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La Supply Chain Management

Réalisée par : Encadrée par :


AFTAS Sara Pr. SAHBANI Siham
TOUIJAR Soumaya
MEJNI Fadoua
MOUJAHID Meryem
Plan

 Introduction
I. L’evolution de la chaine logistique
II. Composition et typologie de la chaine logistique ;
III. Démarche de la chaine logistique;
IV. L’importance de la SCM et les conditions de sa performance ;
V. Les tendances actuelles de la SCM ;
 Conclusion
Introduction
Depuis plusieurs années, du fait du contexte économique, la
relation entre les clients et les fournisseurs a fortement évolué au
niveau de plusieurs stades et aspects .
Plusieurs facteurs ont entraîné les entreprises à rechercher de
nouvelles voies pour améliorer et accroître leurs performances en
termes de productivité et flexibilité, et répondre au mieux aux attentes
de leurs clients .
Face à ces enjeux, les entreprises se voient amenées à remettre en
cause et revoir complètement leurs organisations, en décloisonnant
les différents services. Les notions de flux physiques et flux
d’information, tout au long de la chaîne logistique prennent alors tout
leur sens, et le Supply Chain Management constitue en ce sens une
réponse complète et adaptée .
I. Evolution De la fonction logistique

Tableau : Synthèse des caractéristiques et facteurs explicatifs des évolutions logistiques


 Les entreprises tout au long de leur existence s'évertuent à optimiser la
gestion des flux physiques et des flux d'information le long de la chaîne
logistique depuis le fournisseur du fournisseur jusqu'au client du client
et cherchent d'emblée à garantir au producteur et au distributeur la
qualité.
 On appelle SCM;  les outils et méthodes visant à améliorer et
automatiser l'approvisionnement en réduisant les stocks et les délais de
livraison.
 Le Supply Chain Management c'est aussi l’ensemble des intervenants
de la chaîne logistique.
 Le SCM concerne toutes les étapes internes et externes impliquant
une identification, une coordination et une rationalisation des flux.
II. Composition et typologie de la SCM
1. Composition de la SCM

Stratégique : permet de définir L’offre des produits et services, le


dimensionnement de l’outil industriel et logistique ; et la négociation De
contrats et partenariat avec les fournisseurs et clients .

Tactique: met au point les prévisions de vente, la planification, la


Niveaux de la
programmation et le calcul des besoins, l'établissement des
supply chain
règles d’approvisionnement et des règles de gestion des stocks

Opérationnel: consiste à gérer les commandes clients,


ordonnancement des opérations et gestion des aléas,
l'exécution des commandes : production, distribution et
facturation.
2. Types de la chaine logistique
III. La démarche de la chaine logistique:

Observer et étudier

Analyser

Optimiser

Remettre en cause
1. Observer et étudier :

 La démarche logistique s’inscrit dans une démarche à moyen terme avec


un but et des objectifs précis. Il faut donc bien connaître la situation
actuelle de l’entreprise, un audit de la situation est alors nécessaire. Il a
pour but de montrer les dysfonctionnements et les perturbations de flux.
Il faut également connaître la stratégie globale de l’entreprise et son
environnement économique :
les caractéristiques du
les spécificités liées les spécificités liées mode de
aux produits aux marchés commercialisation

détecter les besoins analyser son marché


et connaître la pour déterminer les définir quand,
demande pour paramètres de la comment et où être
adapter le produit à concurrence et présent
celle-ci évaluer les habitudes
des consommateurs
l’environnement connaître les éléments
réglementaire et normatif d’une politique produit

Vérifier la conformité
définir les critères de
du produit ou l’adapter
qualité et de prix
éventuellement
2. Analyser:

Cette étape est dynamique, il s’agit de définir les outils dont on va se doter pour
arriver au résultat et de définir comment peut être adaptée l’entreprise. Le
responsable logistique devra établir :
 un schéma d’approvisionnement : il faut choisir l’origine des matières premières et
des composants, les transporter vers l’usine de transformation et les stocker
éventuellement. Tout ceci doit s’articuler de manière cohérente avec le schéma de
production. Il convient ensuite d’organiser le transport de ces produits. 
Les quantités à approvisionner, la fréquence des livraisons, etc… dépendront des
installations de stockage (et de la politique de stockage de l’entreprise) et de
l’ordonnancement de la production.
 un schéma de production : il s’agit de choisir entre faire et faire-faire, recourir à des
unités de production décentralisées ou non, gérer les flux physiques de production,
l’ordonnancement de la fabrication et les encours.
 un schéma de circulation des flux amont : une fois les schémas d’approvisionnement et de
production définis, il convient de maîtriser la circulation des flux que l’on prévoit de générer. Il
faut donc prévoir les flux physiques mais aussi les flux d’information (documents et procédures
de travail notamment).

  un schéma de circulation des flux aval : de la même manière, les services commerciaux et
marketing de l’entreprise vont transmettre à la logistique la structure du marché, les objectifs
de stock. Tout ceci permettra d’apprécier les contraintes liées aux modes de transport (et les
implications sur l’organisation interne), au mode de commercialisation, de définir qui a la
maîtrise du stock, etc.

 Une quantification des coûts est indispensable : liées aux produits (analyser le coût de
l’immobilisation des produits, etc.) et liées au marché (analyser tous les coûts de modifications
et déterminer toutes les prestations à réaliser pour que le produit ou le service soit compétitif).
3. Optimiser :

 L’optimisation de la chaine logistique nécessite une mobilisation de la


direction générale et des directions fonctionnelles pour aller plus loin avec la
direction logistique, afin de dégager de nouveaux avantages compétitifs en
terme de cout comme le service.

 Toute phase d’optimisation se fait face à des référentiels de couts et de


qualité ou de service très précis, qui ont été mis en place avec le premier
schéma d’une logistique intégrée, avec une offre produit et une présence
sur différents marchés comparables.

 Il  s'agit d'optimiser tous les composants de la supply chain. Un seul


objectif : livrer aux clients, en temps et en heure, des produits de
qualité au meilleur prix.
 Il s'agit d'optimiser la gestion des flux au niveau global , du fournisseur du
fournisseur jusqu'au client du client, autrement dit de l'approvisionnement
en matières premières au consommateur final. Il s'agit de coordonner tous
les processus pour atteindre le niveau de performance qui convient
l'entreprise.

Contoler et gérer les


Organiser le stockage Organiser la livraison Gérer les flux
dysfonctionnements
4. Remettre en cause :
 Arrive forcément le moment où l’optimisation ne peut être poursuivie sans
remise en cause du schéma logistique. Parce que les données économiques de
l’entreprise et de son environnement ont considérablement évolué – avant
même que la phase d’optimisation ait pu être menée à bout – ou parce que
celle-ci – menée cette fois à son terme – a montré qu’il fallait désormais retenir
de nouvelles formes d’organisation.
Repenser le schéma
Redéfinir l’offre
logistique

Améliorer le rapport Qualité/Prix ou Mettre en place une nouvelle politique


les spécification du produit et d’achat, une nouvelle organisation de la
augmenter la qualité du service liée à production, de nouveaux canaux de
celui-ci pour obtenir un avantage distribution, et modifier le plan du
nouveau en terme de compétitivité. transport.
 La supply chain s’est développée au sein de l’entreprise pour pouvoir répondre
plus efficacement et avec plus d’efficience à la demande des clients.
 Le consommateur est au centre de la supply chain. C’est même lui qui est à
l’origine de la chaine logistique globale et qui va déclencher la production du
produit. En effet, le client est au cœur des préoccupations et il va être le centre de
la supply chain.
 Il y a différentes étapes dans le processus de logistique globale, on peut les décrire
comme étant successives bien que les relations et les échanges soient constants et
réciproques :

La création du bien, Livraison de la matière


engendrée par le client première à l’entreprise
final par le fournisseur

Transformation des La création du produit


matières premières en ( à travers plusieurs
un premier élément du taches) par les
produit partenaires
 Chacun des intervenants de la chaine va avoir un rôle déterminé et essentiel pour
que le client soit livré à temps et satisfait. Il est donc primordial que chaque acteur
agisse dans son intérêt mais prenne en compte aussi celui de ses collaborateurs. Si
l’un des acteurs ne respecte pas les règles la production peut être arrêtée. De
même, pour éviter toute surproduction, les agents vont établir des prévisions en
fonction des prévisions de leurs collaborateurs précédents sans ajouter un
pourcentage de marge.

 La gestion en Supply chain implique une transparence et une confiance totale entre
les intervenants. La collaboration doit être complète et suivie pour éviter toute
erreur ou surproduction inutile. La production et les délais de livraison doivent tenir
compte de chacun des agents. La chaine logistique globale est plus longue que
lorsque l’entreprise est seule gestionnaire. La fabrication est alors élaborée en
fonction de chacun.
IV. L’importance de la SCM et les conditions de sa
performance
La Supply chain doit garantir la qualité au producteur et au distributeur,
c-à-d La conformité du produit ou service avec ce qui figure au cahier des
charges, ce qui donne à l’entreprise un avantage concurrentiel.

 L’optimisation de la qualité, La productivité, et la sécurité permettent :


 d’augmenter les ventes, Les parts de marché.

 Et le faire à Moindre Coût permet :


d’améliorer la marge bénéficiaire de l’entreprise.
 Il est important de parler aussi de la relation entre les dirigeants des
entreprises et leurs partenaires (à savoir les fournisseurs, distributeurs…)
qui se concrétise dans la circulation de 3 types de Flux :
 Gérer la chaîne logistique, c'est fluidifier les flux en optimisant autant
que possible les coûts.

C’est à dire gérer efficacement les Flux


 afin de réduire les coûts d’approvisionnement, coûts
d’acheminement, coûts de production, coûts de stockage.
On s’appuyant sur des indicateurs pour mesurer la performance du
système en place et détecter les points pour lesquels l’entreprise doit
progresser, comme par exemple :

 Pour les approvisionnements : taux de disponibilité et délais de


livraison ;
 Pour le stockage : suivi de la valeur du stock, des pertes de valeur et de la
couverture des stocks ;
 Pour le transport : Coût moyen par produit et taux de remplissage du
moyen de transport ;
Les outils de la Supply Chain Management :

Le Supply Chain Management regroupe un bon nombre d’outils


développés par les entreprises dans différents domaines allant de la
planification jusqu’à la gestion de l’information :

 De la planification (MRP, DRP,....).


 De la fabrication (OPT, CRP...).
 De l'optimisation des stocks (Méthode endogène (analyse d'historiques) ou
exogène (approche étude de marché)...).
 Du transport et d'entreposage (WMS...).
 De la gestion de l'information (CRM, SRM, PLM, EDI,...).
 De la qualité (TQM ou gestion de la qualité totale,...).
 ….
Donc, La maîtrise et la fluidité de l’information dans l’entreprise est
un outil indispensable à la mise en place d’une Supply Chain

Pour cela plusieurs techniques doivent être combinées :

 Les EPR (Enterprise Ressource Planning) 


 L’EDI (Echange de Données Informatisées / Electronic Data
Interchange) 
 Les APS (Advanced Planning and Scheduling) 
 Les EPR (Enterprise Ressource Planning) sont des systèmes
d’information intégrés des différentes fonctions de l’entreprise (vente,
administration des ventes, prospection et devis, production,
approvisionnements, finances, etc …). Il rend compte à la fois des
transactions (commandes …) et de l’exécution de ces transactions (suivi).
 L’EDI (Echange de Données Informatisées / Electronic Data
Interchange) consiste pour une entreprise à mettre en place des outils
informatiques compatibles avec les systèmes des différents partenaires afin
d’échanger des données commerciales (commandes) et comptables
(facturation). Le e-trade, beaucoup plus souple, rapide et simple.
 Les APS (Advanced Planning and Scheduling) sont des systèmes
informatiques qui permettent de planifier à l’avance l’ensemble des flux
de l’entreprise (tant physiques que financiers). Ces systèmes sont couplés
avec les ERP et permettent des anticipations des demandes clients et des
productions associées.
V. Les tendances actuelles de la SCM

 Réduction du nombre
de fournisseurs
 Sous-traitance de la
chaine logistique
 Report (Postponement)
 Le cross docking
 Autres tendances
1. La réduction du nombre des fournisseurs :

 Dans le passé, les organisations recouraient à un grand nombre de


fournisseurs. Cela encourageait la concurrence et leur garantissait les
livraisons dans le cas où le fournisseur a des difficultés.

 La tendance actuelle, cependant, est de réduire le nombre de


fournisseurs et de développer des relations de collaboration et de
partenariat à long terme avec les meilleurs entre eux. En effet il est
prouvé que travailler étroitement avec un petit nombre de fournisseur
peut faire gagner beaucoup à l’entreprise.
1. La réduction du nombre des fournisseurs :

 Exemple:

Dana Holding Corporation, leader technologique international spécialisé


dans l'ingénierie automobile, fournit aux 3 500 constructeurs et
équipementiers du secteur, présents dans 125 pays,
Cette multinationale a pour objectif de rationnaliser son processus achat à
travers la réduction du panel de fournisseurs de 50% d’ici 2018.
2. La sous-traitance de la chaine logistique :

 Plusieurs entreprises se rendent compte qu'ils peuvent


bénéficier des services d’entreprises spécialisées pour prendre
en charge une partie ou la totalité de leur chaine logistique.
Ceci permet à l’entreprise de se concentrer sur ses activités de
bases ce qui lui permet de satisfaire les exigences en matière
de qualité, capacité de production, temps de livraison … etc.
2. La sous-traitance de la chaine logistique :

La sous-traitance

Sous-traitance Sous-traitance
associée dissociée
2. La sous-traitance de la chaine logistique :

La sous-traitance dissociée La sous-traitance associée

 Une sous-traitance est dissociée  Une sous-traitance est associée


lorsque le prestataire qui prend lorsque le prestataire n’est pas
en charge certaines activités une entité juridiquement
logistiques est une entité légale indépendante du donneur
indépendante du donneur d’ordres:
d’ordres.  Filiale
 Co-entreprise
2. La sous-traitance de la chaine logistique :

 L’exemple :

Wall Mart Canada qui ne gère pas ses entrepôts. Cette mission
est dédiée à une filiale de la multinationale britannique Tibbett
& Britten qui s’en charge.
3. Le report (postponement) :

 Traditionnellement, les fabricants transportent les produits finis de leur


lieu de production et les stockent dans le système de distribution
jusqu'à ce qu’ils soient demandés. Quand il y a beaucoup de variations
sur un produit de base, ceci peut engendrer des stocks élevés en des
produits spécialisés.
3. Le report (postponement) :

 Le Report consiste à stocker des produits quasi finis et retarder les


opérations de personnalisation du produit jusqu’au dernier moment
possible.
3. Le report (postponement) :

Cette méthode permet à l’entreprise:


 De réaliser des gains grâce à une production de masse en
amont tout en proposant une large gamme de produits au
client.
 De réduire le délai de satisfaction de la demande client.
 D’accroître la flexibilité de l’entreprise.
3. Le report (postponement) :

Exemples :

 COMPAQ livre des micro-ordinateurs standards à son site européen


qui assure des opérations d’adaptation et de préparation pour
chaque pays (notice d’utilisation, clavier, cordon, documents
promotionnels…)
 HP livre des composants de micro-ordinateurs qui sont assemblés
chez ses principaux clients.
 La CAT, filiale de Renault prépare 30 000 véhicules par an dans un
de ses centres de distribution de la région lyonnaise (contrôle,
montage d’accessoires, finitions et nettoyage intérieur…).
4. Le cross-docking (correspondance) :

 Il s’agit d’un type de préparation de commandes, assuré


principalement par les entrepôts et les magasins, permettant
de se passer des phases de stockage des produits en
entrepôt. En effet Les colis sont regroupés par commande sur
une plate-forme (quai) où ils ne font que transiter. Ils passent
donc du transport amont (quai des arrivés des marchandises)
au transport aval (quai des départs des marchandises) dans un
délai très court.
4. Le cross-docking :

 Cette méthode présente des avantages considérables. Les économies de


temps qu’elles procurent favorisent le traitement des commandes à
priorité élevée (produits frais, presse quotidienne…), de plus elle permet
la réalisation d’économies reliées au frais d’entreposage.

 Elle nécessite cependant une organisation pointue avec le respect d'un


ordonnancement des tâches de réception, expédition très précis.
 Wall Mart qui fut l’initiateur de ce système a acquis grâce à celui-ci un
avantage concurrentiel lui ayant permis de devenir le leader mondial
dans son domaine.
5. Autres tendances :

 La livraison directe :
Beaucoup de clients achètent sur le Web ou commandent les produits directement
de leurs fabricants.
Avantages:
 La réduction des délais de livraison,
 La réduction des coûts pour les clients,
 La communication directe entre fabricant et consommateurs,
 Permettre aux clients l'accès à un plus large éventail de produits…etc.
Cela signifie que l’entreprise doit livrer des petites commandes très rapidement. Ceci
encourage le développement des services de courriers et de livraisons tels que
Fedex, UPS et DHL.
5. Autres tendances :

 Plus de collaboration le long de la supply chain :

Les organisations dans une chaine logistique reconnaissent qu’ils


visent les mêmes objectifs à savoir satisfaire le consommateur. Par
conséquent, ils ne devraient pas se concurrencer mais coopérer afin
d’y parvenir. Ceci signifie que les concurrents ne sont pas
l’organisation dans une même chaîne logistique mais ceux dans
d’autres chaines logistique. On dit que les Supply Chain se
concurrencent et non pas les entreprises.
5. Autres tendances :

 Autres méthodes de réduction de stocks :

Garder les stocks est coûteux, en conséquence les entreprises visent


continuellement à diminuer les stocks tout au long de la chaine
logistique. Il existe de nombreuses façons de faire ceci. Une des
approches est l’utilisation du juste-à-temps pour coordonner les
activités et réduire les niveaux de stock.
5. Autres tendances :

 Autres méthodes de réduction de stocks :

Une autre approche est la « Vendor Managed Inventory »


(inventaire géré par le fournisseur), où les fournisseurs gèrent leurs
propres stocks et ceux qui ont eu lieu en aval de la chaine logistique.
La VMI réduit les coûts globaux et peut générer des économies
d'échelle.
5. Autres tendances :

 L'augmentation des préoccupations environnementales :

On se penche de plus en plus sur les préoccupations


environnementales : la pollution de l'air et de l’eau, la
consommation d'énergie, le développement urbain et l'élimination
des déchets. La logistique n’a pas une bonne réputation quant à la
protection de l'environnement : les émissions des poids lourds,
l’utilisation des espaces verts pour la construction d'entrepôts, les
appels à la construction de nouvelles routes, utilisation abusive
d’emballages, déversement accidentel d’hydrocarbures…
5. Autres tendances :
 L'augmentation des préoccupations environnementales :
La logistique est donc amenée à des pratique plus ’vertes’. Les
opérateurs s’intéressent à:
 L'efficacité énergétique des véhicules,
 Le recyclage d'emballages,
 L’utilisation de modes de transport moins polluant,
 Augmenter le recyclage par le biais de la logistique inverse,
 Améliorer les dispositifs de sécurité des navires.
5. Autres tendances :
 L'augmentation des préoccupations environnementales :

 Ils optent de plus en plus pour gestion prudente qui a pour double
objectif de protéger l’environnement et de réduire les coûts. On
peut donc estimer que la logistique a accompli des progrès en
matière d’écologie mais a encore beaucoup de chemin devant elle.
Conclusion

 La chaîne logistique, ou supply chain, est réellement


aujourd'hui une compétence indispensable pour le bien des
entreprises car, même si ce n'est pas leur cœur de métier, elle
a une influence directe et considérable sur sa performance
commerciale, économique, financière, environnementale et
donc sur la création de valeur durable qu'elle est capable de
générer et d'accumuler année après année.
 Or, compétence indispensable ne signifie pas pour autant
compétence à créer et conserver uniquement en interne, car
l'art logistique est précisément un art de la collaboration, avec
les fournisseurs et les clients de la filière économique, mais
aussi avec des prestataires externes offrant des services de
logistique physiques, des éditeurs de progiciels, des
consultants. En effet, la fertilisation croisée des pratiques et
des compétences est une clé essentielle du progrès durable
qui influence durablement les performances des entreprises.
Merci pour votre attention

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