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L’Hyperactivité :

«  TROUBLE DE DEFICIT DE L’ATTENTION »


B TEAM
Bonjour 👋 ,
ON est Groupe B. J'espère que tout le monde est en bonne santé .
on va vous pousser à voir la vie d’un autre coté , tout va passer trop vite dans vos
cerveaux mais ,avec une perte d’attention !
Concentrez vous
avec cette petite
histoire :
Notre fils nous posait de plus en plus de soucis depuis une
dizaine d'années car nous avions été aiguillés vers les mauvaises
institutions.
Lucas est altruiste, ne souffre pas l'injustice, qualifié de
"supérieurement intelligent" dans les tests, espiègle, rieur, câlin...
mais monté sur ressorts, voulant faire mille choses sans les
terminer, épuisant TOUT son monde car il parle sans arrêt et
tourne autour des gens comme un moustique, n'arrive plus a être
attentif en classe.
Un enfant adorable et en même temps insupportable pour qui le
système éducatif est de moins en moins compréhensif...
Hier, Lucas, a été diagnostiqué TDA/H.
Nous voyons enfin poindre la lumière au bout du tunnel
L’Hyperactivité :

L’hyperactivité, ou Trouble du Déficit de l’Attention, avec ou sans


hyperactivité
(TDAH), se manifeste par une impulsivité verbale et motrice et une
perturbation de l’attention. Celle-ci est irrégulière, et peut donc rendre ce
trouble difficilement décelable.
Ce Trouble du Déficit de l’Attention est un désordre neurologique, aggravé
par
des facteurs psychosociaux. On parle souvent d’une association de trois
dimensions : déficit d’attention / hyperactivité / impulsivité.
Les symptômes sont bien sûr différents d’une personne à une autre, et
peuvent
être d’intensité différente. Souvent difficile à vivre pour la personne et
pour
son entourage, cette hyperactivité a tout de même un côté positif : ces
personnes sont bien souvent très Créatives
❖ Les causes ❖ Les facteurs
physiologiques : environnementaux :
❖ Les causes physiologiques :
Le cerveau des gens atteints présente
de subtiles différences anatomiques et
les études en imagerie cérébrale ont mis
en évidence un fonctionnement différent
de plusieurs zones cérébrales. La
génétique est impliquée dans environ 75
% des cas. Le problème se situe au niveau
de la modulation des informations
neurologiques. On retrouve une
composante héréditaire dans la majorité
des cas et l’hyperactivité peut aussi, plus
rarement, être liée à des séquelles
d’atteintes neurologiques en bas âge (ie :
la prématurité, une souffrance néonatale
ou une maladie neurologique précoce
d’origine infectieuse comme la
méningite).
❖ Les facteurs environnementaux :
L’environnement peut en moduler l’expression et l’évolution. Par
exemple, laprésence ou l’absence de support et d’aide pour
pallier à ce trouble peuvententraîner de l’anxiété, des atteintes
de l’estime de soi et des problématiques
de comportement (opposition, délinquance).
❖ Des manifestations physiques :

Chez une personne hyperactive, il y a une tension, un


bouillonnement interne qui peut s’observer
physiquement : une agitation de certains membres,
une impossibilité à rester longtemps assis ou debout
au même endroit. Les hyperactifs ont constamment
envie et besoin de bouger, et peuvent avoir des
fourmillements. Ils sont par exemple incapables
d’aller au cinéma, puisque rester assis dans un
fauteuil pendant plus d’une heure n’est pas
envisageable , et l’idée même de rester sans bouger
devant un film, peut les angoisser.
❖ La peur du vide :

Il y a aussi souvent une crainte du vide et de


l’ennui chez ces personnes. Il s’agitde gens qui se
remplissent, détestent le vide, ne supportent pas
« ne rien faire», et ne savent d’ailleurs pas « ne
rien faire ». On retrouve cette caractéristiquede
l’hyperactivité dans l’une des phases du deuil,
comme une manière de
rester en vie. Mais dans ce cas-là, ce n’est que
passager.
❖ Un cerveau en ébullition :

Les personnes atteintes de TDAH ont un mental trop actif. Dans leur
tête, toutva trop vite. Par conséquent, ils ont bien souvent une logorrhée,
facilementidentifiable, un foisonnement incessant d’idées, qui sortent de
leur bouche «en vrac ». Toutes ces idées se bousculent non-stop dans leur
tête, on le voitlorsqu’ils passent d’une idée à l’autre, sans lien apparent.
Dans uneconversation avec un tiers, il n’y a généralement pas une
attention soutenue.La personne va « passer du coq à l’âne »,
l’interlocuteur ne verra pas forcémentfaire de lien direct.
Cette maladie nécessite
l’intervention d’un groupe de
spécialistes parmi eux :
* LE
* LE NEUROPÉDIATRE
PÉDOPSYCHIATRE

* LE
* Psychologue NEUROPSYCHOLOGU
E

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