique 3
Sciences et techniques :
- sciences de la vie et de la Terre 1 + (0,5)
- technologie 1 + (0,5)
Enseignements artistiques :
- arts plastiques 1
- éducation musicale 1
Aide aux élèves et accompagnement de leur travail personnel : 2 heures par division
En plus des enseignements obligatoires, chaque élève peut participer aux diverses activités édu-
catives facultatives proposées par l’établissement.
____________
(1) Le programme d’EPS de la classe de sixième, défini par l’arrêté du 14 novembre 1985 est abrogé à
compter de la rentrée 1996 par l’arrêté du 18 juin 1996.
(2) Remplacés par les nouveaux programmes en vigueur.
Programme du cycle
d’adaptation : classe de 6e
I – Compétences terminales
en fin de collège
En fin de troisième, les élèves devront donc avoir été entraînés
à maîtriser les compétences suivantes :
A – Compétences linguistiques
1. Compréhension de l’oral
Quelle que soit la nature du message (récit, conversation,
bulletin d’information, etc.), il importe que celui-ci soit exprimé
dans une langue usuelle ne comportant aucune surcharge lexicale
ou syntaxique, qu’il provienne d’un enregistrement authentique de
qualité et qu’il n’excède pas une durée d’une minute.
2. Compréhension de l’écrit
Les capacités requises pour la compréhension de l’oral sont,
pour la plupart d’entre elles, également pertinentes pour l’écrit. La
possibilité qu’offre le texte écrit d’opérer des lectures successives et
récurrentes permet d’aller plus loin dans le domaine de l’inférence
et de la reconnaissance du sens à partir des structures formelles.
Tout en acceptant que les textes proposés soient rédigés dans
une langue plus élaborée que les documents retenus pour entraîner
à la compréhension de l’oral, on évitera tout excès de difficulté lexi-
cale ou grammaticale. D’autre part, si, dans les dernières années du
collège, on peut envisager avec profit une initiation à la lecture en
continu d’œuvres simples, voire adaptées, on se limitera, pour les
tâches d’évaluation, à des documents de longueur raisonnable (1 à
2 pages).
Qu’il s’agisse de compréhension globale, de compréhension
sélective ou de compréhension de l’implicite, l’élève doit être
capable de :
• repérer les mises en relief visuelles (pagination, caractères,
ponctuation, etc.) ;
• repérer les articulations logiques du langage (coordination,
comparaison, opposition, cause, but, etc.) ;
• vérifier le sens de termes inconnus à partir des principaux
procédés de formation des mots (composition, dérivation, préfixa-
tion, etc.).
3. Expression orale
Au terme de la scolarité du collège, l’élève doit être en mesure
de formuler oralement un message simple dans la langue d’aujour-
d’hui, telle qu’elle est pratiquée dans des situations courantes de
communication.
4. Expression de l’écrit
On ne perdra pas de vue que des quatre compétences linguis-
tiques classiques, l’aptitude à l’expression écrite est la plus longue
et la plus délicate à construire. Néanmoins, au terme de la scolarité
du collège, un élève doit être en mesure de rédiger un bref para-
graphe structuré de l’ordre de dix à quinze lignes (commentaire
d’image, lettre, brève notice, court récit, dialogue, etc.).
Les tâches d’expression écrite vont de la simple copie sans
faute d’un énoncé ou d’un bref passage à la rédaction d’un para-
graphe en relation avec un événement, un document écrit, visuel ou
sonore, ou à l’imitation d’un modèle.
Pour y parvenir, l’élève doit avoir été entraîné à :
• construire des énoncés simples : poser une question,
répondre à une question, continuer une phrase, effectuer une trans-
position, etc. ;
• enchaîner des énoncés à l’aide des articulations logiques du
langage.
B – Compétences culturelles
La construction progressive de ces compétences ne peut pas
se limiter à la transmission d’informations historiques, géogra-
phiques, sociologiques sur les pays de la langue cible. Il s’agit, au
niveau du collège, de sensibiliser les élèves à des spécificités cul-
turelles, c’est-à-dire de les amener à prendre conscience à la fois
des similitudes et des différences qui peuvent exister entre leur
pays et les pays dont ils apprennent la langue, dans les usages
sociaux, les coutumes, les mentalités, les institutions. On veillera à
ce que cette approche interculturelle s’effectue par des comparai-
sons susceptibles d’entrer dans le champ d’expérience d’adoles-
cents de onze à quinze ans.
C – Compétences méthodologiques
Pour atteindre des aptitudes répertoriées ci-dessus et pouvoir
poursuivre l’étude de la langue, l’élève en fin de troisième doit
disposer d’une certaine autonomie dans le domaine méthodologique
disciplinaire. Il doit être en mesure de :
II – Orientation fonctionnelle
Si ce qu’il est convenu d’appeler l’approche fonctionnelle/
notionnelle, dont ce tableau porte la marque, a fait progresser l’ap-
prentissage de l’anglais, c’est notamment parce qu’elle a fait prendre
conscience à l’élève des spécificités de l’étude d’une langue étran-
gère. Apprendre l’anglais, c’est se forger progressivement un outil
pour exprimer ce que l’on a envie ou besoin d’exprimer ; c’est, en
particulier au collège, s’approprier des savoirs pour construire des
savoir-faire. L’ordre de présentation retenu, qui suit la même logique
de communication que l’inventaire lexical thématique, ne suggère
en rien une progression pédagogique.
2. Échange d’informations
2.1. Se présenter : donner I am…/ My name is L’alphabet Pronoms personnels
et épeler son nom, donner I am eleven/twelve Les nombres
son âge, son adresse, son My phone number is… Noms composés
numéro de téléphone I am French/English… I live Les noms de nationalité Prépositions
in… + les noms de pays et de
villes (Réf. lex.2.2.2.)
Demander des informa- Who are you ? What’s your Questions ouvertes
tions relatives à l’identité, name/phone number/
la nationalité de quelqu’un address ?
Where do you come from ?
Where are you from ?
Where do you live ?
Can you spell… ? CAN
How old are you ?
Présenter quelqu’un This is John. He’s from… THIS
2.2. Nommer, donner et What’s this ? What’s that ? Objets de la salle de classe Démonstratifs
demander des informations What colour is it ? et de la maison (Réf. lex. Questions ouvertes
sur des personnes, des How old is she ? 3.1.2./ 2.2.5.)
animaux, des objets, des How much is it ? It is £10. Couleurs (Réf. lex. 1.2.3.) BE
emblèmes et symboles How many… are there ? Monnaie
culturels… This is a bottle of Coke/an Vêtements (Réf. lex. 1.1.3.) Quantifieurs-Pluriel
Irish song… Parties du corps (Réf. lex. A/AN - THE
It is red/blue… 1.1.1.)
She is eleven/twelve… Animaux (Réf. lex. 2.1.4.) Adjectifs
She is tall and she has got Âge, taille (Réf. lex. 1.1.2.) Numéraux
blue eyes. What is she like ? Coordination
It’s sunny/raining… What’s the weather like ? Dériv. - BE +-ING
There are… THERE IS/ARE
This is the Queen.
2.4. Donner et demander I get up at seven every Les activités à l’école, à la Présent
des informations sur des morning. maison
occupations habituelles Do you go to school by Les loisirs (Réf. lex. 3.1.) Adv. et gr. prép.
Parler de ses habitudes, se bus ?
renseigner sur les habitudes No, I usually walk to
d’autrui school.
So, what are you going Les fêtes (Réf. lex. 3.2.) Verbes trans. indir.
to wear for Halloween ?
3.1. Repérer dans l’espace What’s in the fridge ? Vocabulaire de l’environne- Questions ouvertes
Parler de la présence, de There is ø/some butter ment THERE IS/ARE
l’absence, du nombre, in the fridge. (Réf. lexicale 2.) Singulier/Pluriel
de la quantité de… There are ø/some carrots Déterminant ø
in the fridge. SOME
There is nothing/there isn’t ANY/NO
anything in the fridge.
Situer dans l’espace Where… ? In/on/at… Repères dans l’espace Groupes préposit.
Where can I buy some (lex.1.2.2.) CAN
stamps ? On the left/on the right. SOME
Indiquer une direction, Where are you going ? To… Aspect BE + -ING
décrire un changement Where are you coming Turn left/turn right/straight
de lieu from ? on.
Situer dans le temps When was it ? When did it Today, yesterday, tomorrow Prétérit
happen ? Adverbes
Two days ago. Adj. numéraux
On Saturday/last week… Compléments prép.
Établir des liens A long time ago, the Tower Then, now, today... a long Présent - Prétérit
chronologiques simples was a castle and a prison. time ago
Today, it’s a museum. In + année
Parler de ce qu’on a fait. What did you do last Activités (Ref. lex. 3) Prétérit
Poser des questions à autrui night ? We went to the ci-
sur son passé nema.
He told me a story. Verbes à 2 compl.
When did you buy your Questions
camera ? Subord. de temps
When I was in London.
4. Expression de goûts et
de réactions personnelles
4.2. Dire ce qu’on pense I know he works here. I’m sure ; I know/I don’t Complétives
I don’t think so. know. SO
I think ; I believe ; Négation
I suppose.
Fantastic ! What a pity !
5. Modalités de l’action It depends (Réf. lex. 1.3.3.)
I can speak English. CAN
I can’t find my pen.
6. Domaine de l’action
exercée sur autrui
Exercer de l’influence sur Sit down ! (Réf. lex. 3.1.2.) Injonction positive
autrui par des injonctions, Try again !
des suggestions Put your coat on ! Put it V. trans. à particule
on ! Why don’t you… ? Injonction négative
Don’t write in your
text-book ! Subord. nominales
Stop shouting ! Ellipses
What about a cup of tea ?
7. Domaine de l’expression
discursive
7.2. Justifier, opposer, I like… but I prefer… (Réf. lex. 1.4.1., 1.4.2., Coordination
apprécier, exprimer son because… 1.4.3.) Subord. de cause
accord ou bien son It’s quicker/easier… Comparatifs
désaccord It’s more interesting/ Adverbes
beautiful…
It’s very funny. It depends.
I love it ! You’re right/wrong !
It’s really impossible. Why not ? Dérivation
Of course it’s Clinton ! I
saw him on TV yesterday.
Principes généraux
Ce programme a été établi en tenant compte des principes
suivants auxquels il serait bon de sensibiliser les élèves dès le stade
du collège :
I. Tous les textes, tous les discours (les énoncés) sont le produit
de choix effectués par celui qui les construit (l’énonciateur) en
fonction de :
– lui-même,
– la situation dans laquelle il se trouve (temps et lieu),
– celui à qui il s’adresse,
– ce qu’il veut dire.
II. Dans tout énoncé, on parle de quelque chose (en général
connu) – le thème de l’énoncé – pour introduire une information
(nouvelle) sur ce thème : le commentaire fait sur ce thème. Cette
information est marquée d’abord par la prononciation :
. This is JOHN,
. There is A BOOK on the table,
. YOU are not Peter,
. You are NOT Peter, HE is Peter !
. You are not PETER,
III. La langue française et la langue anglaise présentent des
différences qui ne se limitent pas au lexique, en particulier des
catégorisations différentes :
– deux genres en français (masculin et féminin), mais trois en
anglais (masculin, féminin et neutre),
– quatre temps à l’indicatif français (présent, imparfait, passé
simple et futur) – sans compter les temps composés –, mais deux
temps en anglais (présent et prétérit),
1. Phonèmes
1. Mise en place systématique des « sonorités » propres à
l’anglais :
– Voyelles, notamment [!] et les oppositions de timbre et de
longueur pour [I]/[i:], [æ]/[a:], [!]/[ɔ], et [υ] ([u:],
– Diphtongues et opposition [ei]/[e], [D]/[du],
– Consonnes : les dentales [θ] et [ð], les plosives [p], [t], [k],
les alvéolaires [t], [d], la vélaire [ŋ] et les sons [h], [r], [l].
2. Rythme et accentuation
1. Au niveau du mot :
– Présence d’un accent de mot,
– Accentuation des mots où BE- et A- sont en position de
préfixe (about, again, before, begin, behind),
– Non incidence de l’ajout de flexions et terminaisons neutres
(teacher, visitor),
– Accentuation à gauche des noms composés comme milk-
man.
I. Orthographe
Emploi des majuscules et minuscules Mr Smith is English.
II. Morphologie
Altérations du radical causées par
l’adjonction d’un morphème :
– redoublement de la consonne finale stop, stopped, stopping ; fat, fatter ; Rapport graphie-phonie :
sun, sunny… maintien de la valeur de la voyelle
– suppression d’un e final inaccentué live, lived, living… Réalisation phonique des morphèmes
– introduction d’un e entre le radical bus, buses ; watch, watches ; potato, -S et -ED
et le suffixe potatoes…
– transformation de y en ie baby, babies ; try, tries…
– transformation de y en i easy, easier ; try, tried ; beauty,
beautiful…
III. Formation de mots
1. Par dérivation
– préfixes IM- : possible ➞ impossible Non incidence sur l’accentuation, de
– suffixes -ER, -OR : teach ➞ teacher ; l’ajout des flexions et terminaisons
visit ➞ visitor neutres, et des préfixes.
Réalisation en [ə] des suffixes -ER et
-OR.
2. Par composition :
– noms composés
– verbes composés milk + man ➞ milkman Accentuation à gauche et incidence
sit + down ➞ sit down phonétique sur MAN
THAT [+ possibilité d’ellipse du nom] Did you hear that ? THAT démonstratif, forme pleine.
I don’t want to go back to that place ! Forme faible des deux TO.
What’s that thing under the bed ? Opposition [ð]/[θ]
Pronoms personnels
– Distinction de personnes (1re, 2e, 3e) I/WE ; YOU ; HE/SHE/IT/THEY Formes normalement faibles, mais
– Distinction de fonction (sujet, I, WE, YOU, HE, SHE, IT, THEY formes pleines et accentuées dans des
complément, génitif) ME, US, YOU, HIM, HER, IT, THEM énoncés contrastifs.
MY, OUR, YOUR, HIS, HER, ITS,
THEIR
– Distinction de genre (masculin, HE, HIM ou HIS
féminin, neutre) SHE ou HER,
IT ou ITS
Génitif déterminatif [+ possibilité Bob’s father saw you ; you were going Accent principal sur le nom
d’ellipse du nom] to the butcher’s. déterminé FATHER
Whose father ?
The neighbours’father (their father).
V. Quantification
1. Fonctionnement dénombrable/ Fonctionnement indénombrable en
indénombrable anglais de fish, fruit, hair, sugar,
toast…
2. Distinction singulier/pluriel (pour ø/–S : book/bookS, kniFE/kniVES ; Rapport graphie/phonie
les dénombrables) mAn/mEn…
– Accord avec certains déterminants THIS book/THESE books
– Accord avec les pronoms de reprise It/they (Look at this book, IT’s Réalisation de [υ] dans LOOK et
interesting) BOOK
– Accord avec le verbe à certaines The book IS…/the books ARE…
formes
3. Quantifieurs
– ANY/SOME Are there any carrots in the fridge ?
There aren’t any.
Is there any butter in the fridge ?
There isn’t any.
There are some carrots in the fridge. Distinction de la forme pleine [s!m]
There are some. et de la forme faible [səm] de SOME
There is some butter in the fridge.
There is some.
– HOW MANY ?/HOW MUCH ? How many carrots and potatoes have Réalisation du [h] de HOW et du [!]
you got ? de MUCH
How much butter and milk have you
got ?
– A LOT A lot of potatoes, of butter… Formes faibles de OF
– NOT MANY/NOT MUCH … but not many carrots and not
much milk…
– Adjectifs numéraux I got fifty sweets for £1 (one pound).
– Dénombreurs : I’d like a bottle of Coke/a pound of
BOTTLE/pound/piece of… butter/two pieces of toast.
– EVERY (déterminant) I get up at seven every morning. [e]
– ALL (prédéterminant) All my friends get up at eight all the Opposition [e]/[e]
year round.
VI. Combinaisons
1. Complémentation
a. Complémentation du nom : The girl at the shop, the cat near the Rythme et accentuation : forme faible
en OF/WITH/IN/AT/ON/BY/NEAR window, a boy with red hair, the top des prépositions et des déterminants
of the stairs.
b. Complémentation de l’adjectif : I’m proud of it, I’m quite happy with Rythme et accentuation : forme faible
en OF/WITH/AT it, I am surprised at you…, etc. des prépositions
c. Complémentation du verbe :
– Verbe intransitif (complémentation ø) She smiled.
– Verbes transitifs directs avec un I hate your hat. Rapport graphie-phonie : HATE
complément (sans particule ou avec [e]/HAT [æ]
particule) ou avec deux compléments Take your hat off, take it off. Forme pleine des particules
– Verbes transitifs indirects (complé- He told me a funny story. Opposition [əυ]/[(ɔ:]
mentation par groupe prépositionnel) She is listening to the radio. He is Opposition [υ]/[u:]
– Verbes d’état (complémentation par looking at my shoes.
attribut) He looks tired.
Comparaison des adjectifs It’s more interesting, more beautiful, Accent de mot dans les adjectifs
(supériorité) quicker and easier. longs (INTERESTING, BEAUTIFUL)
NB : Le second terme de la
comparaison (than…) ne sera pas
introduit en 6e.
II. Subordination
1. Subordination nominale : She says she’s English. Articulation de 2 schémas intonatifs
– Complétives I’d like to do my homework. Forme faible de TO
– Infinitives en TO I like watching television ; stop
– Nominales en -ING shouting !
III. Ellipses – It’s time to go to bed ! – I don’t want Réalisation pleine de TO, DO, CAN…
En particulier dans les réponses, to [go to bed] !
ellipse des éléments évidents – Do you like chocolate ? – Of course
I do [like chocolate], can I have some
[chocolate] ?
– Can I go to the cinema ? Please,
Mum !
– All right, you can [go to the
cinema] !…
IV. Reprises
Réalisation non accentuée
Reprise d’un événement : IT I knew it ! de l’élément de reprise
Reprise d’un discours : SO I think so. Diphtongaison de SO : [əυ]
IV – Programme lexical
En complémentarité avec le tableau des orientations fonction-
nelles est proposé un regroupement thématique du lexique. À
chaque rubrique figure le vocabulaire indispensable pour faire face
aux situations de communications répertoriées. En outre, des listes
de mots indicatives, non exhaustives, imprimées en petits caractères,
permettent une prise en compte des acquis de l’école, une gestion
souple de l’hétérogénéité des classes, ainsi qu’un enrichissement des
connaissances lexicales en fonction de situations diverses (exploi-
tation de documents, d’un fait culturel, d’un jumelage, d’un
voyage…).
Cette présentation thématique n’indique pas une progression
d’apprentissage chronologique mais une tentative de classement du
vocabulaire à des fins pédagogiques tenant compte des situations
d’apprentissage les plus courantes, ce qui ne limite pas l’utilisation
de ces éléments lexicaux au seul contexte choisi.
Présentation thématique
1. L’individu
1.1. Sa description
1.1.1. Le corps
1.1.2. L’âge, la taille…
1.1.3. Les vêtements et accessoires
1.2. Ses repères
1.2.1. Le temps
1.2.2. L’espace
1.2.3. Les couleurs
1.3. Sa perception et ses activités intellectuelles
1.4. Son appréciation et ses réactions affectives
2. Son environnement
2.1. Environnement animé
2.1.1. Les personnes
2.1.2. La famille
2.1.3. Les occupations
2.1.4. Les animaux
2.2. Environnement inanimé
2.2.1. Le climat
2.2.2. Les pays/Les villes
2.2.3. L’environnement urbain et rural
2.2.4. L’habitat
2.2.5. Le mobilier et accessoires
1. L’individu
1.1. Sa description
1.1.1. Le corps : eye, face, foot/feet, hair, hand.
Liste complémentaire indicative : arm, finger, head, leg, mouth, nose,
shoulder, …
1.1.2. L’âge, la taille… : big, dark, fair, fat, long, old, short,
slim, small, strong, tall, young.
1.1.3. Les vêtements et accessoires : clothes, change/changed,
coat, dress, glasses, jeans, put/put on, (T-) shirt, shoes, skirt, sweater,
take/took off, trainers, trousers, umbrella, watch, wear/wore.
Liste complémentaire indicative : anorak, blazer, boots, cap, hat,
pocket, pyjamas, shorts, socks, swim-suit, tie, tights, track-suit, …
2. Son environnement
2.1. Environnement animé
2.1.1. Les personnes : baby, boy, child, friend, girl, man, neigh-
bours, teenager, woman.
Liste complémentaire indicative : Excuse me !, help/helped, How are
you ?, kiss/kissed, meet/met, Nice to meet you !, Please !, say/said,
show/showed, Sorry !, tell/told, …
2.1.2. La famille : brother, Dad/daddy, family, father, grand-
father/mother, mother, Mum/mummy, parents, sister.
Liste complémentaire indicative : aunt, cousin, husband/wife, uncle,
son/daughter…
2.1.3. Les occupations : buy/bought, cheap, doctor, expensive,
learn/learned, milkman, policeman, postman, pupil, sell/sold, stu-
dent, teach/taught, teacher, work/worked.
Liste complémentaire indicative : actor/actress, baker, bus-driver,
butcher, dentist, headmaster, singer, vet…
2.1.4. Les animaux : animal, bird, cat, chicken, cow, dog,
horse, rabbit.
Liste complémentaire indicative : elephant, lion…
3. Activités
3.1. La vie quotidienne
3.1.1. La maison : be/was asleep, busy, clean, dirty,
drink/drank, eat/ate, get/got up, dress/dressed up, have/had a meal,
(have breakfast, have dinner, have lunch, have tea), hungry, phone,
phone/phoned, ring/rang, sleep/slept, thirsty, tidy (one’s) room, wake
up/woke up, wash/washed, watch T.V./watched T.V.
Liste complémentaire indicative : brush/brushed (one’s) teeth,
cook/cooked, cut/cut the grass, do/did the shopping, hoover/hoovered,
make/made the beds, prepare/prepared, read/read a magazine…
apple, bacon, banana, bread, butter, cake, carrot, cereals,
chewing-gum, chicken, chips, chocolate, coffee, Coke, egg, fish,
food, fruit, ice-cream, marmalade, meat, milk, orange, potato, salad,
sandwich, sugar, sweet, tea, toast, vegetables, water.
Liste complémentaire indicative : beer, burger, cheese, cookies,
crisps, fries, ham, jam, ketchup, pasta, pepper, pie, pizza, salt, steak,
tomato…)
3.1.2. L’école : answer/answered, ask, do/did an exercise, do
one’s homework, draw/drew, read/read, try/tried, write/wrote.
Liste complémentaire indicative : Can you make a sentence (?), Can
you explain… ?, Can you spell… ?, Correct…, Describe (the picture) !,
Hurry up !, Listen (to the tape) !, Look !, Look at…, Quiet !, Repeat !, Sit
down !, Speak up !, Stand up !, Turn (around) !, What do you mean ? …
book, classroom, exercise-book, lesson, pen, pencil.
Liste complémentaire indicative : biro, chalk, note-book, rubber,
ruler, subjects, text-book, time-table…
3.1.3. Les loisirs et les jeux : collect/collected (stamps, pins…),
hobby, listen/listened to (music/CDs/records), play/played games,
read/read (books/comics/the paper), watch/watched (T.V./a video/a
film).
Liste complémentaire indicative : bingo, cards, computer, magazines,
programme, VCR, walkman…
3.1.4. Les sports : ball, catch/caught, cricket, football,
jump/jumped, kick/kicked, match, miss/missed, play, rugby, skiing,
swim/swam, tennis
Liste complémentaire indicative : basket-ball, lose/lost, racket, swim-
ming-pool, win/won…
V – Approche culturelle
Apprendre l’anglais, ce n’est pas seulement apprendre à
communiquer, oralement et par écrit, dans des situations de la vie
courante. C’est aussi acquérir des savoir-faire indispensables dans la
communication interculturelle, notamment en s’initiant aux réalités
les plus immédiates de la civilisation des pays anglophones : usages,
modes de vie, notions élémentaires de géographie et d’histoire. C’est
également, même pour l’élève de sixième, commencer à confronter
sa propre expérience et sa propre culture à celle des autres. En ce
sens, l’apprentissage d’une langue vivante contribue à la fois à déve-
lopper son sens du relatif et de la tolérance et à affermir sa propre
identité.
En classe de sixième, cette initiation culturelle demeurera très
modeste et s’opérera essentiellement par le mot, par l’image ; elle
sera facilitée par le recours aux technologies modernes sous leurs
diverses formes.
SOMMAIRE
Pages
I – Enseignement de la grammaire 42
A. Quelle grammaire ? . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 42
B. Ses objectifs . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 43
C. Sa progression . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 43
D. La grammaire dans le cours d’anglais : application . . . 44
II – Présentation du programme grammatical . . . . . . . . . . 52
V – Intégration culturelle . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 56
I – Enseignement de la grammaire
A. Quelle grammaire ? reconnaître par les autres la légitimité de l’al-
ternance des prises de parole, et instaurer
Dans le cadre d’une approche communicative, d’emblée des rapports énonciateur-coénoncia-
il faut nécessairement prendre appui sur une teur dans la succession et la courtoisie indis-
grammaire de l’énonciation. Comment en effet pensables à toute communication. On veillera
pourrait-on étudier le langage en tant qu’instru- à encourager l’expression de l’opinion person-
ment de communication sans se soucier de ce nelle de l’élève et à reconnaître sa liberté
qu’est la communication, sans tenir compte du d’énonciateur. On apportera enfin, lors des
fait qu’il s’agit du passage d’un message exercices de production écrite ou orale, un soin
(énoncé) d’un individu (énonciateur) à un autre tout particulier à proposer, voire recréer, une
qui est censé lui répondre (coénonciateur), situation d’énonciation qui leur soit adaptée et
dans une situation (d’énonciation) donnée, ne soit ni trop artificielle ni trop invraisem-
pour atteindre des objectifs particuliers (fonc- blable.
tions du langage) ? Reconnaître la dimension énonciative du lan-
Étudier le langage dans une approche commu- gage, et reconnaître le langage comme l’ex-
nicative, c’est donc : pression de la représentation que se fait du réel
– étudier les diverses fonctions qu’il remplit, un énonciateur, c’est admettre qu’à des énon-
– considérer systématiquement les énoncés ciateurs différents puissent correspondre des
produits dans le cadre de leur situation d’énon- langages différents… Un Anglais et un Français
ciation, sont certes tous deux des êtres humains et ont
– prêter une attention toute particulière à donc des démarches mentales communes,
l’énonciateur qui le crée, et aux choix auxquels démarches communes à divers autres peuples,
il procède pour ce faire. démarches communes également à divers
Ainsi tout le programme, qu’il s’agisse de autres domaines que le langage verbal – la
l’orientation fonctionnelle, du lexique ou de la démarche logique par exemple – à tel point
grammaire proprement dite, donne-t-il lieu à que l’étude de leurs langues respectives peut
une présentation centrée sur l’élève chez qui il fournir des occasions de procéder à des actions
importe de développer des capacités d’énon- interdisciplinaires entre les enseignements de
ciateur et de coénonciateur. mathématiques, de langue maternelle et de
Il sera de surcroît indispensable de veiller à langue étrangère par exemple. Il n’en demeure
recréer autour de lui des conditions propices à pas moins que l’anglais, qui a une autre
l’établissement de cette communication, à faire culture, un autre passé que le français, diffère
Why is he so angry ?
Because his wife is not at home… or because he is
tired.
Why is he tired ?
Because he’s busy… He’s a very busy man.
Why ? Read !
He says “I run to the school, I run to the station, I Introduction de présents simples avec gestuelle et
run to my office, I run to the cafeteria, dessins au tableau qui pourront donner lieu à sup-
I run to the shops, I run to the school again ! port pour une conceptualisation du présent simple :
I run back home…” dessiner tout le trajet de Mr Brown.
A. Pour le présent simple (présent + aspect ø) : Focalisation sur les événements vus globalement et
objectivement (caractéristiques, habitudes)
1. You’ve got/you haven’t got a pet. Find five good La classe est divisée en deux groupes.
reasons for it.
Chaque élève remplit son formulaire, qui est ensuite
2. Fill in this form, please : relevé par le professeur.
Mais ce dernier, très étourdi, a oublié de demander
Eating habits :....................................................... à chacun son nom. Il confie aux élèves du groupe 1
............................................................................ la charge d’identifier les auteurs des formulaires du
Sports :................................................................. groupe 2 et vice versa. Bien sûr, les élèves doivent
............................................................................ justifier leur réponse : “It is Peter’s form, because he
Hobbies : ............................................................. plays tennis, he collects pins and he walks to
............................................................................ school : he lives near the school !”
Favourite clothes : ................................................
............................................................................
Means of transport to school : ..............................
............................................................................
B. Pour le présent + aspect be + -ing Focalisation sur le sujet (en général le personnage) :
Descriptions.
1. Reconstruction of a picture by the class. Un décor est affiché, et les élèves disposent chacun
d’une ou plusieurs cartes représentant des person-
nages qui peuvent être intégrés dans le décor en
fonction de leur occupation du moment. Ils doivent
décrire le personnage de leur carte en identifiant
l’occupation en question et le placer sur le décor,
sous la surveillance et le contrôle de leurs cama-
rades.
2. The pictures of a cartoon (on the blackboard or On veillera à faire commencer les réponses à ces
in the book) are in the wrong order ; you must put exercices par Look… ou Listen…, qui matérialise-
them back in the right order. To do so, look at what ront à la fois :
the people in them are doing. – l’intervention de l’énonciateur qui fait un
commentaire sur un sujet,
3. Listen to the tape recorder. You can hear some – et le côté statique, descriptif du point de vue qu’il
noises. Listen and guess what the people are doing. présente (Cf. équivalent français par Tiens).
4. You haven’t got any homework to do and you Identification des silhouettes.
look out of the window. You can see your neigh-
bours through their window. Try to guess what they
are doing from their silhouettes.
1. En français, faire distinguer à partir de quelques Il pourra être utile de vérifier que l’élève perçoit la
phrases au présent si ce qui prime est l’évocation de distinction en français en se repérant grâce à des
l’événement (film) ou la description du personnage éléments du contexte qui peuvent servir d’indices.
(image à un moment donné) :
Faire relever ces éléments (en les surlignant par
– Pour faire une crêpe dans les règles de l’art, on la
exemple) et les faire classer dans deux colonnes :
fait sauter aussi haut qu’on peut.
l’une réservée aux indices correspondant à une
– Que personne ne bouge : je fais sauter ma crêpe !
information globale – que l’on pourrait illustrer par
– Attention, le chien mange un gâteau !
un film (effets de sens d’habitude, de caractéristique
– On ne mange pas des gâteaux au début du repas !
générale) – et l’autre correspondant à un arrêt de
– Qu’est-ce qu’ils vendent, dans ce magasin ?
l’esprit sur une scène à un moment donné – que l’on
– Il y a Thierry qui vend son vélo !
pourrait illustrer par une photo, une image (effets de
– Non, je ne me cache pas sous la table : je cherche
sens de description, commentaire divers : surprise
mon stylo qui est tombé !
par exemple).
– Regarde ton car qui s’en va !
– Ce n’est pas mon car : mon car ne part jamais
Information globale Arrêt sur une scène
avant la demie !
– Attention, Jenny nous écoute ! Elle se mêle tou- On (= les gens) Que personne ne bouge
jours de ce qui ne la regarde pas ! Ce qu’elle Ils (= les gens) Attention
m’agace ! Jamais Il y a… qui
– De toute façon, je m’en vais. Mon car part dans un Toujours Regarde
quart d’heure ! Je te laisse ! Ce que… !
etc.
Mettre les verbes entre crochets à une forme adé- On pourra ensuite proposer une application en
quate pour que les phrases ci-dessous aient un anglais.
sens :
– The English [drive] on the left.
– I never [eat] carrots.
– Look, it [snows].
– Listen, the baby [cry].
– Babies always [cry] !
– Why [cry] you ?
– I [cry not, I [laugh] !
– They [speak English] in all shops.
3. You are a reporter. Report on what you see. On projette un dessin animé avec plusieurs actions
successives, et on fait des arrêts sur image occasion-
nels sur certains personnages. On peut ainsi faire
passer les élèves de la forme simple pour le récit à la
forme be + -ing pour la description des person-
nages.
II – Présentation du programme
grammatical
Ce programme grammatical s’efforce de s’approprier les outils qui leur permettront de
répondre à deux exigences. Il se veut souple, dépasser le simple stade de la reproduction
afin que puissent être pris en compte les pour créer du langage et devenir progressive-
acquis, très variables pour l’instant, de l’initia- ment autonomes.
tion à l’école primaire. Et il cherche à donner Dans son contenu, le programme que nous pré-
aux élèves, dès le début de l’apprentissage, les sentons n’est guère différent de celui de 1985
moyens de comprendre les grands axes de dont on trouvera ci-dessous les principales
fonctionnement et les principes unificateurs de rubriques. Lorsque des modifications ont été
la langue anglaise. Les élèves pourront ainsi apportées, elles figurent en regard.
Lorsque nous avons modifié le contenu, c’est Nous avons renoncé à la terminologie tradi-
essentiellement pour tenter de mettre en place tionnelle lorsque cette dernière paraissait pou-
chez l’enfant des comportements qui lui per- voir être génératrice d’erreurs (ont été par
mettront d’induire le sens d’énoncés nou- exemple évités « forme progressive », qui sug-
veaux (Ex. : dérivation ou ellipse), et de gère évolution et « forme continue » qui sug-
satisfaire des besoins d’expression correspon- gère durée, deux concepts qui rendent difficile-
dant à son âge (Ex. : prétérit, subordination de ment compte de toute la diversité des emplois
temps par when ou encore be + -ing de de la forme be + -ing).
modalité). En revanche, nous avons procédé à Enfin, à une présentation descriptive des faits de
certains allégements, par exemple le complé- langue a été préférée une approche qui per-
ment du comparatif ne nous paraît pas être mette au professeur de faire percevoir à l’élève
une priorité, et certains éléments du pro- le fonctionnement de la langue et la cohérence
gramme de 1985, tels que le genre ou encore du système. La réflexion qu’impose cette appro-
other, qui nous semblent relever davantage du che devrait contribuer à consolider sa connais-
lexique que de la grammaire, n’ont pas été sance de sa propre langue et faciliter ultérieure-
retenus. ment l’apprentissage d’autres langues.
IV – Éducation de l’oreille
et pédagogie audio-orale
C’est l’une des priorités, sinon la première, car tion (création d’une attente, par référence à
la compréhension d’un message oral authen- l’expérience de l’élève ou à partir d’un docu-
tique est l’une des difficultés majeures pour un ment iconographique, par exemple). L’effica-
francophone. L’autre raison est que cette péda- cité d’une aide se mesurant à sa disparition
gogie, convenablement graduée, permet à progressive, le professeur s’efforcera de la ré-
l’élève de prendre rapidement conscience des duire jusqu’à ce que ses élèves soient capables
progrès qu’il accomplit. de mettre en œuvre par eux-mêmes les savoir-
Elle se situe donc dans une stratégie d’encoura- faire indispensables à une compréhension
gement. autonome ;
Ce que l’on sait actuellement des processus de 2. Guider l’élève en définissant avant chaque
compréhension d’un message oral en langue audition une série de tâches à effectuer pen-
étrangère permet de définir quatre conditions dant l’écoute. Chaque tâche doit être brève et
indispensables pour que cette aptitude soit cerner les données immédiatement percep-
développée avec efficacité. tibles (faits essentiels, éventuellement ton et
Le professeur veillera à : atmosphère) ;
1. Entraîner l’élève à concentrer son attention 3. Entraîner l’élève à repérer les mots en posi-
exclusivement sur le message oral, sur le son. tion accentuée au cours d’écoutes successives.
Cette concentration, qui est la clef de la réus- Ce repérage pourra se faire sous forme de prise
site, pourra être précédée d’une mise en condi- de notes ou par la seule mémorisation. C’est à
V – Intégration culturelle
Culture et communication sont liées. La langue Ainsi, l’élève de 6e continuera de découvrir,
est le signe principal de la spécificité d’un pays, d’observer, de décrire, mais on l’aidera, de sur-
ou du moins d’une communauté, mais elle est croît, à organiser ses connaissances afin de ne
liée à un peuple, à son cadre de vie, à son his- pas enfermer l’initiation culturelle dans quel-
toire. Parler une langue étrangère, c’est savoir ques images stéréotypées et afin de poser les
parfois se mettre à la place de l’autre, penser jalons nécessaires à un enrichissement et une
comme lui, se représenter le monde de l’autre. complexification ultérieurs.
La méconnaissance des référents culturels peut L’élève et ses besoins langagiers restant au
être une entrave à la communication. Par centre de l’apprentissage culturel, cette initia-
exemple, certains mots anglais n’ont pas d’é- tion sera donc définie en termes de savoir-faire
quivalents en français (pub, Halloween), et et intégrée à l’ensemble. Il ne semble pas sou-
d’autres n’évoquent pas la même chose que haitable de la concevoir sous la forme d’une
leurs équivalents (tea, breakfast, Channel). liste de traits culturels à étudier. Il va de soi
Pour communiquer, il faut aussi avoir des qu’on ne saurait reléguer le contenu en annexe
connaissances culturelles et savoir les mobili- ni le présenter comme une leçon de civilisa-
ser. C’est la raison d’être d’une composante tion. C’est pourquoi on trouvera dans le tableau
culturelle dans le programme. fonctionnel des exemples qui font intervenir
Dans le domaine de l’apprentissage culturel des indices culturels illustrant les liens entre
aussi, la classe de 6e assure la continuité entre toutes les composantes de la langue dans une
l’école et le collège. Dans ce souci de cohé- perspective de communication. Ainsi, on aura
rence, on organisera donc le travail selon deux besoin du prétérit pour parler du passé, d’un
grands axes : monument emblématique (3.2), du présent
simple pour parler de la profession et des habi-
– on continuera d’aider l’élève à prendre tudes d’un personnage célèbre (2.4), de la
conscience de l’existence des cultures des pays coordination. Pour confronter son expérience à
anglophones par le repérage d’indices : il devra celle d’un petit anglophone (7.3). Les faits
être capable d’observer, de reconnaître, de culturels pourront fournir des situations pro-
nommer et de décrire, le cas échéant, ces pices à la pratique de savoir-faire, de structures
indices (paysages, monuments, emblèmes, per- grammaticales et à la manipulation d’éléments
sonnages, éléments concrets ayant trait aux lexicaux.
modes de vie, calendrier, etc.). Ainsi, on conso- On privilégiera l’appréhension directe par le
lidera et on enrichira les acquis de l’école ; concret à partir de sources aussi authentiques
– on aidera l’élève à mettre ces indices en rela- que possible, images, objets, anecdotes, chan-
tion entre eux de façon simple, grâce à sons… et on s’appuiera sur l’expérience per-
quelques repères géographiques et historiques sonnelle et collective des élèves. En outre, il
élémentaires. On l’aidera, en outre, à établir conviendra d’exploiter le pouvoir évocateur du
des liens avec sa propre expérience et sa propre mot : à un stade où l’élève ne possède pas les
culture. moyens de comprendre des explications
Enseignements obligatoires
Français 4 5 4 5
Histoire-géographie-éducation civique 3 4 3 4
Sciences et techniques :
- Sciences de la vie et de la Terre 1,5 2,5 1,5 2,5
- Physique et chimie 1,5 2,5 1,5 2,5
- Technologie 1,5 2,5 1,5 2,5
Enseignements artistiques :
- Arts plastiques 1 2 1 2
- Éducation musicale 1 2 1 2
(*) Itinéraires de découverte sur deux disciplines : 2 heures inscrites dans l’emploi du temps de la classe auxquelles correspondent
2 heures professeur par division.
(**) Deuxième langue vivante étrangère ou régionale.
(***) Possibilité de faire participer le latin dans les itinéraires de découverte, à partir de la classe de quatrième.
(****) Cette option peut être proposée à un élève ayant choisi une langue vivante étrangère au titre de l’enseignement de deuxième
langue vivante.
En plus des enseignements obligatoires, chaque élève peut participer aux diverses activités édu-
catives facultatives proposée par l’établissement.
_____________
(1) Remplacés par les nouveaux programmes en vigueur.
1. Domaine
des relations sociales
courantes
1.1. Saluer, prendre congé How do you do ? Nice/pleased to meet you ! Intonation habituellement
How are you doing ? See you later/tomorrow ! descendante et intonation
Take care ! montante occasionnelle
Rythme
1.2. S’excuser, remercier I’m so/really/awfully sorry ! 1.4. Appréciations Intonation des énoncés
That’s very kind of you !/It’s et réactions affectives exclamatifs et place du
very kind of you to… ! It’s/that’s all right ! nucleus (accent principal
du groupe de sens)
a. Expansion par adverbe
1.3. Exprimer vœux I wish you a merry 3.2. Fêtes Intonation habituellement
et souhaits Christmas ! 2.1.4. Relations avec les descendante
autres
Good luck ! b. Présent simple
Bless you !
1.4. Demander, proposer What can I do for 2.1.3. Occupations, Intonation du nom de celui
poliment, répondre you ?/Can I help you ? métiers à qui on s’adresse selon sa
‘Mike, can/could you lend 3. Activités place dans l’énoncé
me your pen ?’ Intonation des questions
ouvertes et fermées et des
‘Of course, here you are,
énoncés elliptiques en
Jennifer’/‘I’m sorry, Ben,
réponse
I’m using it.’
a. Pronoms personnels
‘Can/could/may I have a b. Opérateurs DO, CAN,
piece of cake ?’ MAY, SHALL au présent et
Help yourself !’ /‘No you au prétérit
can’t !’ / Certainly not !’ Go ahead ! c. Ellipses et réalisation
‘Shall I switch on the pleine de l’opérateur (DO,
light ?’ modal, TO, NOT, ONE)
dans les réponses
‘Please do !’
‘Do you mind if I open the 3. Activités
window ?’
‘No, I don’t.’ /‘Of course
not !’ /‘Of course I do, it’s
freezing !’
‘Do you fancy a cup of
tea ?’
‘Yes, please, thank you, I’d
love one !’ /‘No thanks, not
now !’
‘Do you fancy going to the
cinema ?’
‘Why not ?’
‘Would you like to come
with us ?’
‘I’d love to !’
1.8. Adapter son niveau de Shut the door !/Could you Intonation habituellement
langue à l’interlocuteur et please shut the door ? Hello everyone ! descendante pour exprimer
à la situation What’s your phone Hi [guys] !/Good morning l’ordre, et intonation
number ? Would you plea- Mr Jones ! montante pour indiquer
se tell us your phone num- Cheers !/See you !/ une requête polie + modu-
ber ? Goodbye Mrs Winters ! lations pour passer de l’un
Come on in ! Please come à l’autre
in ! b. Valeur du prétérit des
2. Échange d’informations modaux (CAN-WILL)
2.1. Demander et donner ‘Where were you born ?’ Intonation des questions
des informations relatives à 1.2.1. Repères temporels ouvertes
l’identité, la nationalité, la ‘I was born in New Réalisation habituellement
résidence de quelqu’un Zealand.’ 1.2.2. Repères dans l’espa- faible des pronoms, mais
‘Jean lives in Dublin, ce pleine et accentuée dans
doesn’t she ?’ 2.2.2. Pays et villes les énoncés contrastifs
‘Not any more : she’s living Accentuation des mots
in London, now !’ porteurs de l’information et
étude des variations de
sens en fonction du
déplacement du nucleus
Robin Hood lived in a. Pronoms personnels
Sherwood forest for years, b. BE
didn’t he ? C. Questions en WHO,
WHAT, HOW, WHERE et
réalisation des mots
interrogatifs
2.2. Décrire, nommer ; This is the kind of stories Accentuation des mots
Demander et donner des that/ Ø I like. 1.1. Description de l’indi- porteurs d’information
informations sur des vidu
personnes, des animaux, That was David, I recogni- 1.2. Ses repères a. Détermination par reprise :
des objets et des symboles sed him. 1.4. Appréciations, réac- THE, THIS, THAT et leur
culturels What’s the name of the tions affectives réalisation phonique
song that/Ø you were sin- 2. Environnement Génitifs
ging ? 2.3. Société et institutions
There is a nice path which Comparatifs et superlatifs
leads to a lake. Complémentation des
4. Expression de goûts, de
réactions et d’opinions
personnelles
4.1. Parler de ses goûts, de I am fond of/enjoy reading, Intonation montante dans
ce qu’on aime, de ce especially Agatha Christie’s 1.4. Appréciations et les énumérations, et
qu’on n’aime pas detective novels. réactions affectives descendante en fin de
I like watching televison, phrase
sleeping late, going out Accentuation dans les
with friends, and having énoncés en opposition
fun. a. Comparatifs et
I’m not very keen on jelly. superlatifs
They can’t bear/stand one c. Subordonnées
another. nominales : nominales en
-ING et infinitives en TO
Circonstancielles de
comparaison
Indiquer sa préférence I like Sherlock Holmes bet-
ter than Hercule Poirot.
My favorite hero is James
Bond. It’s Sean Connery’s
interpretation that I like
best.
I prefere these sneakers to
those.
4.3. Exprimer une opinion Peter is [not] as intelligent Intonation des queues de
personnelle, un jugement as Sandra. 1.3. Perceptions et activités phrases (tags)
Milk is better than soda, intellectuelles a. Complémentation du
isn’t it ? nom et de l’adjectif
Everyone knows that Complémentation
English is very useful. complexe du verbe
Marilyn Monroe was the Adverbes et groupes pré-
most beautiful girl in the positionnels restrictifs,
world. intensifieurs, de fréquence
She speaks English well,
much better than me !
He plays like a
professional.
He’s old enough to
understand. b. Prétérit à valeur d’irréel
I find this book rather inter- Enough Modaux de l’hypothèse
esting. (MAY, CAN, MUST, WILL)
Quite, rather c. Complétives et
Formuler un doute, une I’m sure he’ll pass his
circonstancielles de
hypothèse, indiquer une A Levels.
condition en IF
condition She must/can’t be English.
Structure des queues de
She may be ill.
phrases
You could get hurt.
I wonder if she is ill.
If he comes, I’ll give you a
ring.
If you lived in Britain, you
would drive on the left.
5.1. Parler de ce qu’on doit I had to wait for him for Accentuation et réalisation
faire, de ce qu’on n’est pas hours. 2.2.3. Environnement des opérateurs selon leur
obligé de faire, de ce qu’il You must do as I say/what urbain et rural place dans l’énoncé
est interdit de faire I tell you to do.
When you’re alone in the b. Contrainte émanant de
house, you should lock the 2.1.4. Relation avec les celui qui parle (MUST,
door. autres MUSN’T, CAN’T,
We will have to wait for No parking SHOULD) et constat de
the Changing of the Guard. No smoking contrainte extérieure
Do you really have to go ? (HAVE TO…, NEED TO…,
I need to go. BE FORBIDDEN TO…,
There’s no need to do it. NOT + BE ALLOWED
We don’t have to wear uni- TO…)
forms.
Peter didn’t have to pay for
his visa.
You can’t park here.
You are not allowed to
park here.
It’s forbidden to park here.
5.2. Parler de ce qu’on I’m sure you can manage. b. Aptitude du sujet éva-
peut, sait, ne peut pas, ne I’m sure you’ll manage : 3.1. Vie quotidienne luée par celui qui parle
sait pas faire anyone can do that ! (CAN) et capacité consta-
Luckily, I was able to finish tée, matérialisée (MANAGE
on time. TO…, SUCCEED IN…, BE
Well done ! Only you ABLE TO…)
could do it, even I couldn’t Valeurs du prétérit de CAN
do it… and you did it ! (COULD) : valeur de
I’m sure you could if you révolu et valeur d’irréel
tried.
6.2. Parler de l’influence She wants him to tidy his a. Construction composée
exercée sur autrui room. de make + Ø V
She asks/tells/expects him c. Proposition subordon-
to tidy his room every née nominale : infinitive
Sunday. avec sujet exprimé
She made him tidy his
room.
7. Domaine de l’expres-
sion discursive
7.3. Confronter son expé- If you lived in Britain, Articulation de deux sché-
rience et sa culture à celle you’d be in the 2nd or 3rd mas intonatifs
des autres form. Another/the others a. Détermination en
My pen-friend writes that THIS/THAT ;
in her school they have ANOTHER/THE OTHER ;
assembly every morning at SOME/OTHERS
nine. What about yours ? Expansion par adverbes
Xmas is another way of appréciatifs
writing Christmas. Comparaison par
LIKE/AS/(NOT) SO
b. Présent simple
c. Comparatives
I. Phonèmes
1. Mise en place systématique des « sonorités »
propres à l’anglais :
• Voyelles, notamment [!] et oppositions de timbre et de lon-
gueur pour [i]/[i:], [æ]/[a:], [ɒ]/[ɔ:], et [U]/[u:].
• Diphtongues et oppositions entre [e]/[e], et [əυ]/[ɔ:].
• Consonnes, notamment les dentales [θ] et [ð], les plosives
[p], [t], [k], les alvéolaires [t], [d], la vélaire [ŋ] et les sons [h], [r], [l].
1. Au niveau du mot :
• Présence d’un accent de mot.
• Accentuation des mots où A- et BE- sont en position de pré-
fixe (about, again, before, begin, behind).
• Non incidence de l’ajout de flexions et terminaisons neutres
(teacher, visitor).
• Accentuation à gauche des noms composés comme milk-
man.
III. Intonation
1. Intonation neutre :
• Intonation descendante s’appliquant :
– aux déclarations positives et négatives,
– aux interrogations avec mot interrogatif,
– aux ordres,
– aux formules de politesse,
– aux exclamations.
• Intonation montante s’appliquant :
– aux interrogations sans mot interrogatif,
– aux phrases inachevées,
– aux énumérations,
– aux subordonnées placées avant la principale.
2. Son environnement
2.1. Environnement animé
2.1.1. Les personnes
adult, dwarf, giant, grown-up, kid,…
2.2.4. L’habitat
chimney, dish, fire-place, gate, heating, landlady, landlord,
lawn, lift, lock, roof, sink, staircase, step, tap,…
burn/burnt/burnt, belong/belonged, knock/knocked, let/let/let,
lock/locked, mow/mowed/mown, own/owned, pull/pulled,
push/pushed,…
3. Ses activités
3.1. La vie quotidienne
3.1.1. À la maison
bowl, mail, (micro-wave) oven, recipe,…
sleepy,…
bake/baked, damage/damaged, do/did/done the washing up,
fry/fried, have/had/had a shower, knit/knit/knit, lay/laid/laid the table,
relax/relaxed, sew/sewed/sewn,…
beef, bear, cider, custard, honey, jelly, mint sauce, muffin,
mushroom, mutton, pork, sauce, scone, dessert/pudding/sweet, tur-
key, veal, wine,…
bitter, sweet…
Hang on !, hang up, Hold on !…
(1) C’est la raison pour laquelle les éléments sont proposés, lorsque cela est
possible, en termes de savoir-faire.
SOMMAIRE
Pages
I – Langue et grammaire
A. La grammaire dans le cycle central . . . . . . . . . . . . . . . 94
B. Principes généraux . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 94
C. Tableau des opérateurs . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 97
D. Régularités de l’anglais oral . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 99
/ A, THE, SOME, Repérage d’un ou plusieurs élé- At Ø school… (notion qualitative d’école : activité scolaire) ;
ANY… ; ments par rapport au contexte ou At the school… (référence à une école spécifique)
TO, -ING… à la situation :
(autres opérateurs – valeur quantitative possible ; Do you like Ø chicken ? (qualité de la viande)
de détermination) – mise en relation sujet-prédicat. I bought a chicken for lunch. (référence à un animal spéci-
fique)
BE / HAVE Verbes d’état utilisés pour décri- She is a child. (l’enfant c’est elle)
re le sujet, et qui permettent She has a child. (l’enfant est extérieur à elle)
donc à l’énonciateur d’indiquer
son point de vue, mais avec des She is cold. (ses mains, ses pieds glacés la caractérisent, elle
orientations opposées : est gelée)
She has a cold. (elle a attrapé un rhume extérieur à elle)
CAN, MUST, WILL… Expression de la possibilité, de Only you could do it ! (jugement : capacité virtuelle, = tu
(opérateurs modaux) l’obligation et de la prédiction : pouvais-tu pourrais le faire)
/ be able, manage, – opérateurs modaux : expres- Luckily I was able to do it. (constat : capacité réelle, attes-
be allowed, have, sion d’un jugement de l’énoncia- tée, = je l’ai fait)
be going (to…) teur ;
– synonymes verbaux non mo- You can’t park here ! (jugement : je le pense !)
daux : expression d’un constat You are not allowed to park here ! (constat : c’est la loi.)
de l’énonciateur. It’s forbidden to park here / No parking ! (constat)
I must go ! (jugement : je le pense !)
I have to go. (constat : je n’ai pas le choix.)
It will rain before tonight. (jugement : c’est mon avis !)
It’s going to rain. (constat : ça se voit.)
MAY, SHALL / CAN, Opérateurs modaux exprimant You may have a look. (j’y suis pour quelque chose : ce n’est
WILL un jugement de l’énonciateur : pas évident, mais moi, énonciateur, je t’y autorise.)
You can visit the place. (je pense que la visite est autorisée
– MAY et SHALL ➔ implication et je n’y suis pour rien !)
de l’énonciateur : jugement per-
sonnel, formé et introduit par May I have a piece of cake ? (cette autorisation n’est pas évi-
l’énonciateur ou, à la modalité dente, mais toi qui me répondras, me la donnes-tu ?)
interrogative, appel à une ré- Can I have a piece of cake ? (est-ce que ça pose un pro-
ponse qui exprime un jugement blème si j’en prends un ?)
personnel du co-énonciateur ;
She can’t stand him : he is too mean ! (moi, énonciateur, je
– CAN et WILL ➔ effacement de n’y suis pour rien !)
l’énonciateur : jugement déjà
formé, rapporté par l’énoncia- Crossing a street when the light is red can be dangerous.
teur, mais non issu de lui-même, (c’est une éventualité évidente : je n’y suis pour rien !)
ou, à la modalité interrogative, Even walking on the pavement may be dangerous. (ce n’est
appel à une réponse qui exprime pas évident mais moi, énonciateur, j’affirme que cette éven-
un jugement rapporté. tualité existe !)
TO / -ING Opérateurs de nominalisation : I am fond of like / enjoy reading ; I don’t mind reading.
– TO introduit une relation nou- présupposent qu’on lit souvent.
velle entre un sujet et un prédi- I’d like you to read Robinson Crusoe. (relation nouvelle
cat ; entre you et read : vous ne l’avez pas encore lu)
– -ING reprend une relation pré- Do you fancy going to the cinema ? (demande une réaction
dicative déjà acquise. à une proposition considérée comme acquise)
Would you like to come with us ? (proposition nouvelle de
l’énonciateur)
– THIS réfère à des éléments qui This is John speaking. (je parle de moi, ici, maintenant)
concernent l’énonciateur, qui John, this is Mary Webb. (je présente Mary qui est devant
appartiennent à sa sphère (qui moi)
sont présents dans ses pensées, That was the man who bought our car. (il n’est plus devant
dans son discours) ; moi)
– THAT réfère à des éléments These days… (ces jours-ci, que je vis)
extérieurs à la sphère de l’énon- In those days… (en ces temps révolus, terminés pour moi)
ciateur ou rejetés hors de cette
sphère (clôture). I am not wearing those horrible shoes again, and that’s that !
(rejet de ma sphère et clôture)
SOME / ANY Opérateurs de détermination et Is there something I can do for you ? (je pense que je peux
quantification : être utile)
Is there anything I can do for you ? (je ne pense à rien en
particulier, et si vous n’avez rien à me donner à faire, cela
m’ira fort bien !)
– SOME effectue un prélèvement Is there some cake left ? (je crois bien qu’il y en a)
qui suppose l’existence d’élé- Is there any cake left ? (j’ai des doutes)
ments à prélever ; If there is any, you’ll be lucky ! (je ne crois pas qu’il y en ait)
OF / ’S – ANY effectue un balayage sans This is Bill Reilly, who will be the English teacher of your
présupposition d’existence. child. (introduction d’une relation)
Your child’s work is rather disappointing these days ! (reprise
Relation entre deux éléments d’une relation censée acquise entre enfant et travail)
nominaux :
– OF introduit une relation entre ➔ Application : introduction d’un commentaire quantitatif
deux groupes nominaux ; sur un groupe nominal déjà déterminé :
One of the oldest churches in the country…
Some of the girls in the class…
– ’S reprend une relation déjà All of it…
acquise entre deux groupes A few of us…
nominaux. Lots of lochs…
A flash of lightning…
A clap of thunder…
Image
N° Fonctions utilisables Exemples de réalisations possibles
Rendre compte de ce que quelqu’un dit : She told the wolf that she was going to visit her
grandmother to…
12 Rendre compte de ce que quelqu’un fait : The wood-cutter heard her shout
Lexique : wood-cutter, axe, shout, scream, call
for help, rush, save, …
13 Lexique : belly, cut open, jump out…
À titre transitoire, ce module peut être porté à six heures pour les
élèves en grande difficulté repérés en voie de décrochage scolaire à
la fin du cycle central : il vise alors à mieux préparer l’accès à une
formation qualifiante au moins de niveau V. Dans ce cas, les élèves
ne suivent pas, à titre dérogatoire, l’enseignement obligatoire de lan-
gue vivante 2. Cette dérogation requiert l’accord des parents ou du
responsable légal.
Dans tous les cas, une convention doit alors être signée entre le col-
lège et le lycée professionnel. Le choix de la scolarisation d’un élève
dans une telle classe de troisième implantée en lycée professionnel
incombe aux parents ou au responsable légal.
HORAIRE ÉLÈVE
Enseignements obligatoires
Français 4 h 30
Mathématiques 4 heures
Langue vivante étrangère 3 heures
Histoire-géographie-éducation civique 3 h 30
Sciences de la vie et de la Terre 1 h 30
Physique-chimie 2 heures
Technologie 2 heures
Enseignements artistiques :
– arts plastiques 1 heure
– éducation musicale 1 heure
Éducation physique et sportive 3 heures
Langue vivante 2 (étrangère ou régionale) 3 heures
Enseignements facultatifs
(1) Le module découverte professionnelle peut être porté à 6 heures. Dans ce cas, les élèves ne suivent pas l’enseignement obligatoire de LV2.
(2) Langue vivante régionale ou étrangère :
– LV2 régionale pour les élèves ayant choisi une LV2 langue étrangère au titre des enseignements obligatoires;
– LV2 étrangère pour les élèves ayant choisi une LV2 régionale au titre des enseignements obligatoires.
(3) Dans la mesure des possibilités des collèges (capacité d’accueil et organisation des emplois du temps), certains élèves peuvent suivre à la fois
un enseignement de latin et de grec.
I – Compétences terminales
en fin de collège
En fin de 3e, les élèves devront donc avoir été entraînés à maî-
triser les compétences suivantes :
A. Compétences linguistiques
1. Compréhension de l’oral
Quelle que soit la nature du message (récit, conversation, bulletin
d’information, etc.), il importe que celui-ci soit exprimé dans une
langue usuelle ne comportant aucune surcharge lexicale ou syn-
taxique, qu’il provienne d’un enregistrement authentique de qualité et
qu’il n’excède pas une durée d’une minute.
L’élève devra avoir été entraîné à :
• reconnaître les informations essentielles du message (lieu,
temps, personnages, etc.). Compréhension globale ;
• rechercher ou vérifier, à la demande, des informations pré-
cises. Compréhension sélective ;
• percevoir éventuellement la tonalité du message ou les inten-
tions du ou des locuteurs. Compréhension de l’implicite.
Pour accéder au sens du message, l’élève doit notamment être
capable :
• d’identifier les différents types d’énoncés (déclaratifs, interro-
gatifs, injonctifs) ;
• de repérer les mots porteurs de sens et les éléments expressifs
du discours grâce, par exemple, à l’accentuation et à l’intonation ;
• de repérer les indices de cohérence (repères spatio-temporels,
articulations logiques) ;
• d’inférer le sens de ce qui n’est pas connu à partir du contexte ;
• de garder en mémoire les éléments-clés du message.
3. Expression orale
Au terme de la scolarité du collège, l’élève doit être en mesure de
formuler oralement un message simple dans la langue d’aujourd’hui telle
qu’elle est pratiquée dans des situations courantes de communication.
À cette fin, il doit avoir été entraîné à :
• reproduire un énoncé en respectant le rythme et le schéma
intonatif (poème, dialogue, chanson, etc.) ;
• restituer le contenu d’un dialogue ou d’un récit écrit ou oral
avec les moyens dont il dispose, c’est-à-dire le reformuler en termes
simples et intelligibles ;
• mobiliser, à bon escient, sous forme d’énoncés brefs et intelli-
gibles, les éléments de langage adaptés pour raconter un événement de
la vie courante ou participer à un dialogue simple.
Ces activités d’expression orale supposent qu’il soit capable de :
• respecter les schémas accentuels et intonatifs de base et pro-
noncer correctement les phonèmes ;
• s’exprimer avec une certaine aisance pour permettre l’intelligi-
bilité du message ;
• demander, si besoin est, l’aide adéquate et utiliser des straté-
gies de compensation, c’est-à-dire exprimer ce qu’il veut dire avec ce
qu’il peut dire ;
• contrôler son expression a posteriori en se reprenant ;
• dépasser le seuil de simples réponses à des questions et d’inter-
ventions limitées à quelques mots, notamment en justifiant son point
de vue ;
• exprimer un même contenu de pensée de plusieurs manières
différentes (reformulation).
B. Compétences culturelles
La construction progressive de ces compétences ne peut pas se
limiter à la transmission d’informations historiques, géographiques,
sociologiques sur les pays de la langue cible. Il s’agit, au niveau du col-
lège, de sensibiliser les élèves à des spécificités culturelles, c’est-à-dire
de les amener à prendre conscience à la fois des similitudes et des diffé-
rences qui peuvent exister entre leur pays et les pays dont ils appren-
nent la langue dans les usages sociaux, les coutumes, les mentalités, les
institutions. On veillera à ce que cette approche interculturelle s’effec-
tue par des comparaisons susceptibles d’entrer dans le champ d’expé-
rience d’adolescents de 11 à 15 ans.
C. Compétences méthodologiques
Pour atteindre les aptitudes répertoriées ci-dessus et pouvoir
poursuivre l’étude de la langue, l’élève en fin de 3e doit disposer d’une
certaine autonomie dans le domaine méthodologique disciplinaire. Il
doit être en mesure de :
• connaître et comprendre les objectifs assignés à un moment
donné de l’apprentissage ;
II – Orientation fonctionnelle
Savoir-faire à maîtriser en 3e
Les chiffres utilisés dans la colonne Lexique renvoient aux diffé-
rentes rubriques du programme lexical.
Dans la colonne Grammaire, (a) indique les opérations sur le mot, (b)
celles qui portent sur la proposition et (c), celles qui portent sur l’énoncé
Dans la colonne Structures, ® signale les faits de langue pour les-
quels la simple reconnaissance suffit.
Lexique
Savoir-faire Structures Grammaire
et expression figées
1.1. Saluer, prendre congé It was nice meeting you. 2.1.3. Relations (b) Modalités interrogative,
We’ll/Let’s keep in touch! avec les autres impérative et interronégative
+ Sorry, I must be off. ® dans l’attribution d’un rôle
+ Shall we make a move? ® à l’interlocuteur
1.5. Engager la conversation, How can/shall/should I put it? Mind you… (b) Distanciation introduite
renchérir, marquer I wonder if… I say… par le prétérit qui rend
une hésitation, se donner I was wondering…/I wanted Look here,… l’énoncé moins direct
le temps de réfléchir to ask you… As a matter of fact,…
I’ll tell you what…/You
know what…
I must say…
To tell you the truth,…
As I was saying…
What I mean is…
Don’t you think…
Oh, that reminds me,…
1.6. Téléphoner Can I use your phone, please? 2.1.3. Relations (c) Thématisation : ellipses;
You’re wanted on the phone. avec les autres reprises (IT, SO, THIS,
The line is engaged (busy). Extension 605, please. THAT…)
Could you put me through
to…
Is Mr Smith available,
please?
I’ll call back.
1.7. Écrire une lettre I can’t wait to see you again. Dear Sir/Madam,…
Please write soon and tell
me all your news.
Please give my regards to…
Yours faithfully.
+ I’m looking forward to
your reply ®/hearing from
you. ®
1.8. Adapter son langage + Baby whale trapped in (a) Composition nominale/
à l’interlocuteur shark net off the coast complémentation du nom
et à la situation et reconnaître of Queensland, Australia. ® (c) Thématisation ; ellipses
divers registres de langue [Do] you know what? In
Australia they found a baby
whale in a shark net!
+ It ain’t necessarily so. ®
+ It’s gonna rain. ®
Phonologie
• Rôle de l’intonation dans l’interprétation des relatives interpersonnelles
• Intonation des énoncés exclamatifs et place de l’accent principal du groupe de sens
• Intonation montante pour indiquer une requête polie, même avec des structures impératives – à distinguer de l’intonation
descendante de l’ordre
• Intonation montante des énoncés inachevés ou des énoncés suspendus qui annoncent une suite
2. Échange d’informations
2.1. Présenter quelqu’un. She is the only daughter of a 1.2.1. Repères temporels (a) Détermination nominale
Demander et donner family of five. 1.2.2. Repères dans l’espace spécifique et générique ;
des informations relatives + I am a friend of Sean’s/his. 2.2.2. Pays et villes emploi nominal
à son identité, sa nationalité, He is a true Irishman, I can des adjectifs (notamment
sa résidence tell you. ® de nationalité)
+ (a) Double génitif ®
2.2. Décrire, nommer. “Have you heard 1.1. Description (a) Composition
Demander et donner of H.J. Baker?” de l’individu et complémentation
des informations “Isn’t he the new tennis 1.2. Ses repères nominale
sur des personnes, prodigy?” 1.4. Ses appréciations et (a) Catégorisation
des animaux, des objets Do you have any information réactions affectives et sous-catégorisation
et des symboles culturels about the Edinburgh festival, 2. Son environnement du nom par des adjectifs
please? 3. Ses activités ou des relatives,
This is the best steak (a) Morphologie, fonction
and kidney pie that I’ve et place des adjectifs
ever had. (b) -ING/TO
All that can be done will be (c) Thématisation et ordre
done! des mots ; extrapositions
That man in the black mac is
a policeman.
She looked as if she was
going to cry.
His ambition has always been
to become a famous singer.
What the police know
about him is that…
“What sort of park did you
visit?”
“An amusement park”.
It’s a novel by Agatha
Christie. Not all Agatha
Christie novels are detective
stories, you know.
2.3. Se renseigner Whose is this bike? 1.1.4. Vêtements (a) Composition adjectivale.
sur ce qu’ont les autres. The homeless lack everything. et accessoires Expression de la possession
Parler de ce qu’on a, Unemployed people 2.1.3. Occupations et de la privation par préfixe
de ce qu’on n’a pas, haven’t got much to live on. et métiers ou suffixe.
de ce qu’on voudrait avoir This childless English couple 2.1.4. Animaux, etc. (b) HAVE + -EN résultatif
has/have just adopted a boy (I) can’t afford (it).
from Pakistan.
+ I long for a nice sandy
beach. ®
2.4. Demander et donner “What does your dad do for 3.1. Vie quotidienne + (b) WOULD indiquant
des informations a living”? 3. 4. Le monde du travail une prédictabilité fondée
sur des occupations “He works as a lorry-driver sur l’habitude/USED TO ®
habituelles : parler for a big company”.
de ses habitudes, + He would always read
se renseigner the Sunday paper after
sur les habitudes de quelqu’un breakfast. ®
Lexique
Savoir-faire Structures Grammaire
et expression figées
3.1. Repérer dans l’espace There were (only) five of us 1.2.2. Repères dans l’espace (a) Propriété dénombrable
Parler de la présence, at the match. downtown ou indénombrable
de l’absence, du nombre, In the US 85% of school- neighbourhood des noms (ex. information,
de la quantité de quelque children have week-end jobs. 1.2.4. Formes, dimensions news, etc.). Passage
chose dans un espace In this school, five in ten/out et quantités de l’une à l’autre (tea; a cup
donné of ten take their GCSEs again. per cent of tea; the teas of India) ;
Numbers of Irish people two thirds dénombreurs ; détermination
emigrated to the United amount
States in the nineteenth
century.
English is spoken by about
eight hundred million
people/by millions of
people all over the world. 2.2.2. Pays et villes
Ten and ten is twenty, minus 2.2.3. Environnement
five is fifteen; two times two urbain et rural
is four, four divided by two 1.2.2. Prépositions + (a) BOTH ®, NEITHER ®
is two. + (a) Accord et pronoms
+ Both sisters went to personnels utilisés pour la
America, and neither of them reprise de NONE,
came back. Both of them EVERYONE, etc. ®
went/They both went. ®
+ None of them live in the
neighbourhood. ®
+ Has everyone got their
copy books? ®
+ The Great Fire of London
started in a bakery and spread
to the whole district. ®
Situer dans l’espace, He is leaving for Bath. + Southbound ®, (c) Relatives en WHERE
indiquer une direction, Central Park is a place where + Northbound ®… (c) Subordonnées
décrire un changement de you can see lots of roller circonstancielles de lieu
lieu skaters at the week-end.
Where there is good music
there is fun.
3.2. Repérer dans le temps : These last two months… 1.2.1. Repères dans le temps (b/c) FOR/SINCE
S’enquérir sur la durée, “How long has she been … in a row (b) Présent + (HAVE + -EN)
indiquer la durée living in Canada?” (b) Prétérit simple
“[For] ten years/Since 1987”. (b) (HAVE + -EN) + (BE + ING)
Faire un bilan présent, It’s not the first time they (b) Présent simple
constater un résultat, parler have gone on strike. (b) Présent + (HAVE + -EN)
de son expérience
Évoquer le passé I can’t remember posting In the sixties (60s) + (b) WOULD/USED TO ®
the letter.
+ There used to be a cinema
here. ®
+ She would get lots of
Valentines in those days. ®
Raconter et établir des liens When the police arrived the Afterwards, eventually (b) Prétérit simple/Prétérit
chronologiques thieves had run away. + (HAVE + -EN)
Wait until I come back. (c) Subordination adverbiale :
circonstancielles de temps
en UNTIL/BEFORE/
AS SOON AS/WHILE
Envisager une perspective The Celts were there first 1.2.1. Repères (c) Subordination adverbiale :
historique and the Romans came dans le temps circonstancielles de temps
after them.
Situer dans l’avenir I’ll spend a couple of days 3.3. Les déplacements
in Yosemite Park when we et les voyages
go to the US.
Phonologie
• Prononciation des prépositions et conjonctions (formes faibles et formes pleines) et accentuation contrastive
• Articulation de deux schémas intonatifs
4. Expression de goûts,
de réactions et d’opinions
personnelles
4.1. Parler de ses goûts, I don’t know about you 1.4. Appréciations (c) Subordination nominale :
de ce qu’on aime, but personally/as far as I am et réactions affectives nominales en -ING
de ce qu’on n’aime pas concerned, I’m not keen et infinitives en TO
on cheese.
I hate to say… (c) Complémentation
par Ø/infinitives
en TO/nominales en -ING/
conjonctives en THAT ou Ø
4.2. Réagir à des situations What courage! 1.4. Appréciations (a) Exclamations
(exprimer l’admiration, I’ve never seen such et réactions affectives sur la qualité, le degré,
l’indifférence, a gorgeous sunset! Brilliant! la quantité (SUCH/WHAT
la désapprobation, It makes no difference to me. I wish I knew! + groupe nominal)
le regret, le reproche…) I’m definitely against I wish I could! (b) Prétérit à valeur d’irréel,
this project. y compris dans les structures
You could/should have de type Modal au prétérit
asked me. + (HAVE + -EN)
If only you had told me… + (a) ANY à valeur
Which one would you qualitative ®
rather have? + (b) (BE + -ING) à valeur
+ Any of them will do. ® modale (dans des énoncés
+ You’ve been cheating positifs ou négatifs) ®
again! ®
4.3. Exprimer une opinion I find it harder and harder/ 1.3. Perception et activités (a) Comparatifs et superlatifs,
personnelle, un jugement more and more difficult intellectuelles y compris
to get over the jetlag. dans les constructions
I won’t go so far. parallèles
+ I reckon he’s crazy. ® (a) Intensificateurs
+ I wouldn’t go that far. ® + (a) Adverbes
+ The more, the merrier. ® démonstratifs ®
Lexique
Savoir-faire Structures Grammaire
et expression figées
5. Latitude et contrainte
5.1. Parler de ce qu’on doit As a punishment we were 2.3. Société et institutions (b) MUST/HAVE TO
faire, de ce qu’on n’est pas forced to clean the gym. 2.1.3. Relation + (b) HAVE GOT TO ®
obligé de faire, de ce qu’il avec les autres
est interdit de faire 3.1. Vie quotidienne
+ It’s got to be done ®
3.5. Environnement
5.2. Parler de ce qu’on peut, Do you think they would let (b) LET et sa construction
sait, ne peut pas, ne sait me park here? (LET + Ø V)
pas faire I didn’t dare to ask.
5.3. Parler de ce qu’on Going to sleep, that’s what 1.4. Son caractère (b) WILL (volonté)
veut/ne veut pas faire I feel like doing right now! (a) THIS/THAT
I tried to persuade him but he
wouldn’t change his mind.
+ Surely you can’t expect
me to believe that! ®
6. Domaine de l’action
exercée sur autrui
6.1. Exercer de l’influence You can come any time. 2.1.3. Relations (b) LET, SHALL, WILL
sur autrui par des injonctions, We could go anywhere. avec les autres + (b) OUGHT ®
des suggestions What am I supposed to do? Don’t you dare! (b) Prétérit à valeur d’irréel
ou des conseils Let’s go together, shall we? (b) Interronégatives
I suggest going together/ (c) Complémentation
(that) we go together. du verbe en Ø/TO/-ING
Remember to phone your (c) Tags ou queues
grandmother for her birthday. de phrase
You’d better (not) tell him.
If I were you, I wouldn’t
tell him.
+ He ought to go on a diet. ®
Lexique
Savoir-faire Structures Grammaire
et expression figées
7. Domaine de l’expression
discursive
7.1. Rendre compte I saw him crossing the street. Changements lexicaux + (c) Construction et portée
de ce que quelqu’un dit, He said that he had applied entraînés par le passage des passifs de verbes
pense, ressent ou fait for a job the previous week. au style indirect : déclaratifs (be supposed to,
+ The British are said to be today K that day said to, believed to…) ®
animal lovers. ® now K then
yesterday K the day
before/the previous day
tomorrow K the day
after/the following day/
the next day
7.2. Justifier, commenter, “Why didn’t you go to the 1.4. Appréciation (b/c) Rôle de DO
opposer, apprécier, doctor’s?” et réations affectives. (c) Reprises
exprimer son accord, “But I did [go]!” (c) Subordonnées
son désaccord Although I told the truth, adverbiales de concession
nobody believed me. introduites par ALTHOUGH
In spite of all his efforts + (c) Subordonnées
nothing changed/ de cause ou de but
has changed. introduites par SINCE
It’s no use panicking. ou SO AS TO ®
It’s worth trying.
+ Since you’re so clever,
do it yourself! ®
+ He booked early so as not
to miss the concert. ®
7.3. Confronter son Mrs Smith gambles her (b) Complémentation par
expérience et sa culture à money away in bingo halls groupes prépositionnels
celle des autres whereas/while Mme Dupont introduits par UNLIKE
spends hers on the loto. (c) Subordination
In British English 3.10 adverbiale : subordonnées
means October 3, whereas introduites par WHILE ou
in American English WHEREAS (expression du
it means March 10. temps et du contraste)
Unlike French youngsters (c) Procédés de
who love eating meat, a thématisation et focalisation
great number of young
Britons are vegetarians.
It’s in Britain that I learnt
to play darts.
A. Phonèmes
2. Réalisation phonique
• Du morphème -S (pluriel, génitif, présent simple 3e personne) :
[s], [z], [z] ;
• Du morphème -ED (prétérit régulier, adjectif en -ed) : [t], [d],
[d].
1. Au niveau du mot
• Présence d’un accent de mot ;
• Accentuation des mots où A- et BE- sont en position de préfixe
(about, again, before, begin, behind) ;
• Non-incidence de l’ajout de flexions et terminaisons neutres
(teacher, visitor) ;
• Accentuation à gauche des noms composés comme milkman ;
• Accentuation des polysyllabiques ; rôle des affixes.
C. Intonation
1. Intonation neutre
• Intonation descendante s’appliquant :
– aux déclarations positives et négatives,
– aux interrogations avec mot interrogatif,
– aux ordres,
– aux formules de politesse,
– aux exclamations ;
• Intonation montante s’appliquant :
– aux interrogations sans mot interrogatif,
– aux phrases inachevées,
– aux énumérations,
– aux subordonnées placées avant la principale.
2. Son environnement
2.1. Environnement animé
2.1.1. Les personnes
2.1.2. La famille
2.1.3. Les relations avec les autres
2.1.4. Les animaux
2.2. Environnement inanimé
2.2.1. Le climat
2.2.2. Les pays et les villes
2.2.3. L’environnement urbain et rural
2.2.4. L’habitat
2.2.5. Le mobilier et les accessoires
2.3. Société et institutions
2.3.1. La vie sociale et politique
2.3.2. La vie religieuse
3. Ses activités
3.1. La vie quotidienne
3.1.1. À la maison
3.1.2. À l’école
3.1.3. Les loisirs et les jeux
3.1.4. Les sports
B. Présentation détaillée
1. L’individu
1.1. Sa description
1.1.1. Le corps
ankle, complexion, skin, tan, throat, tœ,…
2. Son environnement
2.1. Environnement animé
2.1.1. Les personnes
bachelor, bloke, couple, fellow, guy, widow (er),…
childless, homeless, single,…
2.1.2. La famille
ancestor, in-laws, father-in-law, mother-in-law, nephew, niece,
orphan, relatives,…
3. Ses activités
3.1. La vie quotidienne
3.1.1. À la maison, au restaurant
bill, brand, can, chef, chores, consumer, cook, diary, doughnut,
dust, hammer, pancake, shortbread, steak and kidney-pie, waiter…
fizzy/still (water), fresh, frozen, home-made,…
boil/boiled, dig/dug/dug, dust/dusted, fix/fixed, hoover/hoovered,
iron/ironed, peel/peeled, rest/rested, snore/snored, sweep/swept/
swept, waste/wasted,…
3.1.2. À l’école
college, computer, curriculum, experiment, (hard) disk, fees, file,
glue, keyboard, library, public/state school, short-story, university,…
extra (work),…
click/clicked (on), delete/deleted, discuss/discussed, fail/failed,
hand/handed in/back a paper, pass/passed an exam, print/printed,
record/recorded, save/saved, sit/sat/sat for an exam, take/took/taken an
exam, succeed/succeeded, raise/raised a question,…
3.5 L’écologie
acid rains, carbon dioxide, dump, Earth, environmentalist, fal-
lout, fertilizer, the Greens, greenhouse effect, leak, National Trust,
nuclear waste, oil slick/spill, ozone layer, (air/water) pollution, species,
tanker, waste disposal, World Wild Life Fund,…
V – Approche culturelle
Le programme culturel de 3e s’inscrit dans le cadre des principes
définis pour la classe de 6e et le cycle central. Il conviendra donc
d’abord de se reporter aux programmes de ces classes et aux docu-
ments d’accompagnement qui les complètent. Dans le programme de
3e, on trouvera trace de cette continuité en particulier dans le principe
d’intégration déjà défini pour les niveaux précédents et dans la liste de
contenus qui figure ci-après. Cette liste reprend et étoffe les rubriques
définies dans les programmes précédents. Elle reste indicative et
ouverte, offrant la souplesse indispensable à la prise en compte des
acquis, des besoins et des intérêts des élèves. Cependant il appartien-
dra au professeur, en particulier au début de l’année et à l’aide des pro-
grammes précédents, de faire le bilan des connaissances sur lesquelles
il pourra prendre appui et des lacunes qu’il conviendra de combler en
priorité, afin que l’élève quitte la classe de 3e avec le bagage minimal
indispensable pour poursuivre le cursus choisi ou éventuellement
reprendre plus tard l’étude de l’anglais. Comme précédemment, cette
liste suggère à la fois des savoirs et des savoir-faire et, l’objectif priori-
taire demeurant l’entraînement à la communication, cet apprentissage
culturel ne saurait être dissocié d’un apprentissage fonctionnel, gram-
matical, lexical et phonologique ; il ne prendra en aucun cas la forme
d’une leçon magistrale de civilisation.
• L’élève devra être capable de :
– repérer sur une carte et nommer les Îles Britanniques, les États-
Unis, le Canada, l’Australie, la Nouvelle-Zélande, et quelques autres
pays de l’ancien empire britannique et du Commonwealth ;
– repérer quelles sont les composantes du Royaume-Uni, de la
Grande- Bretagne et de l’Irlande ;
– situer et nommer quelques capitales, grandes villes, grands
fleuves, grandes régions, comtés ou États de ces pays ainsi que les mers
qui les bordent ;
– situer et nommer quelques pays de l’Union européenne et du
monde non anglophone ;
– reconnaître et associer à un pays, une région, une ville,
quelques paysages naturels ou architecturaux.
• L’élève devra être initié à l’histoire par le biais de grands événe-
ments, de personnages illustres, de lieux symboliques ayant façonné le
monde anglophone contemporain.
• L’élève devra être familiarisé avec les différents aspects de la
vie courante, notamment avec les usages sociaux, les moments de la
journée et de l’année (horaires, repas, calendriers, fêtes…), le cadre de
vie (habitat, paysages, nature, animaux…), l’école, les loisirs et les
SOMMAIRE
Pages
Préface. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 147
VI – L’évaluation en fin de 3e
A. Pourquoi cette évaluation ? une source de découragement sont l’absence de
continuité entre le premier et le second cycle et
Quelle que soit la mission assignée à la classe de l’impression d’éternel recommencement.
2nde, quelle que soit l’organisation de l’enseigne- Pour éviter ce double écueil, il serait judicieux
ment de l’anglais au lycée, quelle que soit la d’établir en fin de premier cycle, pour chaque
forme de l’examen du brevet des collèges, il élève, un bilan précis en termes de capacités de
importe, en fin de classe de 3e, de procéder à une communication (« Je suis capable de… »). Ce
évaluation, et cela pour deux raisons essentielles : document, qui s’apparenterait au portfolio éla-
– le premier acte de la redéfinition des pro- boré par le Conseil de l’Europe, serait remis par
grammes de premier cycle a été l’élaboration l’élève au professeur de 2nde. Celui-ci, disposant
d’un texte précisant les compétences à acquérir ainsi d’une double information – ce bilan et les
en fin de collège. Sachant qu’il y a toujours un résultats de l’évaluation de début de 2nde – pour-
écart entre ce qui a été enseigné, c’est-à-dire tout rait, en pleine connaissance de cause, concevoir
ou partie du programme selon le cas, et ce qui un programme d’enseignement bien adapté aux
est assimilé, il est légitime – il est indispensable – besoins de ses élèves.
de recenser en termes de connaissances et de Il va sans dire que cette évaluation de fin de pre-
savoir-faire ce que chaque élève a retenu et est mier cycle ne saurait dispenser ni de l’évaluation
capable de mobiliser à bon escient ; permanente ni des évaluations périodiques qu’il
– la seconde raison est liée à la poursuite faut conduire en classe de 3e comme dans toutes
d’études des élèves. Deux des points faibles du les classes. Par évaluation permanente, on entend
dispositif d’enseignement actuel qui peuvent être la mise en place de nouvelles situations qui inci-
3. Approches de la langue parlée en français, Paris, Ophrys, tent au rebrassage des éléments de langage et per-
1997, pp. 91-92. mettent d’identifier ceux qui auront été mémorisés
2 - Échange d’information
2.1 Présenter quelqu’un, demander This is John. He’s from Scotland. He’s Bob’s brother. 1.2.2. Espace Intonation des questions ouvertes
et donner des informations relatives ‘Who are you?’/ ‘What’s your name?’ 2.2.2. Pays, villes Réalisation habituellement faible des
à l’identité, la nationalité, I’m ...’/ ‘My name is ...’ 2.1.2. Famille pronoms, mais pleine et accentuée dans
la résidence de quelqu’un : ‘Can you spell it?’ Alphabet les énoncés contrastifs
Where is she from? / Where does she come from? 1.2.4. Quantité
‘How old are you?’ 1.2.1. Temps a/ Pronoms personnels, démonstratifs,
‘I’m fourteen.’ génitifs
‘Where were you born?’ b/ BE
‘I was born in Oxford.’ c/ Questions en WHO / WHAT / HOW / WHERE
‘What’s your phone number?’ et réalisation des mots interrogatifs
‘My phone number is...’
2.2 Décrire, nommer ;demander et ‘Who is that lady?’ 1.1.2.Age, taille a/ Détermination par reprise :
donner des informations sur des ‘It’s the Queen Mother.’ Have got THE / THIS / THAT et leur réalisation
personnes, des animaux, des objets 1.2.4. Formes,
et des symboles culturels : ‘What is your sister like?’ dimension et quantité b/ BE
‘She is tall and she has got blue eyes.’ Nombres décimaux Présent simple
1.2.3. Couleurs, aspect c/ Questions ouvertes en WHO, WHAT, HOW
‘How tall is he?’ 2.2.1. Climat + adj. ou adv.,
‘He is 1.80 m (one metre eighty tall).’ HOW MUCH, HOW MANY
Maintien de la préposition en fin
2.4 Demander et donner des We usually spend Christmas at home. 3.Activités a/ EVERY
informations sur des occupations 3.2. Fêtes b/ Présent simple
habituelles, parler de ses habitudes, I get up at seven every morning. 1.2.1.Adverbes de fréquence c/ Place des adverbes
se renseigner sur les habitudes
de quelqu’un ; ‘Do you always go to school by bus?’.
demander, dire ce que quelqu’un fait No, I often walk to school.’
dans la vie, dire ce qu’on veut faire
comme métier : ‘What’s Mr Martin’s job?’/ ‘What does he do?’ 2.1.3. Occupations et métiers a/ Détermination par prélèvement
‘He’s a policeman.’/ ‘He works in a bank.’ (A / AN)
b/ DO verbe / DO opérateur
I want to be an actress. c/ Infinitives en TO
2.5 Parler de ce qu’on voit, de ce Look! It’s raining. 3.Activités b/ Présent + (BE + -ING)
qu’on entend ; poser des questions I can see a policeman at the corner. can + verbes de perception
sur une activité en cours :
‘What are they doing?’
‘They are having dinner.’
‘Where are you going?’
‘To the butcher’s.’
Demander ou indiquer un itinéraire : How do you get to Hyde Park? c/ Questions ouvertes et interrogatives
How far is it? indirectes en HOW ou HOW + adverbe
Utiliser quelques repères The Channel separates France from England. Forme faible des prépositions. Rythme
géographiques simples, situer sur Scotland is north of England. a/ Noms composés (N+N)
un document iconographique : b/ Complémentation du verbe
3.2. Repérer dans le temps :
Situer dans le passé, le présent, ‘What’s the day?’ 1.2.1. Temps a/ Noms propres
l’avenir ; dire la date et l’heure : ‘It’s Monday.’ 1.2.4. Quantité (ordinaux THE + ordinaux
et cardinaux)
‘What’s the date?’
‘January 8 / January 8th 1996.’
S’enquérir sur la durée, ‘How long does it take?’ Prononciation de ‘half’et de ‘hour’
indiquer la durée : ‘It takes two hours and a half.’ b/ Prétérit avec FOR
c/ Questions ouvertes en HOW LONG
‘How long did he play for the national team?’
‘He played for the national team for two years.’
Situer dans l’avenir : I can see you tomorrow b/ Modal CAN
He’s meeting them on Saturday / next week. Présent + (BE + -ING) et
Look at those clouds! It’s going to rain. BE GOING TO en référence à l’avenir
What are you going to buy him for Christmas?
4 - Expression de goûts,
de réactions et d’opinions
personnelles
4.1 Parler de ses goûts, de ce qu’on I like tea very much but I don’t like coffee. 1.4.Appréciation et réactions Accentuation dans des énoncés en
aime, de ce qu’on n’aime pas, de ce He likes sports / his teacher / watching TV. affectives opposition
qu’on aimerait (faire), proposer un Do you like chocolate? 3Activités
choix, indiquer sa préférence, dire ce I am fond of / enjoy reading. I’d like a/ Comparatifs
qu’on a décidé de faire / de ne pas faire : I’d like to go with you. b/ Présent simple
c/ Circonstancielles de
‘What do you want to drink, tea or coffee?’ comparaison
‘Tea, please!’ Infinitives en TO
Nominalisations en -ING
‘Which dress do you prefer?’ Coordination avec BUT et OR
‘The blue one, the other one is too short.’
4.3 Exprimer une opinion personnelle, Milk is better than soda, isn’t it? Perhaps Intonation des queues de phrase (tags)
un jugement, formuler un doute, I know he works here. Maybe a/ Complémentation du nom et de
une hypothèse : She speaks English well, better than me. Probably l’adjectif
He plays like a professional footballer. Certainly Adverbes et groupes
prépositionnels
restrictifs, intensifieurs, de fréquence
She must be English. / She can’t be American. b/ Modaux de l’hypothèse (CAN,
She may be ill. MAY, MUST)
Structure des queues de phrase
5 - Latitude et contrainte
5.1 Parler de ce qu’on a le droit de Can I watch television? 2.2.3. Environnement urbain Accentuation et réalisation des
faire, de ce qu’on doit faire, de ce I’m sorry I must go. et rural opérateurs selon leur place dans
qu’on n’est pas obligé de faire, de Must you really go now? 2.1.4. Relations avec les autres l’énoncé
ce qu’il est interdit de faire : I had to wait for him for hours. b/ Latitude ou contrainte émanant de
Do you really have to go? celui qui parle (CAN, CAN’T, MUST, MUSTN’T)
You mustn’t smoke here. No parking et constat de contrainte extérieure (have
You can’t park here verbe + TO)
7 - Domaine de l’expresseion
discursive
7.1. Rendre compte de ce que She says she is British, not English. b/ Verbes attributifs (look, feel, sound)
quelqu’un dit, pense, ressent He thinks she’s quite good-looking, but I don’t. c/ Subordination nominale dans le
ou fait : He wants to go to John’s party. discours indirect au présent, (complétives
The little girl is asking if she can come. en ∅, THAT, TO) et interrogatives indirectes
She sounds furious. en IF
He felt ridiculous.
7.2 Exprimer son accord I agree with you. Grande amplitude des chutes
ou désaccord, justifier, commenter, I don’t / can’t agree with you. mélodiques typique des
opposer, apprécier : I think so / I don’t think so. intonations contrastives et/ou
I’m sure you are right / I’m afraid you are wrong. emphatiques
I’m sorry but... a/ Expansion par adverbe de
That’s all very well, but... degré
I like ... but I prefer... because ... (VERY, REALLY)
It’s quicker, easier, more interesting, better. c/ Coordonnées avec SO, BUT
It’s really impossible. Subordonnées de cause avec
Of course it’s the American President! I saw him on TV yesterday BECAUSE
Reprise avec SO
7.3 Confronter son expérience You wear uniforms but we don’t. 2.3 Société et institutions Articulation de deux schémas intonatifs
et sa culture avec celle des autres : They have a parliament too, but it’s not like ours. We don’t have a House 3Activités a/ Détermination en :
of Lords. THIS / THAT, ANOTHER / THE OTHER,
Xmas is another way of writing Christmas. SOME / OTHERS
Expansion par adverbes appréciatifs
Comparaison par LIKE
b/ Présent simple
c/ Comparatives
Coordination avec BUT
2.2. Décrire, nommer ; demander What’s the name of the song that / Ø you were singing? 1.1. Description de l’individu a/ Comparatifs et superlatifs
et donner des informations sur des There is a nice path which leads to a lake. 1.2.Repèresdansletempsetl’espace b/ Présent et prétérit simples
personnes, des animaux, des objets Shakespeare, whose house you visited in Stratford-upon-Avon, died in 1616. 2.2. Environnement inanimé Passif (BE + -EN)
et des symboles culturels : It smells good, doesn’t it? c/ Subordonnées relatives
This is the best film I have ever seen. Infinitives compléments de but
How long is the Chunnel? How fast is Eurostar?
Situer dans l’espace : Mount Vernon is the place where George c/ Relatives en WHERE
Washington lived and died.
Demander ou indiquer un itinéraire : Walk past the park, then... b/ Complémentation du verbe par
Go through the forest. groupe prépositionnel
Utiliser quelques repères Boston is in the north-east of the USA. 2.2.2. Pays, villes a/ Noms composés
géographiques simples, situer sur un Plymouth is in the south-west of England. 2.2.3. Environnement urbain Détermination des noms de lieu
document iconographique : The Mississippi runs through Louisiana into the Gulf of Mexico. et rural (noms propres et noms communs)
In the foreground / in the
background / at the top / at b/ Complémentation du verbe
the bottom / in the middle
3.2. Repérer dans le temps : 1.2.1. Temps
1.2.4. Ordinaux et cardinaux
Évoquer le passé, raconter : Once upon a time, there was... c/ THERE + BE
Établir des liens chronologiques She woke up before the alarm-clock rang. First / then / finally Articulation de deux schémas intonatifs
simples, fixer un cadre à un Just as I was opening the door, the telephone rang.
événement passé : While Lincoln was president, there was a terrible war in the US. c/ Circonstancielles de temps avec
I was about to go when he arrived. JUST AS, WHILE, BEFORE, AFTER
Mettre en perspective historique : The War of Independence broke out in 1775. The following year, the
Declaration of Independence was drawn up in Philadelphia
Faire un bilan, parler de son He is still in Britain. He is not back yet. Articulation de deux schémas intonatifs
expérience, constater un résultat : Now, I have finished at last!
She is upset. Her car has been stolen. b/ HAVE +-EN valeur résultative avec
STILL,
I haven’t seen her since Christmas. NEVER, YET (en contexte négatif)
When the police arrived, the thieves had run away. BE + -EN
‘Have you been to Canterbury?’
‘Oh, yes, twice, but I’ve never visited the cathedral.’
‘Have you talked to the headmistress?’
‘No, I haven’t met her yet.’
S’enquérir sur la durée, ‘How long have you known him?’ b/ (have +-EN)+ (BE+-ING) avec FOR et
indiquer la durée : ‘I have known him for two months / since October.’ SINCE
4 - Expression de goûts,
de réactions et d’opinions
personnelles
4.1 Parler de ses goûts, de ce qu’on ‘Does she care for him?’ 1.4.Appréciation et réactions b/ Complémentation de l’adjectif et
aime, de ce qu’on n’aime pas, de ce ‘She is crazy about him.’ affectives du verbe
qu’on aimerait (faire) :
They can’t bear / stand one another. 3.Activités c/ Subordonnées nominales : nominales
I dream of going to the States. en -ING et infinitives en TO
I’m not very keen on jelly.
Proposer un choix, indiquer ‘What would you like to drink?’ 1.4Appréciation et réactions a/ Comparatifs et superlatifs
sa préférence : ‘I’d love a cup of tea.’ affectives et intellectuelles
‘My favourite hero is James Bond. It’s Sean Connery’s interpretation Who cares?
that I like best.’ As you like
4.2 Réagir à des situations (exprimer I’ve never seen such a nice girl. Intonation descendante dans les
la surprise, l’admiration, You can invite all your friends. I don’t mind. exclamations
l’indifférence, la désapprobation, I don’t care [about] what you think. b/ Présent + (HAVE + -EN) ± (BE + -ING)
le regret, le reproche etc.) : You can come any time.
You can sit anywhere.
5. LATITUDE ET CONTRAINTE
5.1. Parler de ce qu’on doit faire, You may stay if you like 2.2.3.Environnementurbainetrural b/ Latitude et contrainte émanant de ce
de ce qu’on n’est pas obligé de faire, We’ll have to wait for the changing of the guards. lui qui parle (MAY, MUST, MUSTN’T, CAN’T,
de ce qu’on a le droit de faire, de ce You don’t have to do it now. 2.1.4. Relations avec les autres SHOULD) et constat de contrainte extérieure
qu’il est interdit de faire : There is no need to do it. (HAVE TO, NEED TO, BE FORBIDDEN TO, BE
It’s forbidden to park here / You are not allowed to park here. ALLOWED TO)
SAVOIR-FAIRE STRUCTURES LEXIQUE GRAMMAIRE
PHONOLOGIE
1. Phonèmes
2. Rythme et accentuation
1. Au niveau du mot :
– Présence d’un accent de mot ;
– Accentuation des mots où A- et BE- sont en position de pré-
fixe (about, again, before, begin, behind) ;
– Non incidence de l’ajout de flexions et terminaisons neutres
(teacher, visitor) ;
– Accentuation à gauche des noms composés comme milkman.
3. Intonation
1. Intonation neutre :
– Intonation descendante s’appliquant :
- aux déclarations positives et négatives,
- aux interrogations avec mot interrogatif,
- aux ordres,
- aux formules de politesse,
- aux exclamations.
– Intonation montante s’appliquant :
- aux interrogations sans mot interrogatif,
- aux phrases inachevées,
- aux énumérations,
- aux subordonnées placées avant la principale.
Programme lexical
Présentation thématique
1. L’individu
1.1 Sa description
1.1.1 Le corps.
1.1.2 L’âge, la taille.
1.1.3 Les vêtements et accessoires.
2. Son environnement
3. Ses activités
Présentation détaillée
1. L’individu
1.1 Sa description
1.1.1 Le corps
1.1.1.1 Parties du corps
arm, back, beard, ear, eye, face, finger, foot/feet, hair, hand,
head, knee, leg, mouth, neck, nose, shoulder, stomach, tooth/teeth...
bald, curly, dark, fair, frizzy, long, low (voice), loud (voice),
straight...
1.1.1.2 Soins corporels - Santé
death, disease, hand and body care, illness, life, make up,
medicine, patient, perfume, razor, shampoo, shaver, soap, syrup...
blind, dead, deaf, ill, painful, sick...
catch/caught/caught (a cold), have/had/had (a headache / a
temperature / (the) flu) / toothache), hurt/hurt/hurt, shave/shaved...
ouch!..
2. Son environnement
3. Ses activités
PROGRAMME CULTUREL
À ce stade, s’il s’agit d’initier de grands débutants à la culture
anglo-saxonne, il convient aussi de prendre en compte leur âge, leur
expérience et les apports des classes de 6e et de 5e, et surtout de 4e
et de 3e, à la fois en LV1 et en histoire-géographie. Il s’agit égale-
ment de rendre possible un approfondissement ultérieur des savoirs
et des savoir-faire culturels en construisant en 4e et en 3ème un
cadre, indicatif et souple, mais nécessaire à l’édification progressive
et organisée de cette compétence de communication interculturelle.
En effet, culture et communication sont liées. La langue est liée à un
peuple, à son cadre de vie, à son histoire. Parler une langue étran-
gère, c’est parfois se mettre à la place de l’autre, penser comme lui,
se représenter le monde de l’autre, et la méconnaissance des réfé-
rents culturels peut être une entrave à la communication : pour com-
muniquer, il faut aussi avoir des connaissances culturelles et savoir
les mobiliser. L’objectif étant communicationnel et non encyclopé-
dique, les éléments proposés ci-dessous apparaissent, lorsque cela
est possible, en termes de savoir-faire, et il va de soi que, comme
pour la LV1, l’apprentissage culturel sera intégré à l’ensemble de
l’apprentissage et non relégué en annexe ou présenté comme une
leçon de civilisation. Il s’agira d’entraîner les élèves à se servir de
ces savoirs dans toutes les activités qui s’y prêteront, aussi bien dans
la classe que lors de voyages ou de contacts avec des anglophones
par exemple. Il sera bon de coordonner ces éléments entre eux, de
les rebrasser et de les approfondir progressivement ainsi qu’on le fait
pour la grammaire et le lexique.
La liste ci-dessous est indicative et ouverte, non exhaustive.
Elle permettra de constituer un bagage culturel minimal indispen-
sable dans les domaines suivants : vie quotidienne, repères géogra-
phiques, repères historiques, cadre institutionnel.
1) L’élève devra être familiarisé avec les différents aspects de la
vie courante, et notamment avec les usages sociaux, les moments de
la journée et de l’année (horaires, repas, calendrier, fêtes...), le cadre
de vie (habitat, paysages, nature et animaux....), le travail, l’école, les
loisirs et les sports.
2) L’élève devra être capable de :
– repérer sur une carte et nommer les Iles Britanniques (le
Royaume-Uni, la Grande-Bretagne, leurs composantes, les deux
Irlandes), les États-Unis, le Canada, l’Australie, la Nouvelle Zélande...
SOMMAIRE
Pages
I – Spécificité de l’enseignement de la LV2 . . . . . . . . . . . . . . 200
IV – Entraînement à la compréhension
d’un message oral
Comprendre un message sonore sans l’aide d’un vice versa, et il est indéniable que les exercices
support écrit et sans voir la personne qui parle d’entraînement précités ainsi que l’écoute atten-
présente de sérieuses difficultés pour qui n’a pas tive de messages oraux de diverse nature auront
été sensibilisé aux phénomènes phonologiques des effets bénéfiques sur la qualité de l’expres-
de la langue étudiée. Pour faciliter l’écoute et sion orale des élèves.
éduquer l’oreille, il importe, par des exercices
préparatoires bien ciblés, d’entraîner l’élève à : En classe, comme dans la vie courante, le récep-
– reconnaître les sons qu’il entend, distinguer teur peut se trouver dans deux types de situations :
notamment les sons tendus et relâchés, les diph- il peut n’être qu’un simple récepteur écoutant un
tongues et les triphtongues. Le défaut de com- message en continu (anecdote, récit, conte,
préhension d’un message oral est souvent dû à conférence, allocution, etc.) ou il peut avoir à
une méconnaissance du phonème et non à une réagir à un énoncé, sa réaction pouvant être l’ac-
ignorance grammaticale ou lexicale, d’où l’inté- complissement d’un geste ou la participation à un
rêt que présente la dictée de mots qui permet, de échange oral. Dans l’un et l’autre cas de figure, les
manière simple, de faire le rapport entre graphie objectifs et les exigences ne sont pas les mêmes et
et phonie (exemples : idea, creature, comfor- le professeur devra veiller à préparer et à entraîner
table, rough, etc.). Ce type d’exercice, qui se doit la classe aux deux types d’écoute.
d’être bref pour ne pas devenir lassant, pourrait
être proposé avant l’écoute et comporter des
mots figurant dans l’enregistrement. Cette forme
de préparation facilitera assurément la compré-
A. Préparation à l’écoute
hension du message ; Pour placer les élèves dans des conditions favo-
– percevoir la réalisation des formes faibles des rables, il paraît souhaitable, avant de procéder à
voyelles qui suivent ou précèdent l’accent tonique l’audition, de leur indiquer brièvement ou de leur
(exemples : banana, colour, again, etc.) et, pour ce faire deviner de quoi il va s’agir afin de créer des
faire, prononcer les mots polysyllabiques, ce qui attentes et de susciter l’intérêt. Dans les manuels
implique une initiation simple et claire aux règles en usage, l’image qui illustre la leçon peut servir
qui régissent l’accentuation des mots (exemples : de support à cette phase de présensibilisation
fantastic, stupidity, conversation,etc.) ; appelée « lead-in » par les pédagogues britan-
– reconnaître les différentes possibilités d’accen- niques, si elle présente la situation avec suffisam-
tuation de la phrase et les changements de sens ment de clarté sans toutefois dévoiler d’emblée la
qu’elles entraînent ; teneur du dialogue, ce qui rendrait l’étude de ce
– comprendre les intentions ou les sentiments dernier redondante et en retirerait l’intérêt.
de celui qui parle grâce aux indications pré- Quand l’image ou la série d’images semble trop
cieuses qu’apportent les intonations descen- difficile à décoder, il est préférable de l’utiliser en
dantes ou ascendantes des énoncés. fin de parcours d’apprentissage pour reconstituer
les éléments enseignés. La phrase introductive au
En classe, l’activité de compréhension d’un mes- passage enregistré peut souvent servir le même
sage oral n’est pas sans incidence sur le dévelop- objectif, tout comme la dictée de certains mots
pement de la capacité de production orale et du texte déjà mentionnée.
9.00 p.m., 28th August, 93 LEXIQUE 3.2. Repérer dans le temps. Situer
(Saturday)… tomorrow (Sunday)… 1.2.1. Le temps dans le passé, le présent, l’avenir.
on Monday… on Tuesday… at Dire la date et l’heure.
some other time.
Sorry I wasn’t in… LEXIQUE 1.2. S’excuser, remercier.
I’m sorry to hear that you cannot Deux usages différents de Sorry 4.2. Réagir à des situations (exprimer
come – à rapprocher de Hope you GRAMMAIRE le regret, l’espoir).
enjoyed « Much Ado about Ellipse du I sujet (shared knowledge)
Nothing » and have a nice day
tomorrow.
I wasn’t in [/at home/at our place/in LEXIQUE 3.1. Situer dans l’espace, indiquer
the house/at the cinema/there (1)]. place/home/house [≠ cinema] une direction, décrire
Come/go. come/go un changement de lieu.
Call round/come round to our house. in/at/round/to
GRAMMAIRE + PHONOLOGIE
Prépositions et adverbes : utilisa-
tion + réalisation (formes faibles
ou pleines) et rythme
Ellipse : le complément préposi-
tionnel du premier paragraphe qui
semble faire défaut après come et
go est en fait implicite car connu
des deux personnages (shared
knowledge)
Earlier [/this morning/this afternoon] PHONOLOGIE 3.2. Repérer dans le temps, situer
– 9.00 pm. Articulation de deux schémas dans le passé.
I wasn’t in when you called round intonatifs Fixer un cadre à un événement
earlier – à rapprocher de The [...] GRAMMAIRE passé.
film I told you that I had, when we Prétérit + circonstancielle de
were at the cinema ou encore de I temps/complément prépositionnel
enjoyed being with you so much
at the cinema.
I had to go to St Annes – à rapprocher GRAMMAIRE 3.2. Repérer dans le temps, situer
de Well, ought to leave you at this Have to.../ought to… (2) : constat dans le passé. Évoquer le passé,
point. de contrainte extérieure (≠ must et raconter.
should : contrainte émanant de 5.1. Parler de ce qu’on doit faire.
celui qui parle)
– Contrainte décisive et ici révolue
avec had to (Ross est allé à St Annes)
– Contrainte moins impérative
et concernant ici l’avenir
avec ought to
(il ne quitte pas Faby instantanément)
I had to go to St Annes to help my GRAMMAIRE
Dad Ø move some stuff. To/Ø : visée ou complémentation
notionnelle (construction compo-
sée de help)
I had to go to St Annes to help my GRAMMAIRE 3.1. Repérer dans l’espace, parler
Dad Ø move some stuff – à rap- Some : détermination non définie de la présence, de l’absence,
procher de we can always go at (imprécision quantitative du nombre, de la quantité de…
some other time. et qualitative) (3)
LEXIQUE
Caractère indéfini de some à rap-
procher du sens vague de stuff
Anyway – à rapprocher de in any LEXIQUE 7.2. Domaine de l’expression
case, by the way, well… Articulations du discours discursive : commenter, opposer…
1.5. Se donner le temps
de réfléchir.
I’m sorry to hear that you cannot LEXIQUE
come tomorrow. Sens figuré de ce hear – à distinguer
du sens premier.
1. On remarquera que ce there a un référent qui n’est qu’implicite (shared knowledge), tout comme sont implicites les réfé-
rents de the photo et the message du paragraphe 3.
2. On notera que ought to… n’apparaît pas dans le programme d’anglais LV2. On n’hésitera pas, cependant, à l’évoquer dans
la mesure où l’introduction de cette forme et sa mémorisation sont susceptibles d’être grandement facilitées par le texte.
3. Le some à valeur qualitative n’apparaît pas dans le programme, mais il ne devrait pas poser de problème de compréhen-
sion dans ce contexte ; aussi est-il parfaitement licite de profiter de cette lettre pour l’introduire.
4. Il ne sera guère utile d’entrer dans le détail de cette construction (relatif est complément d’objet de la subordonnée
complétive), à moins que cet énoncé ne pose de trop gros problèmes de compréhension.
5. Même remarque que pour ought et some qualitatif (voir ci-dessus, notes 2 et 3).