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Code apprentissage
• Normal = au programme mais peu probable dans un dossier
• Gras = si l’item tombe cet élément devra ressortir dans une question
IRA
hématurie
œdèmes
protéinurie
IRA Insuffisance
rénale
Critères de dialyse : hyperK / Acidose /
Hospitalisation OUI Gravité ? symptomatique
Étiologie grave : Thrombopénie (SHU)
NON
Étiologie : rénale
Tubulo-interstitielle SEDIMENT URINAIRE Glomérulaire
Embols cholesterol
(éosinophilie, geste vasculaire)
Nécrose Tubulaire Aigue
- Précipitation (myoglobine, iatro)
- Toxique (PdC iodé, AINS, ATB) SHU
GNRP
- Ischémique (choc, deshydrat+IEC) (hémolyse, diarrhées, KC, VIH)
- atteinte pulmonaire, ANCA
HTA maligne :
Tubulopathie myélomateuse GNA
(hémolyse)
Contexte infectieux récent, baisse C3
Néphrite interstitielle (peu de protU)
- Infectieuse (virus, légionnelle, Thrombose de l’artère rénale:
Poussée de Glomérulonéphrite
(infarctus = douleurs) - lupus femme, Anti ADN natif
PNA)
- Immunoallergique (ATB++)
Thrombose veine rénale :
(douleurs, hématurie, Sd
néphrotique++)
Hématuries Caractéristiques quantitative ++ et qualitative (cylindres ?)
Microscopiques (>104 GR/ml ou 100/mm3)
Dépistage à la bandelette, confirmation à la cytologie quantitative
Macroscopiques (visibles à l'oeil)
Orientation diagnostique
Bilan rénal avec évaluation PA, protéinurie, clairance MDRD, échographie rénale
Macroscopique ⇒ Microscopique
Caillots ⇒ Cylindres
Symptôme ⇒ Asymptomatique
Causes Causes
Néphrologiques
« urologiques » « mixtes »
Glomérulaires ou
Infections urinaires Lithiases tubulo-interstitielles
Cancer uro PKR
Post-traumatiques GLOMERULOPATHIES NTIA / NTIC
IgA
GNA (infectieuse,
GNRP / extra-capillaire médicamenteuse/toxique,
Cytopathologie urinaire GNMP (cryo / VHC ++) dysimmunitaire,
Syndrome d'Alport hématologique/infiltration)
UroTDM
± Cystoscopie ! Urgence diagnostique si dégradation DFG associée
OMI
Caractéristiques des œdèmes :
Dans le syndrome néphrotique : mous, blancs, prenant le godet, déclive, indolore si pas trop volumineux
Physiopathologie :
Défaut de pression oncotique → passage d'eau intra-vasculaire vers interstitium
Anomalie de la perméabilité capillaire et rétention sodée (activation ENaC au niveau du canal collecteur)
Diagnostic différentiel du syndrome néphrotique si oedèmes :
Causes cardiaques
Causes hépatiques (défaut de synthèse d'albumine) et digestives (malabsorption et diarrhées chroniques)
Insuffisance rénale chronique hors tout syndrome néphrotique
Penser aussi aux causes médicamenteuses (Inhibiteurs calciques)
Protéinurie
Dépistage par BU (à confirmer au moins une fois) et protéinurie quantitative pour diagnostic définitif
Eliminer une protéinurie en rapport avec :
orthostatisme chez l'adolescent (disparaît après 2h allongé)
effort physique (typiquement le marathon)
Fièvre, hématurie macroscopique (hémolyse intra-vésicale), infection urinaire
2 clés de l'analyse :
QUANTITE : débit
Sur protéinurie de 24h (>500mg/j, si albuminurie : seuil de 300mg/j)
Sur échantillon : mg/g (prot / créat) = mg/j 24h
Protéinurie physiologique < 200mg/j, pathologique si > 500mg/j
QUALITE : caractérisation (électrophorèse des protéines urinaires)
Pourcentage d'albumine :
> 60 % = glomérulaire (sélectif si > 80%, dans les podocytopathies +++)
Entre 40 et 60 % : mixte
< 40 % = tubulaire
Toute protéinurie confirmée et durable doit faire rechercher une néphropathie associée :
Donc bilan complémentaire (PA, iono P + créatininémie, recherche hématurie, échographie rénale)
Glomérulaire : PBR sauf diabète
Tubulaire : bilan immunologique (dont EPS pour myélome ++), recherche de reflux
Syndrome néphrotique
Deux critères diagnostiques :
Hypoalbuminémie < 30g/l
Albuminurie > 3g/24h (sur spot : > 3000mg/g) ou > 50mg/kg/j chez l'enfant
Causes : glomérulopathies
Néphropathie diabétique avancée
Podocytopathies : HSF et LGM (enfant +++)
GEM (dont celle du lupus)
Néphropathie à IgA
Amyloses AA et AL
Bilan :
PBR sauf dans 3 cas :
Syndrome néphrotique « nu » de l'enfant de 1 à 10 ans
Diabète connu, atteinte microvasculaire attestée par rétinopathie diabétique, évolution cohérente en terme de dégradation du
DFG, pas d'hématurie
Amylose diagnostiquée sur BGSA ou biopsie de graisse péri-ombilicale
Biologie : complément (C3, C4), virus (VHB, VHC, VIH), ACAN, EPS
Syndrome néphrotique (2/2)
Traitement :
Symptomatique (3 parties : gestion de l'eau, de la protéinurie et des complications)
Pour la surcharge en eau : diurétiques de l’anse, restriction hydro-sodée +++
Pour la protéinurie : blocage SRAA (IEC ou ARA2), objectif protéinurie < 0,5g/j et PA < 130/80mmHg
Pour les complications :
Hypercoag. albuminémie < 20g/l → décoagulation héparine puis relais AVK. Attention complication
« spécfiique » : thrombose veine rénale
Insuffisance rénale aiguë (fonctionnelle +++) mais aussi chronique si contrôle difficile
Dyslipidémie (statine si traitement attendu difficile avec persistance > 6 mois)
Déficit immunitaire (vaccinations contre germes encapsulés)
Retard de croissance chez l'enfant, dénutrition chez l'adulte : prise en charge nutritionnelle
indispensable
Étiologique
Immunosuppresseur (corticoïdes ± cyclophosphamide, CNI) pour les formes primitives
Adapté à la cause, si secondaire
Purpura
Ne disparaît pas à la vitropression (car extravasation de sang)
Distinguer origine :
thrombopénique
Vasculaire
Urgence absolue = purpura fulminans
Présentations en néphrologie : purpura VASCULAIRE :
Purpura rhumatoïde
Triade douleurs abdo + douleurs articulaires + purpura (le plus souvent déclive)
Atteinte rénale = protéinurie, hématurie. Si PBR : néphropathie IgA
Protéinurie à dépister systématiquement y compris plusieurs mois après tableau clinique
Autre atteinte sévère à rechercher : vascularite digestive avec hémorragie digestive basse
Indication de traitement si atteinte néphrologique : corticothérapie longue
A ne pas confondre avec « blue toe syndrome » des emboles de cholestérol (lésion(s) distale(s) bleutées)
Insuffisance rénale chronique
IRC Epidemiologie
Incidence de 150 / millions / an en France ; 2 % des coûts de santé
Diagnostic
IrénC avec clairance < 60ml/min/m² (MDRD) > 3 mois
Caractère chronique (taille des reins, complications P/Ca et Hb de l'IrénC, évolution DFG+++)
Stade
Etiologie
Glomérulaire Tubulo-interstitielle Vasculaire
Diabétique ++ NTIC : infectieuse (tuberculose, lithiase Néphroangiosclérose (typiquement
Néphropathie IgA (Berger notamment) PAM...), urologique (reflux, obstacle), « bénigne »)
Toute glomérulopathie toxique (Li, CNI, PDC iodés, Pb…),
dysimmunitaire (sarcoïdose, Sjögren),
Et bien sûr évolution défavorable de toute forme aiguë (GNA, SHU, NTA...)
Prise en charge
Etiologique si disponible, particulièrement à la phase aiguë / initiale
Traitement immunosuppresseur (corticoïdes, cyclophosphamide, rituximab…)
Traitement de la cause (contrôle du diabète +++, infection virale à VIH, VHB ou VHC, …)
Traitement « protecteur »
Contrôle tensionnel (restrictions hydro-sodée (4 à 6g/j) + protéique (0,8g/kg/j), IEC ou ARA2)
Prise en charge des FDR associés (notamment CV)
Eviction des néphrotoxiques (AINS, produits de contraste iodés)
Education (conduite à tenir en cas de déshydratation (si BSRA ++), suivi régulier, observance...)
Surveillance biologique : tous les DFG/10 mois (ex. : pour 30ml/min de DFG → tous les 3 mois)
Et dès le diagnostic : préservation du capital veineux, information sur médicaments néphro-toxiques, toxicité PDC
Préparation à l'EER au stade IV
Discussion sur le choix de la technique, information du patient
Préparation de la voie d'abord (FAV, cathéter de DP…)
Bilan pré-greffe +++
Vaccinations VHB
Complications de l'IRénC
cardio-vasculaires +++
Aigües avec OAP et hyperkaliémie
chronique avec athérosclérose accélérée, calcifications vasculaires, en particulier en EER
Mortalité cardiovasculaire d'un patient de 20 ans en dialyse = mortalité CV d'une personne de 80 ans
infectieuses
déficit immunitaire de l'IrénC → vaccination VHB dès stade IV, vaccination grippe
porte d'entrée infectieuse sur voie d'abord de dialyse au stade V
métaboliques
Hyperparathyroïdie secondaire : PTH haute, Ca bas, phosphore limite sup.
supplémentation vit D native (25OH) + Ca 1g/j
Chélateurs du phosphore et vitamine D active (1OH) si échec
Objectif PTH normale jusqu'au stade V, puis entre 2 et 9 fois la normale
Acidose métabolique : apports de bicarbonates per os (Vichy p.e.) → objectif HCO3 > 22mmol/l
Hyperkaliémie
anémie
Carence martiale avant tout (défaut d'absorption du fer, dénutrition)
Donc dosage coefficient de saturation de la transferrine : supplémentation fer si < 20 %
Hors carence en fer, EPO si Hb < 100g/l, objectif 100-120g/l
nutritionnelles (dénutrition protéino-énergétique notamment en DP, dégoût spécifique de la viande)
sociales (au stade de l'EER : impact sur l'emploi du temps, isolement social)
Quelques mots d'EER
Hémodialyse Dialyse péritonéale (DP)
Consentement présumé
répartit les greffons Survie médiane 15 ans Traitement immunosuppresseur
Interdiction de pub. A vie !
Gratuité
Donneur Induction puis traitement d'entretien
ABO compatible Triple association :
Anonymat HLA non identique le + svt
Anticalcineurine (tacrolimus ou ciclosporine) monitoring
Antimétabolite (acide mycophénolique)
Corticoïdes
Cadavérique Vivant apparenté
NIgA
Capillaire
eess
Pôle vasculaire ômm
ppt tô Protéinurie Hématurie Dégradation DFG Hypertension
y mm
SS y
eess
r oomm Néphrotique Néphritique GNRP
n ddr
SSyyn
Glomérulonéphrite extra-membraneuse
Dépôt extra-membraneux (côté podocyte) d'Ig
Épaississement de la membrane basale en MO (en massues, en spicules, en chaînettes…), inconstant
IF positive : sur le versant podocytaire de la membrane basale, fixation Ig (G, M) et C3, on trouve parfois aussi C1q
dans le lupus surtout
Tableau clinique :
Protéinurie de débit parfois néphrotique
Insuffisance rénale souvent associée
Rarement hématurie
Pas d'atteinte extra-rénale spécifique, dépend de la cause
Etiologie :
Primitive si patient < 40 ans, secondaire si patient > 50 ans
Secondaire
Néoplasie (paranéoplasique)
Médicamenteuse (AINS notamment)
VHB
Prise en charge :
Symptomatique
Similaire IrénC
IEC / ARA2
Néphropathie IgA
Dépôts mésangiaux d'IgA
Maladie primitive = maladie de Berger
Maladie secondaire :
Purpura rhumatoïde
Hépatopathie, alcoolique en particulier, MICI
Présentation typique :
Hématurie isolée initialement
HyperIgA plasmatique inconstante
Evolution progressive vers protéinurie puis IrénC
PBR : mésangium positif pour les IgA en IF. Gravité si prolifération extra-capillaire associée, ou atteinte
interstitielle.
Traitement :
IEC / ARA2 pour limiter le débit de la protéinurie, surveillance clinico-biologique
Pas de traitement curatif connu (sauf causes secondaires → ttt cause, efficacité incertaine)
GNRP = extra-capillaire
Lésion inflammatoire intense = prolifération extra-capillaire de cellules
inflammatoires
Lésion anapath associée à un tableau clinique, ne préjuge pas de la cause
Présentation :
Insuffisance rénale « rapidement progressive » (sur quelques mois, dégradation franche du
DFG, de l'ordre de grandeur de 10ml/min par mois ou plus)
Protéinurie (de débit non néphrotique) et hématurie +++
Signes extra-rénaux selon la cause (atteintes pulmonaire, cardiaque, cutanée…)
Biologie complémentaire : bilan auto-immun +++ avec ACAN, ANCA, anti-MBG,
NFS, EPS et EPU (glomérulaire), complément (CH50, C3, C4)
Indication de PBR en urgence (i.e. dans les jours suivants le diagnostic), permet une
orientation diagnostique selon l'immunofluorescence
GNRP = extra-capillaire
Linéaire En dépôts extra-capillaires Sans IF (pauci-immune)
En général poussée unique d'une Evolution dépend de la cause En général maladie jamais guérie, évolue
maladie curable par poussée et requiert ttt entretien
Atteintes rénales du lupus
Atteinte glomérulaire, chez 10 à 20 % des lupiques en France, sévérité très variable
Dépistage systématique tous les 3 à 6 mois (par BU) chez les patients lupiques
Classification selon la sévérité de l'atteinte glomérulaire
Fixation C1q, C3 et IgG dans le mésangium en IF, systématique
Associations du stade V possible à tous les autres stades
Traitement
Immunosuppresseurs si lésions actives (prolifération inflammatoire endocapillaire ± extracapillaires (=croissants))
Attaque et entretien
Toujours associé au plaquenil (hydroxychloroquine) (attention : suivi ophtalmo)
Symptomatique de l'IRénA ou IRénC
MO Clinique/bio. Ttt Pronostic
I Dépôts mésangiaux RAS Surveillance Excellent
IgG++ et C3 en IF
II Hypercellularité mésanigale + IF comme ± hématurie Corticoïdes Excellent
stade I ± protéinurie
III Prolifération endo-capillaire focale Hématurie, protéinurie Immunosuppresseur 20 % évolution stade IV
(<50 % de glomérules atteints) + IF Parfois syndrome néphrotique
Rarement IRénC
IV Prolifération endo-capillaire > 50 % Hématurie, protéinurie Immunosuppresseur 30 % EER à 5 ans
glom. Atteints + IF Souvent syndrome néphrotique, IRénC
Dégradation progressive DFG Traitement :
Absence d'hématurie
Contrôle optimale du diabète
Autre atteinte micro-vasculaire objectivée (rétinopathie )
IEC (DT1) ou ARA2 (DT2)
Contrôle des autres FDR CV (HTA, tabac +++)
Surveillance
Avant: dépistage annuel de la
microalbuminurie, surveillance et contrôle PA Modalités possibles
Après : surveillance PA, DFG, (micro)albuminurie
Tous les ADO ne sont pas CI en IrénC
Repaglinide (novonorm)
Gliptines (vildagliptine)
Evolution
Metformine si > 30ml/min
Progressive vers l'IRénC
Sulfamide (Gliclazide) si > 30 ml/min
Donc objectif = ralentir l'évolution
Elément du traitement = ceux de l'IRénC ++
Bien sûr insulines (rapides et lentes) sont utilisables
Synthèse des glomérulopathies
Néphropathie IgA GEM Extra-capillaires LGM/HSF
Présentation Hématurie micro sur BU Protéinurie ± IRénA GNRP (IRén rapidement progressive, Syndrome néphrotique pur pour LGM,
clinico-biologique Episodes répétés d'hématurie macro Rarement hématurie protéinurie autour de 1g/j (glomérulaire impur pour HSF
typique après infection non sélective), hématurie ++, oedèmes
± protéinurie
IRénC tardive
Anapath Dépôts mésangiaux d'IgA Epaississement inconstant de la MBG 3 types : Altération de la MBG
en MO 1 : IF linéaire MBG : Goodpasture LGM : non visible en MO, visible en
IF positive pour Ig et fractions du 2 : Dépôts discontinus (complexes ME
complément (C1q dans lupus) immuns) HSF : comme son nom l'indique
3 : Pauci-immune = pas d'IF
Etiologie Primitive (=Berger) Primitive Selon les 3 types : LGM : primitive ++ chez l'enfant,
Secondaire à cirrhose Secondaire à 1 = Goodpasture primitive ou secondaire (Hodgkin++)
Purpura rhumatoïde Néoplasie si > 50 ans 2 = cryoglobulinémie, EI, lupus et chez l'adulte
Médicamenteuse (AINS) autres maladies de système HSF : primitive ou secondaire (HTA,
Infection (VHB, syphilis) 3 = vascularites à ANCA héroïne, VIH...)
Lupus
Traitement Pas de traitement étiologique pour la Primitive = traitement Traitement de la cause si disponible, Primitive → corticothérapie
forme primitive immunosuppresseur (CS+CP) traitement immuno-suppresseur par Secondaire → traitement de la cause
Traitement de la cause si disponible Secondaire = traitement de la cause bolus de corticoïdes et souvent si disponible
IEC / ARA2 IEC / ARA2 cyclophosphamide, échange
Traitement de l'IRénC Traitement de l'IRénC plasmatique dans le Goodpasture
Evolution Lente 30 % favorable sans traitement Rapide et défavorable sans traitement Pronostic excellent pour la LGM de
30 % évolution vers IRénC Par poussées pour les vascularites à l'enfant, bcp de
ANCA ⇒ traitement d'entretien corticodépendance/résistance chez
l'adulte.
HSF de pronostic plus difficile.
Polykystose rénale
• Fréquent : 1/1000 ; +++ AD
• Clinique
• HTA
• Symptôme rénal : infection / hémorragie / lithiase
• Fortuite : élévation de créat isolée / écho pour autre chose
• Atteinte extra rénale : diverticules / anévrysme cérébral / kystes hépatiques
• Recherche d’anévrysme si
• Symptôme
• < 50 ans + ATCD familial au 1ier degré d’anévrysme
Atteinte rénale de maladies de système ou
infectieuses
Atteinte rénale du myélome
- Glomérulonéphrite membrano-
proliférative :
Baisse C3, cryoglobulinémie
Atteinte rénale de la sarcoïdose
• Glomérulonéphrite extra-membraneuse :
• Protéinurie glomérulaire Sd néphrotique
• +/- hématurie +/- IRA
Secteur extracellulaire
Osmol U
natriurèse BU / créat / Albu / NaU Na U
NaU < 20
> 20 mmol/L NaU > 20 Osmol U< 280 Osmol U > 300
< 20 mmol/L Albu / créat
BU + et BU- et Albu N NaU < 20 Na U > 20
Atteinte N Créat ↑
Réponse adaptée hypoalbu hypoalbu
rénale Potomanie SIADH
Sd Cirrhose Sd buveur de HypoThyr
Perte extrarénale Insuffisance
tubulopathie néphrotique Dénutrit° IRC bière ISRR
cardiaque
TTT TTT TTT
TTT TTT
RH+ Psy Opothérapie
NaCL 0,9% IV RH + Diurétique de l’anse
Dialyse RH+ nutrition RH +/- Vaptan
Hypernatrémie
• Dans la majorité des cas = iatrogène
• Diurétiques de l’anse
TTT
• Perfusion de NaCl 0,9% ou bicar 1,4%
Apport d’eau libre
=
• Défaut d’apport d’eau libre
• Nourrisson - Sujet âgé
SNG avec de l’eau du
• Nutrition artificielle robinet
• SNG / Vomissements
Alternative Perf de
• Défaut d’ADH G2,5%
• Diabète insipide
• Perte d’eau
• Grand brûlé
• Effort physique intense mal hydraté
• Diurèse orsmotique
ATTENTION myélinolyse centro pontine
Vitesse de correction d’une dysnatrémie
1 mmol/L /h
Max 10 mmol/J
Hypokaliémie : risque majeur si < 2,5
Adaptation rénale ? < 20 mmol/J
kaliurèse
Perte extra rénale ou transfert
> 20 mmol/J
inadaptée Excé β2 adré : Diarrhées / tumeur villeuse
perte rénale alcalose Dénutrit°
Insuline Iatro / phéo laxatifs
Tension
HTA
Normale
Maladie génétique tubulaire Rénine haute Rénine basse aldo haute Aldo Basse
Hypomagnésémie STAR
Mucoviscidose Tumeur à rénine Adénome de cohn Réglisse
Infarct rénale Hyperplasie SRR Cushing
HTA maligne génétique
Hyperkaliémie : risque > 6 mmol/L
Étiologie principale par défaut de filtration
Insuffisance rénale
Nécessite des MHD quotidiennes (limiter les fruits / chocolat ++)
TTT :
Si IRA sévère / anurique et hyperK menaçante (> 6,5 ou signe ECG) = Dialyse en urgence
Si acidose : +++ Bicar 1,4% IV
Si non : Insuline + Glucose (1 UI pour 5 g de Glucose), kayexalate PO ou lavement (+++)
Toujours : prévention du Trouble du rythme = Gluconate de calcium
Acidose métabolique (bicarbonates < 20 mmol/L)
Trou anionique
(TA = Na-HCO3-CL ; N<16 )
TA ≤ 16
TA > 16
Acidose à TA normale ou Acidose
Acidose à TA élevée = accumulation d’anions indosables
hyperchlorémique
TTT TTT
TTT TTT TTT
Étiologique Insuline
Alcalinisation* Étiologique Dialyse
+ +
Ethanol $ dialyse (Ph < 7,15)
Apport de bicarbonates glucose
Alcalose métabolique Bicar élevée + PCO 2 basse
Pression artérielle
Basse Haute
Perte digestive
Diurétiques
de H+
Hypovolémie
Génétique
Vomissements / majeure
(bartter /
Aspi dig /
gittelman)
Tumeur villeuse
Hypercalcémie
ECG : Tachychardie, Raccourcissent du QT, Onde T plate, allongement PR, Trouble du rythme
ABSORPTION
RESORPTION
Bilan EPS 25 OH
1,25 OH vit
tumeur solide chaines Autre PTH ↑ PTH rp ↑ Calciurie↓ vitamine D
D↑
Scinti Os légères ↑
hyper hyperPTH sarcoïdose
Méta KC hyperthyroïdie Diurétique
myélomme para paranéoplasique Acromégalie iatrogène
PPRST Hyper Vit A thiazidique
primaire post partum iatrogène
!!!! REHYDRATATION !!!!
Corticoïde Bisphosphonate ARRET du toxique
Bisphosphonate Chirurgie / chimio Corticoïde
Chimio Calcimimétique (cinacalcet) Diurétique de l’anse
calcitonine Calcitonine Calcitonine
Atteintes vasculaires et rein
Athérome
• Examens diagnostic
• Gold standard arterio (que thérapeutique désormais)
• AngioTDM +++ alternative angio IRM (surestime)
• Doppler avec mesure des IR (bonne VPN d’une sténose significative)
* Indication de dilatation
HTA
• Utilisation efficace des thiazidiques jusqu’à 50 ml/min ; marche encore jusqu’à 30 ml/min
• IEC à privilégier dans l’HTA avant 65 ans, mais APRES le dosage de créatinine
• Dilatation CPC :
• Bilatérale = globe => SAD => si pas d’amélioration rapide penser obstacle mixte
(cancer de vessie)
• Bilan de base :
• Urines 24h : créat Ca, Ac urique, Urée, Sodium, volume
• Urines fraîches : Ph, cristalurie, densité, ECBU
• Sang : créat , Ca, Acide Urique, glycémie à jeun
• Toujours diurèse > 2L, apport de citrate (jus d’agrumes), limiter sel et prot
• Lithium :
• Diurèse saline
• Si trouble neurologique avec intoxication au lithium possibilité d’hémodialyse