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Dr Jebali Hela
CHU La Rabta
Qu'est-ce que c'est ?
• Objectifs :
– Autonomisé le patient
– Économiques
Défi
-Optimiser la balance liquidienne
Poche de solution
neuve
Péritoin
e
Cathéter
implant
é
Solution
de dialyse
péritonéal
e
Poche pour solution drainée
Comment s'effectue l'épuration ?
• Dialyse douce.
• Continue (24 Hr / 24 Hr) ou
discontinue (ventre vide certaines
périodes de la journée ou la nuit).
• Chaque échange comporte trois temps :
– Temps d'infusion = Introduction du dialysat
dans l'abdomen (environs 5 min).
– Temps de stase = Epuration vraie (variable).
– Temps de drainage = Elimination des déchets
et de l'ultrafiltrat (environs 20 min) .
Abord péritonéal -I
• TYPES DE CATHETER :
– Cathéter de TENCKHOFF
– Cathéter de TORONTO
– Cathéter de MONCRIEFF
• CARECTERISTIQUES :
– Forme: droit, courbe, col de cygne
– Manchons: unique, double, triple
– dispositifs particuliers: disque …
Différents types
et caractéristiques du cathéter
Abord péritonéal - II
• TECHNIQUE DE POSE :
– Chirurgicale sous AG / AL
– Petite chirurgie sous AL
• TRAJET :
– partie intra-abdominale (dans le douglas),
– sous-cutané et
– extra-abdominale
• EMPLACEMENT :
– localisation / direction / point de sortie /
– parfois enfouissement sous-cutané
Trajet du cathéter
Le tunnel sous cutané
Echanges
• Ultrafiltration
(élimination d’eau)
DIFFUSION
Ultrafiltration
Dialysat
Glucose : (15 g/l, 25 g/l, 40 g /l)
Sodium : 130 - 134 mmol/l
Potassium : 0 - 2 mmol/l
Magnésium : 0.25 - 0.75 mmol/l
Calcium : 1.25 - 1.75 mmol/l
Tampon : parmi ceux cités ci-dessous
Acétate : abandonné
Lactate : 35 - 40 mmol/l
Bicarbonate : 40 mmol/l.
Bicarbonate+Lactate : 25 +15 mmol/l.
pH : 5.5 – 6 ou plus.
Glucose
• Agent osmotique universel
• Performant pour UF rapide ++++
• Efficace malgré 60 - 80 % d'absorption
• Mais effets secondaires sont multiples :
– Charge glucidique importante : jusqu'au 200 g de
glucides et 800 Kcal/jour
– Parfois prise de poids (obésité)
– Intolérance du glucose nécessitant insulinothérapie
– pH acide obligatoire (pour éviter caramélisation du
glucose lors de la stérilisation chaleur)
– Effet cytotoxique des produits de dégradation du
glucose
– Dépôts d'AGE (Advanced glycosylated end products)
Icodextrine
• Polymères du glucose (expérience > 20 ans)
• Solution commercialisée : 7.5 %, iso-osmotique
• Haut poids moléculaire
• Soluté colloïdal => force osmotique
• Produit l’ultrafiltration si stase prolongée, pouvant aller
au delà de 12 Heures
• Bonne indication chez les diabétiques
• Peu d'effets secondaires, mais
– Accumulation de maltose dans le sang (neuro-toxicité…)
– Peu d'avantages sur la défense du péritoine et du mésothélium.
– Parfois réaction cutanée, douleur abdominale ou péritonite
chimique
Solutions avec acides aminés
• Solution commercialisée : 1.1% acides aminés
• Produit non-glucosé.
• Osmolalité : 365 mosmol/Kg H2O
• Circulation sanguine du péritoine de 50% ,
effective de la surface péritonéale, donc
15 % d’épuration d’urée – créatinine.
• 80-90% d'absorption sur 6 Heures de stase,
• Mais,
– Pas d'avantages sur glucose pour UF
– Avantage nutritionnel n'est pas substantiel
– Parfois douleur abdominale
Critère d’un dialysat idéal
Pour prescrire la DP, les para-
mètres à prendre en compte
• La surface corporelle
• La fonction rénale résiduelle
• Type de perméabilité péritonéale
(PET – test) :
– rapides, normaux et lents.
• Pression intra-péritonéale
– juger la tolérance péritonéale.
• Débit du cathéter
– utiliter surtout en cas de cycleur.
Survie de la technique
dépend
• Fuite de dialysat
• Rupture de ligne
• Mauvais drainage
– déplacement du cathéter,
– obstruction par fibrine,
– incarcération de l'épiploon
Complications
(liées à la dialyse péritonéale)
• Dénutrition
• Insuffisance de dialyse,
• Péritonite sclérosante,
• Hémorragie intra-péritonéale
• Complication extra-péritonéale
– hydrothorax,
– hydrocèle,
– oedème sous-cutané
– Reflux gastro-oesophagien,
– Hernie abdominale
Péritonites - I
• Clinique :
– poches troubles (± fibrine),
– douleurs abdominales (parfois diarrhées),
– Fièvres.
– IDENTIFIER LA FAUTE D’ ASEPTIE ++++++
• Cytologie :
– leucocytes > 100,
– polynucléaire > 50 %.
• Coloration de gram :
– germe gm (+) ou (-)
• Bactériologie :
– culture du liquide péritonéal,
– parfois culture au milieu spécifique (levure, BK…)
• Dosage de CA 1-25 dans le dialysat (intérêt suivi)
Péritonites -II
D
H P GREFF
D
Coles G, et al, What is the place of PD in the E
integrated treatment of
renal failure? Kidney Int., Vol 54 (1998) pp. 2234-2240
Information du patient
“Les patients veulent savoir quelle séquence de modalités d’EER
leur apportera la survie la plus longue tout en leur apportant la
qualité de vie
la meilleure .”
HD
TX
DP
Anupkumar Shetty, D.G. Oreopoulos :Dial. and Transplant (2000) 29, 2:71-
CONTRINDICATIONS A LA D.P.
Anupkumar Shetty, D.G. Oreopoulos :Dial. and Transplant (2000) 29, 2:71-
Conclusion
•La prise en charge des insuffisants rénaux nécessite une collaboration
efficace entre le malade, le néphrologue et le personnel paramédical.
•De nombreux progrès ont été réalisé en DP concernant :
la physiologie des transferts péritonéaux
l’amélioration du matériel
la réduction des complications infectieuses
le recours aux outils de surveillance du péritoine
l’optimisation du traitement
• Ces progrès ont permis l’amélioration de la survie en dialyse péritonéale aussi bien
celle de la technique que celle despatients
• La DP devrait trouver sa place à côté de l’HD et de la transplantation.