l’affectation optimale des ressources ; il s’agit principalement des auteurs suivants : Léon Walras (Eléments d’économie pure « 1834-1910 »). Carl Menger (Fondements de l’économie politique « 1840-1921 »). Stanley Jevons (La théorie de l’économie politique « 1835-1882 »). DÉFINITION DU COURANT NÉOCLASSIQUE: L’école néoclassique est un terme générique comme pour désigner plusieurs courants économiques qui étudient la formation des prix, de la production et de la distribution des revenus à travers le mécanisme d’Offre et de Demande sur un marché. L’hypothèse de maximisation de l’utilité qui sous-tend ses calculs économiques la rattache au courant marginaliste né à la fin du XIX ème siècle. Des trois fondateurs du marginalisme à savoir: Léon Walras, Carl Menger et William Stanley Jevons. Léon Walras est celui qui a la plus forte influence sur l’école néoclassique au début du XIX –me siècle. LES NÉOCLASSIQUES VS LES CLASSIQUES Les néoclassiques ne s’opposent pas aux classiques, ils se considèrent comme leurs descendants, ils marquent une réelle rupture dans la pensée économique . Tout d’abord l’époque n’est plus la même : Chez les classiques et les socialiste, le consommateur est pauvre, le producteur est riche!. Chez les néoclassiques, le consommateur s’est enrichi, il peut maintenant choisir , c’est lui prend le pouvoir. Les néoclassiques vont s’intéresser aux consommateurs alors que les classiques s’intéressaient aux producteurs. Les classiques et Marx expliquaient le prix par la quantité de travail, les néoclassiques quant à eux pensent que ce n’est pas le travail qui est à l’origine du prix , ce qui fait le prix ce n’est pas le travail mais la rareté et l’utilité. Mais l’utilité n’est pas toujours la même c’est le marginalisme. l’utilité de la dernière unité consommée, l’utilité marginale décroit avec l’augmentation de la quantité totale consommée! C’est l’une des lois les plus importantes de l’économie néoclassique : L’utilité marginale est décroissante et positive. Les fondements du courant néoclassique: définition du courant, ce courant se fond sur le mot: Homo oeconomicus, le marginalisme ou le raisonnement à la marge et la notion d’équilibre (général (walras), partiel (marshall)). INTRODUCTION: Le marginalisme est un courant de la pensée économique né dans les années 1870 et aujourd’hui dominant ; son principe fondamental est la proportionnalité entre le prix d’un bien et son utilité marginale. L’objectif est de souligner en quoi le marginalisme a pu représenter une révolution visant à renouveler les fondements microéconomiques de l’argumentaire classique en faveur du libéralisme, et conduire dès lors à l’éclosion d’une pensée « néoclassique ». Il s’agit de bien souligner le tournant du point de vue de la théorie de la valeur et des prix, mais aussi de la conception du capitalisme (disparition de la référence aux classes sociales, réduction du capitalisme à une économie marchande constituée d’Homo œconomicus indifférenciés) et de la science économique (science des choix en univers de rareté). L’ÉCOLE NÉOCLASSIQUE : Apparu dans les dernier tiers du 19ème siècle, il constitue le prolongement du courant classique en ce qui concerne les principes du libéralisme et de la propriété privée. Il est en rupture toutefois du courant classique sur certains points: Les auteurs classiques (Smith-Ricardo ect) raisonnent en terme de classes sociales aux intérêts divergents, tandis que la démarche néoclassique relève de l’individualisme méthodologique qui consiste c’est-à-dire l’analyse sur les comportements économiques des individus et leurs choix. La théorie classique de la valeur reposait sur le concept des prix naturels, prix idéaux déterminé en dehors de l’échange; du côté de la production, celle des néoclassiques est au contraire centrée sur la notion de prix de marché résultants de la confrontation entre l’Offre et la Demande. Les néo-classiques renoncent à raisonner sur la valeur travail pour lui substituer la valeur utilité . Pour les néo- classiques, la valeur est fonction de l’utilité de la dernière unité disponible d’un bien appelée UTILITE MARGINALE. Les fondateurs du courant néo-classique: S'agissant de l'école néo-classique, il existe plusieurs courants en son sein, mais chacun de ces courants a contribué à la mise en place de l’école néo-classiques. Les cinq principaux courants sont: L'école autrichienne, qui compte parmi elles les pionniers de la "révolution marginalistes" : Carl MENGER (1840-1921), à l'université de VIENNE, Friedrich VON WIESER (1851-1926) et Eugen von BÖHM BAWERK (1851- 1914). Leurs héritiers furent Ludwig von MISES (1881- 1973), Friedrich von HAYEK (1899-1992) et Joseph SCHUMPETER (1883-1950). Carl Menger est le fondateur de l’école autrichienne d’économie, il est à proprement parler l’initiateur de la théorie subjective de la valeur, selon laquelle la valeur des biens dépend, non pas de caractéristiques objectives et intrinsèques des biens, mais de l’évaluation subjective que les individus consommateurs peuvent faire de l’utilité de ces biens au regard de la quantité dont ils disposent. L'école anglaise et son prolongement Cambridgien qui commence avec Stanley JEVONS (1835-1882), Philip WICKSTEED (1844-1927), Francis Ysidro EDGEWORTH (1845-1926) et Henry SIDGWICK (1838-1900). Elle se poursuit avec Alfred MARSHALL (1842-1924), Arthur Cecil PIGOU (1877-1959) dont l’apport spécifique concerne le développement de la théorie des prix en équilibre dit « partiel », la microéconomie appliquée et l’économie publique. L'école de Lausanne, qui compte principalement Léon WALRAS (1834-1910) et Vilfredo PARETO (1848-1923). C'est l'un des courants les plus importants de l'école néo- classique, puisque c'est à WALRAS que l'on doit, entre autres, et la première formulation de la maximisation de l'utilité sous contrainte débouchant sur une fonction de demande la mise en équation d'un système économique d'équilibre général. Quand à Vilfredo PARETO, on lui doit la notion d'optimum, que l'on qualifie d'ailleurs d‘ optimum de Pareto, c'est-à-dire une situation d'équilibre entre agents économiques. Après avoir identifié les différentes écoles, on peut essayer de dégager le noyau commun à l'analyse néo-classique. De manière générale, c'est une théorie de la valeur qui se fonde sur l'échange économique. C'est une théorie qui décrit la formation de la valeur à travers l'échange. En effet, ce qui caractérise l'école néo-classique, c'est la conviction que les prix et les quantités d'équilibre sont simultanément déterminés par des facteurs liés à l'offre et des facteurs liés à la demande. Sur le plan méthodologique et conceptuel, ces auteurs ont établi les fondements théoriques de ce courant de pensée: Sur le plan méthodologique on peut citer l’homo oeconomicus, le marginalisme et la notion d’équilibre. L’homo oeconomicus: les phénomènes économiques sont régis uniquement par le comportement des individus qui sont supposés rationnels. Cet individu rationnel (homo oeconomicus) a un comportement de maximisation de son utilité individuelle sous contrainte. Comme chez les classiques, il poursuit un comportement égoïste qui va dans le même sens que la communauté toute entière grâce à la main invisible. Ce courant de penser rejette toute intervention de l’Etat, ce dernier n’aura pour objet que de fausser le jeu des lois économiques naturelles. Le marginalisme: Pour déterminer quelles sont les motivations des individus, les néoclassiques utilisent une méthode de raisonnement: le « marginalisme » ou le raisonnement à la marge qui est un raisonnement en terme de différentielle (raisonnement mathématique= Dérivée). Pour un individu rationnel, qu’il soit consommateur ou producteur, ce qui compte, ce n’est pas seulement la satisfaction totale (ou le profit total) mais celle que lui rapporte la dernière unité consommée ou produite par rapport à ce qu’elle lui coûtera. L’individu rationnel raisonne non pas sur les quantités globales, mais sur les quantités « additionnelles »: l’homme rationnel raisonne à la marge. Pour comprendre ce raisonnement à la marge, citons quelques concepts utilisés par les néo-classiques: L’utilité marginale décroissante: En suivant le raisonnement à la marge, le deuxième verre de coca étanche moins la soif que le premier, le troisième encore moins et ainsi de suite: c’est la loi de l’utilité marginale décroissante, les quantités consommées sont déterminées par les utilités marginales. Cette loi apporte la réponse à la question délaissée par les classiques: c’est la rareté relative d’un bien qui détermine sa valeur c’est-à-dire son utilité marginale (l’eau est très utile, elle est abondante, sa valeur est faible, le diamant est inutile, très rare, il vaut très cher). L’Um d’un bien indique l’augmentation d’utilité provoquée par la consommation d’une unité supplémentaire d’un bien. Si l’agent consomme une quantité ∆X supplémentaire, son utilité augmente de ∆U, l’Um de X sera: Umx= ∆U/∆X. Pour de petites variations, l’Um du bien X est égale à la dérivée partielle de la fonction d’utilité par rapport à X, elle indique l’augmentation d’utilité associée à une augmentation infiniment petite de X. l’Um est donc positive et décroissante puisque l’augmentation de l’utilité est de plus en plus faible . La maximisation du profit: Pour maximiser son profit, le chef d’entreprise doit comparer son coût marginal ( le coût de l’unité supplémentaire produite) avec ce que lui rapporte la dernière unité productive c’est-à-dire le prix de vente. La productivité marginale: le chef d’entreprise rationnel recrute tant que la valeur de la production procurée par le dernier salarié est supérieur au salaire qu’il lui verse (coût marginal). Cette valeur de la production du dernier travailleur est appelée la productivité marginale du travail. Les (justes) prix naturels sont les prix de marché: Les seuls prix sont donc ceux qui vont révéler, sur le marché, les utilités marginales perçues par les contractants : la valeur est subjective et le prix de marché en est la seule expression objective (la valeur ne dépendant pas des conditions objectives de la production d’un bien, seul le marché révèle un prix). Le prix « naturel », celui devant s’imposer, est donc le prix « d’équilibre » du marché. Il se dégage « spontanément» pour peu qu’on laisse fonctionner le marché librement. Les revenus sont les prix des services producteurs (la fonction de production):La détermination des revenus suit un principe identique. Ils sont les prix de marchandises qui ont comme seule particularité d’être « facteurs de production » (services producteurs). Il n’y a pas, comme chez les auteurs classiques, référence à l’existence de « classes sociales » : la seule « réalité » est celle des individus qui vendent des facteurs de production. De la même manière, il n’y a pas d’autre réalité économique que l’échange. L’activité de production n’est pas une activité économique ; elle est une pure activité technique qui consiste à combiner des facteurs production échangés sur des marchés pour produire des biens qui à leur tour seront échangés et valorisés sur des marchés ; ce qui se passe dans la « boîte noire »(un système dont les mécanismes ne sont pas visibles et ne permettent pas d’en comprendre le fonctionnement comme les relations humaines au sein d’un groupe) ne relève pas de l’activité économique et aucune grandeur économique n’y est déterminée. En écartant de la sorte toute référence à la production comme activité économique, on écarte toutes les références qui vont avec : les classes sociales, la valeur travail, la détermination conjointe des revenus… La notion d’équilibre: En reprenant l’idée des classiques de la main invisible, les néo-classiques montrent que l’ordre naturel ou Equilibre général est respecté si les conditions de la concurrence pure et parfaite sont réunies à savoir les agents économiques et nombreux et de tailles comparables . Ils sont indépendants les uns des autres et disposent d’une information parfaite sur les différents marchés. Dans ces conditions, l’équilibre peut être partiel, sur chaque marché à part ou général (Walrasien) sur tous les marchés à la fois: Sur le plan conceptuel, les néoclassiques utilisent le concept de la valeur utilité plutôt que le concept de la valeur travail chez les classiques. La valeur utilité correspond à l’appréciation subjective que fait chaque individu quant à l’utilité d’un bien, elle se mesure par l’utilité marginale de la dernière unité et traduit à la fois l’utilité et la rareté. Elle s’applique à tous les biens économique y compris le travail dès lors qu’ils font l’objet d’une offre et d’une demande. Par ailleurs, le raisonnement n’est plus en termes de classes sociales, mais plutôt en facteurs de production (K,L) rémunérés en fonction de leur productivité (production) marginales. L’ÉQUILIBRE GÉNÉRALE DE WALRAS : Cet équilibre met l’accent sur les relations d’influence entre tous les marchés (donc indépendance des marchés). Exple: un progrès technique dans l’extraction du pétrole baisse le prix du pétrole qui réduit le coût de transport des marchandises qui baisse leur coût de production, ce qui entraine une influence sur les salaires des travailleurs. Donc l’équilibre est général parce qu’il y a interdépendance des marchés. L’équilibre se présente ainsi: pour tout niveau de prix de marchandises, chaque producteur a différentes possibilités de production compte tenu de ses moyens technologiques, de même chaque consommateur a une échelle d préférence en matière de consommation, compte tenu de son revenu. Lorsqu’il y a une rencontre entre l’offre du producteurs et la demande du consommateur, il y’a EQUILIBRE. Si la demande excède l’offre, les prix augmentent faisant baisser la demande et vis versa quand l’offre dépasse la demande, les prix baissent faisant augmenter la demande (il est au max) lorsqu’il y’a satisfaction de tout le monde. Il s’établit par la rencontre entre Offres des producteurs et demandes des consommateurs. L’ÉQUILIBRE PARTIEL D’ALFRED MARSHALL: Il propose une théorie de l’équilibre partiel qui ne prend en considération que les éléments importants qui influent sur le prix d’un bien ou marchandise tels le revenu du consommateur et le prix relatif d’un produit concurrent. L’analyse n’est donc que partielle puisqu’elle ne prend pas en compte tous les produits qui de près ou de loin, ont une influence sur le bien ou marchandise en question. Il raisonne en terme de substitution (prix relatifs) Exple: une hausse du prix relatif du blé tendre favorisera sa substitution par une demande supplémentaire de blé dur. Le principe de substitution se trouve donc au cœur du raisonnement de Marshall. Toute variation du prix: Rendra donc non optimal le choix du consommateur qui devra adapter sa consommation au nouveau prix et Rendra non optimal le choix du producteur qui devra adapter sa production à la nouvelle demande du consommateur. Le retour de chaque marché à l’équilibre se fait régulièrement de manière spontanée. L’APPROCHE KEYNÉSIENNE: À PARTIR DE 1930 La théorie keynésienne tout en restant dans le cadre de l’économie de marché, s’oppose à la théorie néo-classique et justifie la nécessité d’une intervention de l’Etat face aux crises économiques. Cette théorie est présentée dans l’ouvrage majeure de Keynes «théorie générale de l’emploi, de l’intérêt et de la Monnaie en 1936 ». L’idée centrale de son œuvre est que le jeu des mécanismes économiques tend vers un équilibre, mais cet équilibre n’est pas comme le soutiennent les classiques et les néo-classiques, un équilibre de plein emploi des facteurs de production (capital-travail), mais un équilibre de sous emploi de ces facteurs. D’après les classiques et les néoclassiques, si l’économie s’éloigne momentanément du plein emploi (en cas de crise), les forces du marché interviennent pour rétablir l’équilibre de plein emploi. S’il y’a chômage (toujours selon les classiques) il ne peut être que VOLONTAIRE (riches, oisifs, fainéants) mais jamais involontaire. Pour Keynes, il refuse cette analyse du chômage à savoir le chômage se résorbe grâce à une baisse des salaires. En effet, une baisse de salaires, ne peut conduire qu’à une réduction du pouvoir d’achat des consommateurs et donc à une diminution de la demande sur laquelle peuvent compter les entrepreneurs. L’élément fondamental de la théorie keynésienne est le principe de la DEMANDE EFFECTIVE c’est-à-dire la demande anticipée par les entreprises afin de leur permettre la mise en œuvre d’un certain niveau d’investissement et donc d’emploi. QUELLE POLITIQUE ÉCONOMIQUE KEYNÉSIENNE ? L’analyse keynésienne a été une réaction aux thèses classiques et néo-classiques .Elle a eu une influence telle qu’on a parlé de révolution keynésienne. Elle a eu une portée internationale sur deux plans: Sur le plan théorique, puisqu’elle a donné lieu à des développement dans les travaux de nombreux auteurs tels que SAMUELSON, HARROD, HANSEN…… exprimant un courant libéral. Sur le plan pratique, la conception interventionniste accorde à l’Etat un rôle de premier plan dans la politique économique en cas de crise. Les classiques estiment à tord que le plein emploi est un état naturel vers lequel l’économie évolue spontanément. La flexibilité (variation) des salaires permettait d’éliminer des déséquilibres rapidement, notamment le CHOMAGE. Selon Keynes, il y’a des situations où les travailleurs ne trouveront pas de travail même sous rémunérés, en raison de la faiblesse de la demande. Il ne suffit donc pas de relancer l’économie par l’offre en baissant les salaires, mais de relancer l’économie par la demande, notamment, la demande publique (travaux d’infrastructure). RÉSUMÉ: Il est apparu à la fin du 19 ème siècle, on peut le considérer comme le prolongement de la pensée classique en ce qui concerne les principes du libéralisme. L’analyse néoclassique se focalise sur l’étude du comportement économique de l’individu. Et selon eux, la production et la consommation se meurent en unité et non pas en masse…. La valeur est en fonction de la dernière unité disponible d’un bien ou ce qu’on appelle l’utilité marginale et c’est ce qui leur vaut l’autre appellation de marginalistes. Il existe deux grands économistes qui ont marqué ce courant par leurs travaux: léon Walras et Alfred Marshall tous deux issus d’école différentes du même courant. Il existe trois grandes écoles de pensée principales: 1)- l’école de Lausanne qui est célèbre pour son formalisme mathématique poussé son fondateur est léon Walras qui est connu pour sa théorie de l’équilibre général en concurrence pure et parfaite. Le marché de Concurrence pure et parfaite a 5 caractéristiques principales: L’atomicité: chaque consommateur et chaque producteur a le poids d’un atome sur le marché une multitude d’offreurs et de demandeurs. L’homogénéité: toutes les entreprises produisent le même produit . La libre entrée: et sortie aucune barrière à l’entrée de ce marché ni à sa sortie. La mobilité des facteurs de production: capital et travail L’information parfaite: facilité et gratuité d’accès à toutes les informations par tout le monde. La théorie de l’équilibre général de Walras dit qu’il y a une relation d’interdépendance entre les trois marché principaux de marché des biens et services , le marché du travail et le marché du capital Walras nous donne un schéma d’autorégulation du marché. Toujours dans l ’école de Lausanne, il y a l’optimum de Pareto où une situation A est préférée à une situation B car un individu ou un ensemble d’individus s’y sentent mieux. L’école autrichienne ou école de viennes vu qu’elle prend en compte le comportement individuel des agents économiques, elle aussi été appelée l’école comportementale. Parmi ses économistes les plus importants on trouve: C.M enger et J. Shumpeter. Le point commun c’est qu’ils donnent tous une grande importance à la subjectivité dans l'économie. La troisième école est l’école de Cambridge fondée par Alfred marshall qui a proposé la théorie de l’équilibre partiel. Dans son étude, on s’intéresse à un marché et on suppose que les autres marchés sont déjà équilibrés. Le deuxième pionner est Pigou qui a été connu pour l’effet d’encaisse réel ou ce qu’on appelle l’effet de Pigou. Pigou nous dit que la quantité de monnaie en économie l’influence pas, l’offre de la quantité des biens. Selon lui, la monnaie est neutre et l’augmentation des encaisses monétaires ne fait qu’accroître la richesse des individus ce qui favorise la demande.
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