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DES
COMPTES
L’objectif de ce cours est de :
Consolider, c’est…
Avoir une vision plus complète du patrimoine géré par le groupe ainsi les
actifs de chaque société sont consolidés en lieu et place des titres
L’approche patrimoniale :
Le concept central est celui de propriété (property concept). Les comptes
consolidés décrivent le patrimoine que les actionnaires de la société mère ont
investi dans cette dernière.
L’approche financière :
Le concept de la société mère (parent society concept) privilégie
l’information des actionnaires de la société mère
Objectif : mettre en évidence la valeur comptable des actions et du revenu
des actionnaires de la société mère
Les actionnaires minoritaires sont traités comme des tiers
L’approche économique :
Le concept de l’entité économique (entity concept) privilégie l’information
interne
Objectif : donner l’image de l’ensemble des actifs, des dettes et des
résultats du groupe sans se préoccuper du partage de leur propriété
L’approche mixte :
Dans la pratique, les comptes consolidés réalisent un compromis entre
l’approche financière et l’approche économique
Les actionnaires minoritaires ne sont pas considérés comme des tiers,
mais ils sont classés séparément des actionnaires majoritaires
Les comptes consolidés mettent en évidence la fraction de la situation
nette qui appartient aux actionnaires majoritaires
Éléments de terminologie :
Notion de groupe :
Société mère :
Entité qui a une ou plusieurs filiales
Filiale :
Lorsqu’une société possède plus de la moitié du capital d’une autre société, la
seconde est considérée comme une filiale de la première. Une filiale ( fille ;
subsidiary) est donc une entreprise détenue majoritairement par une autre
société ( mère ; parent).
Participation :
Lorsqu’une société possède dans une société une fraction de capital comprise entre
10% et 50%, la première est considérée comme étant une participation dans la seconde.
Pour le PCGF, « constituent des participations les droits dans le capital d’autres
entreprises qui, créant un lien durable avec celles-ci, sont destinées à contribuer à
l’activité de la société détentrice ».
Coentreprise :
Entité participant à un accord contractuel par lequel deux ou plusieurs parties
conviennent d’exercer ensemble une activité économique et partageant la prise de
décision (contrôle conjoint)
Entité associé :
Entité par laquelle l’investisseur a une influence notable, et qui n’est ni une filiale ni une
participation dans une coentreprise.
Nature des liens entre la société mère et les sociétés du groupe :
F3
Les comptes sont établis à l’initiative de la société mère regroupant les comptes
de toutes les sociétés faisant parties du périmètre de consolidation.
Les états financiers consolidés sont établis à partir des états financiers individuels
des sociétés formant le groupe.
Référentiels comptables :
L’objectifs des comptes consolidés est de donner une vision économique de l’activité, du
patrimoine et du résultat d’un ensemble d’entités contrôlées par une entreprise
consolidante. La vision économique se traduit essentiellement par la prééminence de la
réalité économique sur la forme juridique (substance over form).
Les groupes non cotés dont l’activité s’inscrit dans un environnement national, établissent
leurs comptes consolidés en appliquant la réglementation nationale établie à partir du
CGNC.
Les groupes cotés dont l’activité s’inscrit de fait, dans un environnement international,
doivent appliquer les normes comptables internationales IAS/IFRS (exemple : IFRS10 états
financiers consolidés, IFRS 3 Goodwill). Ces normes sont spécifiques à la consolidation et ne
peuvent être utilisées pour les comptes sociaux.
PERIMETRE
DE
CONSOLIDATION
Définition :
Contrôle exclusif
le contrôle exclusif est le pouvoir de diriger les politiques financières et opérationnelles
d’une entreprise afin de tirer avantage de ses activités.
Il résulte d’un contrôle de droit, d’un contrôle de fait ou d’un contrôle contractuel.
Contrôle de droit
Il y a contrôle de droit quand le pourcentage de contrôle de la société dominante dans la
filiale est supérieur à 50%.
Contrôle de fait
Le contrôle de fait est démontré quand la société dominante désigne, pendant deux
exercices consécutifs, la majorité des membres des organes de directions, d’administration
ou de surveillance.
Le contrôle de fait est présumé quand la société dominante dispose, pendant deux
exercices, d’un pourcentage de contrôle supérieur à 40% (et quand aucune autre associé ne
détient une fraction du capital supérieure à celle de la société dominante).
Contrôle contractuel
Il y a contrôle contractuel quand une société détient une influence dominante dans une
entreprise en vertu d’un contrat ou de clauses statutaires.
Normes IFRS, IAS 27
Pouvoir de réunir la majorité des droits de vote dans les réunions des organes
de direction;
Le contrôle conjoint est le partage du contrôle d’une entreprise exploitée en commun par
un nombre limité d’associés ou d’actionnaires.
Les politiques financières et opérationnelles sont décidées d’un commun accord entre les
associés exerçant le contrôle conjoint et aucun d’entre eux n’est susceptible d’imposer ses
décisions aux autres.
Spécificité IFRS :
Les décisions essentielles requièrent l’unanimité des parties
Influence notable
L’influence notable est le pouvoir de participer aux politiques financières et
opérationnelles d’une entreprise sans en détenir le contrôle.
L’influence notable est présumée lorsque la société dominante dispose d’un pourcentage
de contrôle au moins égal à 20% dans une entreprise.
DISTINCTION ENTRE POURCENTAGE DE CONTRÔLE ET D’INTÉRÊT
Distinction à faire
M
Pourcentage de contrôle :
80% • M contrôle F1 à 80 %.
• M contrôle F2 à 60 % via F1 .
F1 • M exerce via F1 et F2 une influence notable sur F3 à hauteur de 30 %.
F3
EXEMPLE 2 :
Une société A possède 30% des actions d’une société B laquelle possède 60% des actions
de la société C. il n’y a pas d’actions à dividende prioritaire sans droit de vote.
A B C
30% 60%
M M M
80% 60% 25%
5% 30%
F1 F1 F1
30% 70% 60%
F2 F2 F2
Groupe N°1:
-Taux de contrôle de M dans F2: 30%
- Taux d’intérêt de M dans F2 : 80% x 30% = 24%
Groupe N°2:
-Taux de contrôle de M dans F2: 5% + 70% = 75%
- Taux d’intérêt de M dans F2 : 5% + (70% x 60%) = 47%.
Groupe N°3:
-Taux de contrôle de M dans F2: 30% + 0% = 30%.
- taux d’intérêt de M dans F2 : 30% + (25% x 60%) = 45%
Exemple 1 :
Soient trois sociétés M, A et B dont les liens de participation se présentent comme suit :
M M M
60% 60%
20% 40%
10%
A A A 35%
20% 60% 20%
B B B
Cas N°:1 Cas N°:2 Cas N°:3 Cas N°:1 Cas N°:2 Cas N°:3
A 60% 20% 60% 60% 20% 60%
Société mère M
90% 80% 70%
A B C
30%
40% 60%
30% 21%
D 10%
E
F G
5% 50%
10%
H
Exclusion obligatoire
Une entreprise dépendante doit être laissée en dehors de la consolidation quand :
Les actions ou les parts de la filiale sont détenues, dès leur acquisition,
uniquement en vue de cession ultérieure ;
Exclusion facultative
Une entreprise dépendante peut être laissée en dehors de la consolidation quand une
entreprise n’a pas un caractère significatif par rapport aux comptes consolidés.
Motifs ne justifiant pas l’exclusion du périmètre
Définition :
Une entité ad hoc est « une entité dont l’activité est exercée pour le
compte exclusif du groupe qui exerce le contrôle et qui en a les
risques et avantages ».
EXEMPLE 1 :
Une société A possède des actions d’une société B ; 20% du capital de B est constitué
d’actions à dividende prioritaire sans droit de vote.
A B
40%
Le pourcentage d’intérêt de la société consolidante A sur la société B est de 40% alors que,
du fait de l’existence des actions sans droit de vote, le pourcentage de contrôle de A sur B
est de:
40% = 50%
100% - 20%
EXEMPLE 2 :
M détient 40 % du capital de A, ses actions étant les seules à être assorties d’un droit de
vote double.
M. détient :
(1) Les normes IFRS imposent la prise en compte de la substance de tous les droits de vote
potentiels détenus par l’entreprise consolidante pour le calcul du pourcentage de droits de
vote.
A condition que ces droits de vote potentiels puissent être exercés ou convertis à tout
moment par leur détenteur.
CAS PARTICULIER (3) : POUCENTAGE D’INTERET
Exemple 1 :
La société A possède 60% des actions de B, laquelle possède 70% des actions de C, laquelle
possède 10% des actions de A. Il n’a pas d’actions sans droit de vote.
A
60% 10%
B C
70%
Les pourcentages d’intérêt, ils sont plus difficiles à déterminer car il faut tenir compte de la
participation de A sur elle-même.
L’organigramme ci-dessus montre que A possède : 60% x 70% x 10% = 4,2% d’elle-même.
Les actionnaires autres que C de A possède 90% des titres et les actionnaires minoritaires de
B sur C = 10% – 4,2% = 5,8%.
Le pourcentage d’intérêt du groupe sur A est de : 90% = 93,95%
90% + 5,8%
FORMULE :
A
80%
10%
B
60%
70%
C D
Les pourcentages d’intérêt de A sur B, de A sur C et de A sur D peuvent être déterminés
comme suit:
x = 80% + ( t pourcentage indirect de A sur B)
y = 60% x x
z = 70% x y
t = 10% x z = 10% x 70% x 60% x x
75% 20%
10% 44%
B C
35%
10% 50%
D
15%
14%
5%
F
E G
Formulation d’hypothèses :
Il n’y a pas d’actions prioritaires sans droit de vote ;
Une société extérieure au groupe détient 50% du capital de G ;
Les titres F détenus par A et D le sont depuis plus de deux ans.
APPLICATION :
M
80%
45% 25% 33 1/3%
GIE
A B C
D
60% 70%
E G
10%
F
M % de Observations Méthode de % d’intérêt
dans contrôle consolidation
Méthodes d’intégration
L’intégration proportionnelle
Cette méthode consiste à intégrer dans les compte de la Sté consolidante les
éléments du bilan et du CPC de la filiale mais uniquement pour la fraction
revenant à la société mère.
Cette fraction se substitue à la valeur des titres de participation.
La mise en équivalence
Cette méthode consiste à réévaluer la valeur des titres de participation en
substituant leur prix d’acquisition par leur valeur comptable déterminée par la
répartition de l’actif net comptable de la filiale.
Exemple Méthodes de consolidation : Les comptes de la société M ( 20 000 actions de 100 ) et de sa
filiale se présentent comme suit :
BILAN M
Immobilisations 2 700 000 Capital social 2 000 000
Titres F (450 actions à 100 ) 45 000 Réserves 500 000
Actif circulant 255 000 Résultat 100 000
Dettes 400 000
Total 3 000 000 Total 3 000 000
CPC M
Charges 7 900 000 Produits 8 000 000
Résultat 100 000
Total 8 000 000 Total 8 000 000
BILAN F
Immobilisations 200 000 Capital social (1 000 actions) 100 000
Actif circulant 110 000 Réserves 80 000
Résultat 30 000
Dettes 100 000
Total 310 000 310 000
CPC F
Charges 870 000 Produits 900 000
Résultat 30 000
Total 900 000 Total 900 000
L’intégration globale
La filiale F est sous contrôle exclusif de M, elle doit être consolidée par la méthode d’intégration globale.
Participation de M dans le capital de F : (450 / 1000) = 45%.
a) Reprise des comptes des deux sociétés:
Immobilisations 2 700 000
Titres F 45 000
Actifs circulants 255 000
Capital social M 2 000 000
Réserves M 500 000
Résultat M 100 000
Dettes 400 000
Immobilisations 200 000
Actifs circulants 110 000
Capital social F 100 000
Réserves F 80 000
Résultat F 30 000
Dettes 100 000
Partage du résultat de F :
C.P.C consolidé
Produits : ( 8 000 000 + 900 000) 8 900 000
- Charges ( 7 900 000 + 870 000) - 8 770 000
Résultat consolidé de l’ensemble du groupe 130 000
- Intérêts minoritaires - 16 500
Résultat net ( Part du groupe) 113 500
L’intégration proportionnelle
a) Reprise des comptes des deux sociétés :
Bilan consolidé
Immobilisations ( 2 700 000 + 90 000) 2 790 000 Capital 2 000 000
Actifs circulants ( 255 000 + 49 500) 304 500 Réserves consolidées ( 500 000 + 36 000) 536 000
Résultat consolidé ( 100 000 + 13 500) 113 500
Dettes ( 400 000 + 45 000) 445 000
Total 3 094 500 Total 3 094 500
CPC consolidé
Produits ( 8 000 000 + 405 000) 8 405 000
- Charges ( 7 900 000 + 391 500) - 8 291 500
Résultat net de l’ensemble consolidé 113 500
Intérêts minoritaires 0
Résultat net du groupe 113 500
La mise en équivalence
Cette méthode ne reprend pas les éléments du bilan et du CPC de la filiale mais revalorise les titres de participation
figurant sur le bilan de la société mère.
Dans le CPC, il convient de mentionner la quote-part positive ou négative de la société consolidante dans le résultat de la
filiale mise en équivalence.
a) Reprise des seuls comptes de la société mère :
Immobilisations 2 700 000
Titres F 45 000
Actifs circulants 255 000
Capital M 2 000 000
Réserves M 500 000
Résultat M 100 000
Dettes 400 000
CPC consolidé
Produits 8 000 000
(-) Charges - 7 900 000
Résultat nets des sociétés intégrées 100 000
Quote-part dans les résultats des sociétés mises en équivalence
13 500
Résultat net de l’ensemble consolidé
(-) Intérêts minoritaires 113 500
Résultat net (part du groupe) 0
113 500
LES RETRAITEMENTS
DE
PRECONSOLIDATION
Homogénéisation des comptes des entités du groupe
Problématique : comment additionner des entités du groupe si elles n’ont pas la même
manière de comptabiliser certains postes ?
Les comptes individuels des entités du groupe n’applique pas systématiquement les mêmes
méthodes que le groupe, car ils sont établis selon des règles conformes à un environnement
économique, financier, juridique et fiscal différent de celui des comptes consolidés.
AVANT d’additionner les comptes des entités du groupe et de la société mère, il faut retraiter
leurs comptes individuels en respectant les méthodes décrites dans le manuel de
consolidation. Il faut alors homogénéiser les comptes des entités du groupe et de la société
mère.
Exemple :
Dans le manuel de consolidation, la société mère a choisi politiquement d’enregistrer les
contrats à long terme selon la méthode à l’avancement. Toutes les entités du groupe et la
société mère doivent alors comptabiliser les contrats à long terme selon cette méthode.
Les principes de consolidation
Il faut homogénéiser les entités du groupe y compris ceux de la société mère avant
de pouvoir additionner l’ensemble.
Les comptes de bilan et les comptes CPC font l’objet d’écritures séparées, l’équilibre de
l’écriture de reprise des comptes de CPC étant assurée par un compte «Résultat global» qui
fonctionne de manière réfléchie par rapport au compte «Résultat société X» repris en
même temps que les comptes de bilan.
Les comptes des capitaux propres des différentes sociétés doivent rester individualisés en
vue de préparer leur partage entre capitaux propres consolidés et les intérêts minoritaires.
Les autres comptes sont fusionnés.
Règle générale :
Les retraitements d’opérations de l’exercice affectent le résultat
Les retraitements d’opérations des exercices antérieurs affectent les réserves
Les conséquences fiscales de ces retraitements conduisent à constater une fiscalité
différée
Exemple : Retraitement des amortissements:
La société F est consolidée par intégration globale au sein du groupe M. Cette
société a acquis au début de l’exercice N-1 une immobilisation pour une valeur de
200 000 (HT). Elle décide de l’amortir selon le système dégressif sur 5 ans
(coefficient 2), alors que les normes du groupe imposent un amortissement
linéaire sur la même durée.
Les comptes individuels des sociétés étrangères consolidées doivent être convertis
dans la monnaie de la société mère. Deux méthodes de conversion sont utilisées :
La méthode du cours historiques ;
La méthode du cours de clôture.
Pour la mise en œuvre de ces méthodes, il faut faire la distinction entre les
éléments monétaires et non monétaires.
Les éléments monétaires confèrent le droit (ou l’obligation) de recevoir (ou
verser) de l’argent ; ce sont les disponibilités, les créances et les dettes.
A l’inverse, les éléments non monétaires ne confèrent pas ce droit (ou cette
obligation).
Exemples : capitaux propres, immobilisations corporelles et incorporelles,
titres, goodwill, avances et acomptes reçus ou versés, stocks, charges et
produits constatés d’avance (IAS 21).
Méthode du cours historique :
Les dépréciations des éléments non monétaires ainsi que leur dotations et leurs
reprises, sont converties en appliquant le cours historiques
Après avoir été retraités, les comptes des sociétés intégrées sont cumulés poste à
poste dans les comptes consolidés. Mais pour refléter l’image fidèle du groupe, il
faut éliminer les opérations intra-groupe.
Pour pouvoir mener à terme les travaux de consolidation, il est essentiel lors de
cette étape de bien identifier la société dont les capitaux propres (réserves ou
résultat) sont modifiés. Il est d’usage d’indiquer son nom dans les écritures
comptables.
Quels pourcentage d’intégration faut-il appliquer?
Le pourcentage d’intégration est toujours le plus faible, puisqu’il faut conserver les
opérations avec l’extérieur.
Faut-il retraiter les sociétés mises en équivalence?
Les résultats en interne ont une influence sur le résultat. Il faut dont également
retraiter les opérations concernant les entités mises en équivalence.
Opérations affectant le résultat consolidé : élimination des résultats internes
élimination des opérations Pourcentage d’intégration
Les marges internes sur stocks et sur contrat
à long terme et les résultats sur cessions
internes :
Il est très rare qu’une société fasse l’acquisition d’une autre société en payant cette
dernière pour le montant exact de ces capitaux propres comptables. Le seul cas de
figure possible est celui d’une prise de contrôle à la création de l’entité : on
acquiert alors le capital pour la valeur nominale des actions émises.
A quoi correspond cet écart? Pourquoi accepter de payer les actions d’une
entreprise pour un prix supérieur à ses capitaux propres?
Il est égal à la différence entre le prix d’acquisition des titres par la société mère et
le montant des capitaux propres lui revenant de la prise de participation.
Une partie de cette écart peut être expliquée par une sous évaluation de certaines
immobilisations : il s’agit d’un écart d’évaluation
L’écart résiduel est appelé l’écart d’acquisition. Il correspond à une prime payée
par l’acquéreur en contrepartie des avantages que lui procure la prise de contrôle
de l’entreprise: Elimination d’un concurrent, assurance d’un approvisionnement
ou d’un débouché.
Il est constaté en immobilisation incorporelle au bilan consolidé et amorti sur une
durée fixée par le groupe.
LE PARTAGE DES CAPITAUX PROPRES
Les capitaux propres à la date d’acquisition, sont éliminés en contrepartie des titres, dont le
coût d’acquisition correspond à la quote-part de la mère dans les capitaux propres.
La variation de ces capitaux propres postérieurement à la date d’acquisition est répartie,
suivant sa nature, entre les réserves et le résultat du groupe.
Conso groupe
Conso groupe
Filiale 1 Filiale 2 Filiale 3 Filiale 4 Filiale 5 Filiale 1 Filiale 2 Filiale 3 Filiale 4 Filiale 5