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LES 06, 07 décembre 2006


Les Opérateurs Culturels Africains en Réseau
CONTEXTE
Depuis plus d’une décennie, les acteurs culturels africains, conscients du rôle qu’ils doivent jouer pour
consolider et renforcer les acquis au sein de leur espace , redoublent d’ardeur pour trouver les voies et
moyens pour résoudre les problèmes inhérents à la création, à la formation et à circulation des œuvres et
des artistes, en Afrique.

Ces acteurs du développement du


théâtre en Afrique, ont balisé le terrain
et posé les jalons en créant ces
événements stimulants et fédérateurs
que sont les festivals internationaux.
Ces manifestations, certes
événementielles et limitées en moyens,
aident le plus souvent les compagnies à
circuler dans un environnement délimité
par le temps et l’espace.

Ces opérateurs culturels africains sentant un besoin fondamental de s’organiser en réseau, ont vu leurs
convictions renforcées par les articles 8 10 11, 12, 14, 15, 16, 17 etc. de la Convention sur la Protection
et la Promotion de la Diversité des Expressions Culturelles.

LA RENCONTRE
Ainsi, agissant au nom de la facilitation de la création, de la formation et de la circulation des produits
des arts scéniques, se sont réunis pendant deux jours à Bamako dans le
cadre du Festival des Réalité organisé par l’association Acte Sept.

Ces deux journées de réflexion ont servi de cadre pour diagnostiquer avec
profondeur et pertinence les mots dont souffrent la production et la diffusion
des œuvres scéniques en Afrique.

L’ouverture, sous la présidence de Fili Traoré administrateur du festival de


théâtre des réalités, a été faite avec la participation des acteurs invités au
festival mais et surtout de ceux dont la venue à Bamako n’était motivée que
par l’invitation faite par le FEST’ART et Acte Sept pour trouver les voies et
moyens de résoudre la crise du théâtre africain.

La rencontre s’est ouverte avec une Communication centrée sur la question


des politiques culturelles en Afrique introduit par Monsieur Omar NDAO, dramaturge, metteur en scène
sénégalais et professeur à l’Université Cheikh Anta Diop de Dakar invité pour la circonstance par le
FEST’ART

Après l’exposé de Monsieur Omar NDAO qui a plutôt fustigé le manque de politique cohérente de nos
états qui s’amenuisent à privilégier les aspects politiques et économiques au détriment de l’aspect
culturel, les débats ont été ouverts, permettant ainsi à tout un chacun de faire un exposé guère reluisante
de son environnement immédiat.

Apres cela, les expériences personnelles ont été visitées et le cas de l’espace GAMBIDI dirigé par le
professeur Jean Pierre NGINGANE et représenté par Jacob Sanwidi a été exposé
Inauguré le 22 février 1996, l’Espace Culturel Gambidi (E.C.G) est une structure culturelle professionnelle.
Centre de rencontres et d’échanges artistiques, l’Espace Culturel Gambidi est un lieu de créations, de
productions, de diffusions et d’animations artistiques et culturelles.

L’Espace Culturel Gambidi s’est donné comme objectif de participer, à travers des activités et actions
multiformes, à la promotion et au développement des arts du spectacle vivant en Afrique et d’apporter un
soutien aux créateurs et aux artistes africains pour leur permettre de mieux exercer leur métier dans une
optique de professionnalisation.

L’Espace Culturel Gambidi dispose d’un théâtre en plein air, d’un site d’hébergement, d’une salle de
répétition, d’un centre de formation, d’un restaurant, d’une radio communautaire, d’une bibliothèque, d’un
cyber espace, et de matériel son et lumière adéquat. Ce qui constitue un bel exemple d’un site d’accueil
en référence aux préoccupations du réseau.

Apres l’exposé for instructif sur l’espace GAMBIDI, la parole a librement circulé dans la salle. Des
possibilités ont été décelées
pour l’espace Gambidi Il a été
retenu de pérenniser le travail
fait par l’espace Gambidi et le
FEST’ART en recevant au
moins trois productions l’année.

Ensuite la discussion portant


sur le profil des formateurs pour
avoir des produits de qualité a
focalisé son intérêt sur la
nécessité d’avoir des acteurs
formés pour répondre à
l’attente des spectateurs.

Le représentant de la compagnie « à rebours» invité au Festival des Réalités, Monsieur Hugo, a abordé
la question du théâtre itinérant en s'interrogeant sur la relation formation-formatage. La formation doit, à
son avis, se faire avec des formateurs qui ont un regard alternatif. Il a posé le principe d'indépendance
des africains dans le choix des dynamiques. Pour lui, il faut éviter les échecs subits par les réseaux en
France du fait des risques de récupération par des institutions en quête de crédibilité.

Margaret, du CITO «carrefour international de Ouaga» qui se veut un lieu de rassemblement de toutes
les forces d’expression scénique du Burkina Faso, afin de rester un lieu de création ouvert et innovateur,
un lieu d’échanges avec des metteurs en scène et scénographes européens en dehors du Burkina et de
devenir un creuset de nouvelles vocations appuyer par des programmes de stages et de renforcement de
capacités. .
Pour cela, le C.I.T.O. est une organisation démocratique dont la vocation est de rassembler sous le même
parapluie des artistes exerçant dans des disciplines aussi diverses que variées

Ainsi sont membres individuels du CITO des comédiens, des metteurs en scène, des musiciens, des
chorégraphes, des conteurs, des scénographes, etc., tous motivés par la conviction que l’union dans la
diversité peut être un moteur de vitalité artistique pour un développement culturel véritable au Burkina
Faso et en Afrique.

Aujourd’hui le C.I.T.O. financé par la coopération norvégienne compte plus de 180 membres individuels,
ainsi que 42 compagnies et troupes qui se sont inscrites comme sympathisantes, se propose de créer
dans le cadre du réseau, un espace pour fidéliser un public africain pour le théâtre pour éviter le diktat des
bailleurs des fonds et fidéliser ainsi un public avec Professionnalisme dans tous les domaines.

La formation permet d’avoir


un public de base. C’est
cela qui explique le sens
du projet avec le CITO. Il a
été retenu, d'un commun
accord, que le Réseau de
Diffusion pour la
Circulation doit avoir un but
artistique et que la qualité
doit primer dans le choix
des pièces à accueillir.

La réunion de Bamako a
décidé de faire, dans
chaque cas, un projet sous
régional artistique. Pour
cela, il est indispensable
de tout faire pour avoir des
subventions sans
conditions.

A l’unanimité, les participants ont émis le vœu que le réseau soit une structure légère, gérée de façon
autonome par les artistes pour échapper à la mainmise des pouvoirs politiques. Tout le monde a ainsi
reconnu qu’un réseau sans but devient bureaucratique et risque de sombrer dans l’échec. Malgré les
difficiles conditions d’organisation de la rencontre, a été reconnu par tous que ce réseau est indispensable
à l’heure actuelle pour faire face aux difficultés de tous ordres.
La rencontre a salué l’exemple du CITO de Burkina qui est parti de l’expérience pour fidéliser le public
africain en organisant une cinquantaine de spectacles en raison de deux à trois spectacles par
semaine, avec un registre de fidélisation. Ces spectacles sont joués dans au moins dix villes du Burkina
avec des entrées payantes. C’est un moyen de contourner les salles conventionnelles.

Honoré Yaméogo,
régisseur du CITO, dit
que pour lui, ce sont les
subventions qui font
vivre le théâtre mais si
la structure n'a pas un
spécialiste de la
communication tout le
travail effectué est
perdu.

Suites aux nombreuses


interpellations des
structures présentes, la
réflexion s’est attelée à
répondre aux questions
suivantes :

• comment faire réellement circuler les créations et pour combien de dates ?


• Comment allier cela à la communication ?
• Est-ce qu’il y a des saisons ?
• En cas de coproduction, comment fonctionne la mise en réseau ?
• Faut-t-il trouver un opérateur par espace ?

La rencontre a tenté de répondre a ces questions .Il a été retenu qu’Il faut établir pour chaque espace
une saison théâtrale à des périodes fixes et communiquer dans une large mesure le découpage de
chaque saison pour permettre aux partenaires de savoir quel lieu choisir pour tel date avant de monter un
dossier. Pour faire circuler les créations il faut la volonté de chaque structure qui définira son plan de
circulation en partenariat avec les espaces d’accueil. Apres cela le réseau prendra le relais pour appuyer
financièrement dans la limite des ses moyens pour une bonne organisation matérielle et technique. Quant
a la question des représentants il a été formellement retenu qu’il faut au moins un représentant certes par
espace mais l’on peut disposer d’autant d’espace dans un pays pour privilégier la diversité et la
décentralisation. La subvention des espaces est nécessaire du fait du coût des dépenses
organisationnelles et de l’entretien des espaces.
Mais aussi pour que ces actions soient pérennes, les espaces et les compagnes doivent fidéliser leurs
publics pour faire bouger les autorités. Le chemin a été balisé par le festival de Théâtre des réalités
avec son spectacle «wangrin» de acte 7 du mali en décentralisation et qui a fait salle comble.

Il a été reconnu unanimement que l'esprit de


réseau est positif car la structure peut
compter sur des relais dans douze pays pour
servir de facilitateur. Ce projet culturel peut
partir des quartiers dans une vingtaine de
pays africains pour le théâtre forum. Le PSAC
pour l'accompagner et faire tourner les
créations Le réseau qui sera mis en place doit
aussi utiliser la base de donner de l’Institut
International du Théâtre pour diversifier les
contacts et élargir les possibilités pour les
créations qui le solliciteront.

Les différentes expériences relatées en


matière de coopération sous régionale
directes ont fini de prouver que le réseau
n’est qu’une mise en forme d’une activité qui
se fait régulièrement en Afrique. Chaque compagnie festivals ou autres structures reçoivent des créations
sur la base des affinités des uns et des autres. Il s’agit dorénavant de faire en sorte que les perspectives
soient plus vastes en maîtrisant le maillage du continent et proposer à termes un calendrier adéquat. Les
types de collaboration artistique de cette époque nécessitent la création de réseau de ce type pour être
plus crédible.

DEFINITION DU CAHIER DE CHARGES DU RESEAU

Une large réflexion sur les statuts et règlements intérieurs du réseau et la constitution des circuits a suivi
avant de finir par des propositions nécessaires à un bon fonctionnement du réseau.
STATUT ET REGLEMENT INTERIEUR

Les statuts et règlements intérieurs ont été examinés d’une manière transversale et mandat a été donné à
une équipe de coordination de se pencher en profondeur sur les statuts et de coordonner une phase test
qui permettra d’acquérir une expérience avérée avant de formaliser la structure. Autrement dit organiser
l’informel de la circulation des produits en faisant de sorte que les différents espaces soient connus.

Tous les participants, directeurs d’espaces ont demandé de permettre une facilitation du travail des
responsables de compagnies grâce à un tableau exhaustif dressé à partir des informations collectées. Il
faut, pour cela, aller jusqu’au bout de la logique et créer une structure chargée de réguler cette circulation.

Des actions concrètes ont été prônées en faisant en sorte de ne pas ajouter une lourde structure de plus.
Il prône un réseau permettant de faire en sorte que les compagnies disposent des informations utiles pour
préparer leurs tournées.

Le réseau sera doté d’un statut d’association avec un siège à Dakar. La rencontre a aussi désigné un
comité de suivi de trois membres composé de MASSAMBA GUEYE administrateur du FEST’ART, de
MACODOU MBENGUE directeur du FEST’ART et OUMAR SALL du Groupe 30 Afrique.

MAILLAGE DECELE LORS DE LA REUNION

Il a été donné de faire les circuits suivants pour au moins assurer par terre et par avion quatre spectacles
d’une capitale à une autre. Chaque structure a donné ses possibilités dans l’immédiat :

• Le FEST’ART offre trois espaces dont deux à Dakar et un à Thiès


• Le FESTHEF offre la possibilité recevoir cinq spectacles
• Le CITO peut prendre en charge quatre spectacles en saison
• L’espace Gambidi propose de programmer trois à quatre spectacle
• Ousmane ALEDI du Bénin peut programmer quatre spectacles
• Alougbine Dine dans son espace peut programmer quatre dates
RECOMMANDATIONS :

 Mandat a été donné au comité de suivi d’établir les statuts et le règlement intérieur pour à la
prochaine rencontre.
 Dresser une cartographie exacte des différents espaces qui existent
 de faire le rapport général par le comité de suivi et le faire parvenir à tout le monde
 L’espace CITO, dans sa tournée sous-régionale doit partager son expérience avec les membres du
réseau
 Chaque participant devra soumettre au réseau la liste des espaces et sa fiche technique
 La rencontre a proposé au coordonnateur Macodou MBENGUE de demander à l’OIF la possibilité
de faire en sorte que le reste de la subvention accordée puisse être utilisé pour la réunion de
validation de Dakar
 La rencontre a retenu de créer un site Internet qui donne une cartographie exacte des lieux et de
leur configuration pour créer plus de visibilité.
 La rencontre de Bamako a aussi proposé de demander aux compagnies en tournées, une
contribution financière au cas où les structures accueillantes offrent l’hébergement.

Fait à Bamako le 07 décembre 2006


PARTICIPANTS :
1. Ousmane ALEDJI Compagnie Agbo NKOKO Bénin
2. Sanwidi S Jacob représentant le Théâtre De La Fraternité, / E C GAMBIDI Burkina Faso
3. Leonard YAKANOU Festival FESTHEF Togo
4. Thomas MANOU YABLEH MASA [Marché des Arts et du spectacle] Côte d'Ivoire
5. Macodou MBENGUE Compagnie les Gueules Tapées / FEST'ART Sénégal
6. Thiaba LÔ Assistante de Direction FEST'ART Sénégal
7. Fréderic GAKPARA
8. Oumar NDAO Professeur à l’université CH Anta DIOP Directeur Archipel Sénégal
9. Catherine ROLAND Opératrice récréatrales, administratrice du projet réseau, Burkina Faso
10. Massamba GUEYE S. général des conteurs du Sénégal, Administrateur du FEST'ART
11. Oumar Sall Groupe 30 Afrique représentant ARTS MOVES AFRICA
12. Planche Jérôme ANOPE Théâtre
13. Véronique Vellard ANOPE Théâtre
14. Moussa Sanou CANAH BURKINA Faso
15. Kwamy Blewu N Gustave Cie AKTION Théâtre Togo
16. Krausse Grit Cie Escale France
17. Hollenstein Huges CIT France
18. Fili Traoré Acte-Sept Mali
19. Matthiessen Jacques CKU/ CITO Danemark
20. WATTARA Charles CITO Ouaga
21. Balavoine Marie-Françoise Acte-Sept Mali
22. Nyggier Roger KUCKUCK-PRODUCTION ZURICH
23. Yaméogo honoré CITO
24. Irène Lecomte CITO
25. AABY Margrethe CITO
26. ISSA ouedrago CITO
27. Margaret

REMERCIEMENTS
L'Organisation internationale de la Francophonie qui a payé le transport
international des participants
L'Organisation internationale de la Francophonie (OIF) est une institution fondée sur le
partage d'une langue et de valeurs communes. Elle rassemble 55 Etats et gouvernements
membres et a admis 13 observateurs. Elle conduit des actions dans les domaines de la
politique internationale et de la coopération multilatérale.
La production culturelle francophone du Sud est extrêmement riche et diverse. Son
déploiement dans l'ensemble de l'espace francophone - et au-delà - est à la fois facteur
d'enrichissement mutuel, de rapprochement entre les personnes, de paix et de
développement économique.
La diversité de cette création culturelle, l'un des piliers de la Francophonie, est un bien
commun qu'il s'agit de valoriser à l'heure d'une mondialisation souvent synonyme
d'uniformisation. Les ministres de la Culture des Etats et gouvernements de la Francophonie
ont chargé dès 1990 la Francophonie de promouvoir les arts de la scène, la circulation des
œuvres et des artistes, la production audiovisuelle et les entreprises culturelles des pays du
Sud.
En 2001, la Déclaration de Cotonou, issue de la Conférence ministérielle sur la culture, a
réaffirmé la diversité culturelle comme une priorité de la Francophonie renforçant ainsi son
engagement pour l'adoption dans le cadre de l'Unesco en 2005, d'un instrument juridique
international pour la promotion et la préservation de la diversité culturelle.

Ama yafund, Acte 7, Le FEST’ART, Groupe 30, Archipel, et tous les operateurs
culturels africains qui se sont mobilisés comme un seul homme pour que cette
rencontre ait lieux
FEST’ART 2007
Réunion d’information du Réseau des Opérateurs Culturels Africains
Dakar le 14 mai 2007 au Centre Culturel Blaise Senghor
Présents
1. M. Adama Traoré Mali
2. M. Ousmane Alédji Bénin
3. M.Khalid Tamer Maroc
4. M. Macodou Mbengue Sénégal
5. M. Gilles Laubert Suisse
6. M. Massamba Gueye Sénégal
7. Mme Aby Mbaye Sénégal
8. Mme d’Almeida Joëlle Bénin
9. Renaud Bechet France
10. Thiaba lo Sénégal
11. Benjamin Django Côte d’Ivoire

Ordre du Jour
 Informations et Gestion du Réseau
 Le procès verbal de la séance de Bamako
 Nomination du Coordonnateur du réseau

Considérant les acquis à Bamako en décembre 2006 (voir PV)


Les retombées pour des tournées de spectacles en Afrique, huit espaces en Afrique de l’Ouest ont étés
retenu entre Dakar – Togo et Togo - Dakar
Il faudra trouver les moyens de :
• Se faire prendre en charge par le circuit de financement mis à notre disposition par les Européens
• Trouver des personnes ressources porteurs de projets de circulation
• Monter le Projet
• Besoin d’appui moral et pouvoir se mobiliser d’avantage
Propositions et Questions
• Engagement effectif des espaces existants à faire circuler 3 spectacles par an
• Gestion de la Communication du réseau
• Le code d’éthique et de déontologie par rapport au spectacle
• Prévoir un code d’esthétique des spectacles à diffuser
• Quels critères de sélection des spectacles ?
• Domaine de Formation et de Créations ?
• Le financement OIF et AFRICALIA ?
• Les attributions du réseau ?
• Les droits d’auteurs ?
• La diffusion sur 5 pays ?
Exemple
Le Cas du FITA en Europe (20 ans d’existence)
CONCLUSION
 Macodou MBENGUE est nommé Coordonnateur de réseau et est chargé d’organiser la prochaine
réunion
 Création du site du réseau et code d’accès pour les adhérents
 Monter le statut (Oumar Sall)
 Monter un comité artistique
 Monter la Cartographie des espaces et la charte
 Rencontre des programmateurs un fois par an

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