Академический Документы
Профессиональный Документы
Культура Документы
M
M
Analyse de la prolifération
cellulaire par incorporation de
thymidine marquée au tritium
dans le DNA
60
Radioactivité
50
40
30
20
10
0
0 2.5 5 7.5 10
Quantité d’antigène
Comment observer les réponses
des lymphocytes T in vitro?
Analyse de la prolifération
cellulaire par incorporation de
thymidine marquée au tritium
dans le DNA
50
40
30
20
10
0
0 2.5 5 7.5 10
Radioactivité
50
40
30
20
10
0
0 2.5 5 7.5 10
Quantité d’antigène
Les APC les plus efficaces pour initier une réponse immunitaire
sont les cellules dendritiques
• Deux chaînes et
liées de façon non
covalente
Structure des molécules de classe
Site de liaison
au peptide
II du CMH
• Membre de la
superfamille des
immunoglobulines
Superfamille des immunoglobulines
Transporters
associated with
antigen processing
Comparaison des deux voies
Molécules de classe I du CMH
Molécules de classe I du CMH
• Membre de la superfamille des
immunoglobulines
• Deux chaînes
– Chaîne de 45 kDa
– 2-microglobuline (qui n’intervient pas
directement dans la fixation du peptide)
Molécules de classe I du CMH
CMH classe I
« Spécificité » des molécules
CMH
• Nous possédons au maximum 6 molécules
de classe I et 12 molécules de classe II
– C’est assez pour reconnaître des dizaines de
milliers de peptides différents;
• Les molécules du CMH sont donc sélectives
mais n’ont en aucun cas la spécificité du
TCR
CMH classe I vs classe II
CMH classe I vs classe II
Nouvelle donnée : cellules
dendritiques et présentation
croisée via classes I
Cellules dendritiques
• A la différence des macrophages et des
lymphocytes B, les cellules dendritiques sont
parfois capables de présenter via des molécules
CMH de classe I des protéines « venant de
l’extérieur » : on parle de présentation croisée
• Quand une cellule dendritique phagocyte une
cellule apoptotique, une partie des peptides qui
résultent de cette phagocytose pourrait être
présentée de la sorte
Complexe majeur d’histocompatibilité
Complexe majeur
d’histocompatibilité
Les molécules du CMH ne sont
pas les mêmes chez tous les
individus!
Organisation génétique du
complexe majeur
d’histocompatibilité ou complexe
HLA (human leucocyte antigens)
Complexe HLA (chromosome 6)
très simplifié!!
3 classes de produits
Classe I
• CMH I présentes sur toutes les cellules nucléées et
intervenant dans la présentation des peptides
endogènes aux lymphocytes T CD8+
• Dimères mais seule la chaîne fait partie du
CMH. La 2-microglobuline n’en fait pas partie
• Trois types de molécules HLA de classe I : HLA-
A, HLA-B et HLA-C
Classe II
• Molécules du CMH présentes sur les cellules
présentatrices d’antigènes (DC, MF et
lymphocytes B) et intervenant dans la présentation
des antigènes exogènes aux lymphocytes T CD4+
• Dimères dont les deux chaînes et font partie
du CMH
• Trois types de molécules HLA de classe II : HLA-
DP, HLA-DQ et HLA-DR
Classe III
• Coincés entre les gènes des produits de
classe I et de ceux de classe II
• Mais très différents de ces derniers :
n’interviennent pas dans la présentation des
antigènes mais plutôt dans la régulation
d’aspects divers de la réponse immunitaire
• Par exemple : C2, C4, TNF-, TAP,
éléments du protéasome
Les molécules du CMH ne sont
pas les mêmes chez tous les
individus!
Polymorphisme des molécules
HLA
Polymorphisme des gènes du HLA
• HLA-DR 259
• HLA-DP 99
• HLA-DQ 55
Haplotypes
• Les loci du complexe CMH sont très
proches : le taux de recombinaison au sein
du CMH est donc très faible (moins de
0.5%)
• Les allèles du CMH sont donc transmis « en
bloc » de chaque parent : transmission d’un
haplotype comprenant un ensemble
d’allèles pour les trois régions du CMH
Polymorphisme
HLA-DR3
HLA-DR3
HLA-DR3
Cellule dendritique de M. A (donneur HLA-DR3)
Peptide issu d’une des chaînes
Cellule dendritique de M. du HLA-DR3 de M. A
A (donneur HLA-DR3)
HLA-DR7
Endosome
M de Monsieur B Lympho T
(receveur) de M. B
receveur
TCR
Lym
p
de ho T
M
rec . B
e ve
ur
Cellule dendritique de M.
A (donneur HLA-DR3)
C’est l’alloreconnaissance directe :
la reconnaissance directe de
l’alloCMH (sans apprêtement de
celui-ci) avec une affinité
suffisamment grande pour activer
le lymphocyte T et ce
indépendamment du peptide
présenté par cet alloCMH
Normalement, le TCR doit
posséder une certaine affinité
pour le CMH du soi pour pouvoir
s’y ancrer et interagir avec le
peptide présenté...
mais en aucun cas, cette affinité
ne doit être suffisante pour
permettre l’activation de
lymphocyte T : la reconnaissance
spécifique du peptide présenté est
rigoureusement nécessaire à
l’activation
C’est la base de la spécificité du système : les lymphocytes T dont
le TCR possède une trop forte affinité pour une molécule CMH
du soi sont éliminés dans le thymus
La reconnaissance directe
d’alloCMH prend en défaut ce
système de contrôle et constitue
une perte majeure de
discrimination du TCR : une
fréquence élevée de lymphocytes
T est stimulé par une molécule
alloCMH donnée
Alloreconnaissance
• Interaction physiologique avec un complexe
peptide + CMH du soi
– Faible niveau d’interaction avec le CMH lui-même.
Haut niveau d’interaction avec le peptide. Haut niveau
de spécificité
• Alloreconnaissance indirecte : IDEM
• Alloreconnaissance directe
– Haut niveau d’interaction avec le CMH. Faible niveau
d’interaction avec le peptide. Dégénérescence de la
spécificité