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• Diabète : 3 nouvelles découvertes pour prévenir ou contrôler la maladie »

La Dépêche 14 septembre 2017


« De l'alimentation à la fréquence des repas, trois études scientifiques, présentées au congrès annuel de l'European Association for the Study of Diabetes (EASD à Lisbonne au Portugal ouvrent à la voie de nouvelles options thérapeutiques », rapporte La
Dépêche.
Ainsi, « des chercheurs grecs de l'Agricultural University of Athens, de l'Athens University Medical School, de l'Attikon University Hospital et Harokopio University ont constaté que le fait de prendre 6 repas quotidiens au lieu de 3 à heures fixes - contenant le
même nombre de calories - permettait aux personnes obèses présentant un prédiabète ou un diabète de type 2 de mieux contrôler leur taux de sucre sanguin », poursuit l’article.
« D'après les résultats, les diabétiques de type 2 ont vu leur taux d''hémoglobine glyquée (ou HbA1c) (…), diminuer. Chez les prédiabétiques, la prise de 6 repas a diminué l'occurrence de pics d'insuline chez ceux dont l'intolérance au glucose était la plus
sévère et a retardé le temps mis par le glucose pour atteindre son niveau maximal après l'ingestion de sucres », détaille-t-il. « D'après l'étude, les participants se sont sentis plus rassasiés avec moins l'envie de manger en dehors des 6 repas, tout en gardant
un poids égal à l'issue de l'expérience de 24 semaines », poursuit-il.
« Une seconde étude de l'université de Porto au Portugal menée auprès de 3.000 hommes et femmes diabétiques pendant 11 ans, montre que plus les femmes consommaient de la caféine, plus leur risque de mortalité était faible comparativement aux
femmes qui n'en consommaient jamais », indique le journal. « En consommant une tasse de café par jour (100 mg de caféine), le risque de mortalité était diminué de 51%, contre 66% pour deux tasses par jour », souligne-t-il.
Troisième découverte évoquée par le journal : « une étude britannique, portant sur 12.000 individus âgés de 30 à 65 ans, [qui] suggère un lien entre consommation de lait et lait écrémé et la distribution de la masse grasse corporelle, un indicateur de
maladie métabolique et cardiovasculaire ».
« Chez les participants qui en buvaient le plus, meilleure était la répartition de la masse grasse et plus la masse maigre (os, muscle) était augmentée, deux critères associés à un risque inférieur de maladies métaboliques comme le diabète de type 2 »,
rapporte l’article.
« L'étude précise que cet effet protecteur n'a pas été retrouvé par la consommation de la famille des produits laitiers comme le fromage, le beurre, les yaourts ou les crèmes glacées », observe La Dépêche.
Date de publication : 20 Septembre 2017
« On sait pourquoi le café est bon contre le diabète »
Top Santé septembre 2017
Top Santé révèle que « les chercheurs danois [de l'Université d'Aarhus] ont découvert le composé anti-diabète du café. Le cafestol, une bio-molécule présente dans les grains de café, aurait comme propriété d'augmenter et réguler la production d'insuline ».
D’après leur « étude (…) publiée dans la revue Journal of natural products », « le cafestol, testé sur des souris sur le point de développer un diabète de type 2, a permis de découvrir que les rongeurs qui avaient été nourris avec cette bio-molécule, avaient un
taux de glycémie plus faible, et que leur production d'insuline s'était améliorée par rapport aux souris qui n'en avaient pas eu », précise l’article.
« Le lien entre café et cholestérol n'est pas réellement une découverte. Mais initialement, les chercheurs pensaient que c'était la caféine qui protégeait du diabète. Cette nouvelle étude montre en revanche que c'est le cafestol qui le réduit, tout au moins
chez les souris, en faisant baisser la glycémie de 28 à 30% », souligne le magazine.
« La consommation quotidienne de cafestol peut retarder l'apparition du diabète de type 2 chez ces souris et (…) c'est un bon candidat pour le développement de médicaments pour traiter ou prévenir la maladie chez les humains », concluent les chercheurs.
Date de publication : 20 Septembre 2017
« Près d'un décès sur cinq lié à l'alimentation »
Le Figaro 15 septembre 2017
Selon une étude, « près d'un décès sur cinq dans le monde serait lié à une mauvaise alimentation », fait savoir Le Figaro. Aujourd’hui, « globalement, les gens vivent plus longtemps », souligne le Dr Christopher Murray, directeur de l'Institut de mesure et
d'évaluation de la santé (IHME) à l'Université de Washington à Seattle (États-Unis).
« En près d'un demi-siècle, l'espérance de vie mondiale à la naissance pour les deux sexes a augmenté de 14 ans, passant de 58,4 en 1970 à 72,5 ans en 2016, selon ce panorama 2016 de la santé mondiale, paru dans la revue The Lancet. Elle a atteint 69,8
ans en moyenne chez les hommes et 75,3 ans chez les femmes, selon l'étude, qui rassemble les données de 195 pays et territoires », résume l’article. « Le Japon a l'espérance de vie la plus élevée (83,9 ans pour les deux sexes combinés) et la Centrafrique la
plus basse (50,2 ans) », précise-t-il.
« Sur les 54,7 millions de décès constatés en 2016 dans le monde, 72% sont causés par des maladies non transmissibles, comme les affections cardiovasculaires ou le diabète, souvent liées au mode de vie (alimentation, activité physique, tabac, alcool, etc.) »,
souligne le journal. « La mauvaise alimentation, en particulier celle pauvre en céréales complètes, fruits et légumes, noix, poissons, et celle riche en sel serait en cause pour un peu plus de dix millions de décès (18,8%) mondiaux », commente-t-il.
« Les mauvaises habitudes alimentaires représentent le principal risque de mortalité », alertent les auteurs.
Date de publication : 20 Septembre 2017

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