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La spasmophilie

et la tétanie
• La spasmophilie, s. f. / spasmophilie,
s. f. / spas-mophilia. [Lat. spasmus,
gr. spasmos = contraction, de la gr.
span = tendre; gr. philia =
attraction , de la philein = aimer.] «
affinité pour les spasmes » (la spasmophilie
acquiert une reconnaisance médicale à la suite des travaux
de Justin-Besançon et Klotz.)

• La tétanie, s. f. / tétanie, s. f. / tetany.


[Gr. tetanos = tendue, rigide, de la
teinein = tensioner.]
Définition

• La spasmophilie est une hyperexcitabilité nerveuse et


musculaire se manifestant par des malaises passagers,
des fourmillements, des spasmes, des viscères, et parfois
par des crises de convulsions.

• La spasmophilie est un syndrome fonctionnel : elle se


manifeste par un déréglement du fonctionnement d'un
ou plusieurs organes sans lésion.

• Dans notre livre, il est considerer que la S est une


complication de la rachitisme due a l’hipocalcemie.
Définition

• La tétanie, affection rare, est un état


d'hyperexcitabilité nerveuse et musculaire
évoluant par crises : on parle d'accès ou de
crises de tétanie.

• La spasmophilie en constitue une forme légère


La Physiologie de la Spasmophilie
La théorie ionique -
l'hyperexcitabilité neuro-
musculaire dépend de la
concentration des ions du liquid qui
lave des cellules et de la
perméabilité de la membrane
cellulaire.

La théorie magnésienne - la
spasmophilie est la forme primaire
du déficit de magnezium.
La Physiologie de la Spasmophilie
La théorie des neuro-médiateur -
l’adrenaline peut être responsable de
l'hyperexcitabilité neuro-musculaire.

La théorie de l’origine nerveux centrale-


une reactivité particulaire des structures reticulaires
mezencefalo-diencefalique peut determiner
l’apparition des signes cliniques et électriques de la
spasmophilie.

La théorie immunitaire - l'hyperexcitabilité


des nerfs periferiques est le résultats des anticorps
de tip Ig G anti-canaux présynaptique de potasium
des nerfs.
Aceste manifestări au un spectru larg:
de la excitabilitate musculară şi până
la hiperemotivitate, de la
hiperreflexie şi până la
hipersimpaticotonie.
În etiologia hiperexcitabilităţii
neuromusculare sunt descrişi doi
factori:

(1) factorul biochimic şi


(2) factorul neurogen.
La nivel psihic
legăturilor psiho-
endocrino-
metabolice
Les signes
psychiques :

L'irritabilité : 
elle rend les rapports difficiles avec l'entourage.
 L'anxiété : 
le spasmophile imagine souvent le pire, doute et redoute, sans pouvoir verbaliser l'élément déclencheur
de sa peur.
 

La baisse de la libido : 
frigidité chez la femme, impuissance chez l'homme, baisse du désir.

La dépression : 
la perte de l'estime de soi, l'érosion de l'intérêt pour la vie, une souffrance morale favorisent le repli sur
soi et ses problèmes. Bien souvent, le spasmophile, prisonnier voire empêtré dans les symptômes qui
accompagnent sa maladie, crée lui-même les conditions de sa « mise en dépression » et l'auto-alimente.
Les signes fonctionnels:

•  La fatigue ou asthénie : 


selon le profil spamophile, elle peut
être matinale et s'atténue par la mise
en activité du corps, ou au contraire
plus tardive voire vespérale. Elle est
souvent liée aux troubles du
sommeil : difficulté
d'endormissement, réveil(s)
nocturne(s), réveil précoce le matin.
 Les variations de poids  : 
amaigrissement et prise de poids sous l'effet
Les signes fonctionnels d'une boulimie peuvent se rencontrer et
même succéder l'un à l'autre.
Les signes fonctionnels

 Le déréglement des


mécanismes
homéostatiques :
 
bouffées de chaleur ou au
contraire, frilosité.

.
Les signes fonctionnels
•  Les troubles cardiaques et circulatoires : 
tachycardie, troubles de la vascularisation des extrémités (sensation de doigts engourdis ou
douloureux).
Les signes fonctionnels

 L'instabilité à la marche : 
il ne s'agit pas à proprement
parler de vertiges, ni de
sensations vertigineuses,
mais plus d'une impression
d'instabilité. Le spasmophile
a peur de chuter ou
appréhende simplement que
l'on remarque sa démarche
vacillante. Cette sensation
est donc exacerbée en public
Les signes fonctionnels
 Les troubles de la vision : 
difficulté d'accomodation et sensations fugitives mais répétées de flou.

 Les troubles ORL  : 


sensation de « boule dans la gorge », enrouement, douleurs para-sinusiennes.

Les tremblements des doigts de la main :


ils sont quasi permanents ou accentués par une décharge émotionnelle. Ils peuvent également se localiser au niveau
des jambes en cas de choc émotionnel.

La respiration : 
elle est rapide et peu profonde, parfois hâchée de baillements.(Un état d'hyperventilation par accélération de la
fréquence respiratoire chez un sujet anxieux  )

La digestion : 
le tableau dominant est la colite ou colopathie spasmodique (syndrome du côlon irritable) : douleurs abdominales à
type de crampes survenant brutalement sur un fond de transit perturbé (constipation, diarrhée ou alternance des
deux). Les autres signes fréquents sont l'hyperacidité, l'aérophagie, les flatulences.

Les troubles gynécologiques : 


troubles des règles, douleurs et démangeaisons diffuses du bas-ventre, complications de la grossesse.

Les troubles dermatologiques : 


démangeaisons, transpiration excessive et psoriasis
Les signes moteurs et musculaires
 Les raideurs et les contractures musculaires :
les crampes sont fréquentes; la répétition des petits
traumatismes musculaires (entorses, tendinites,...)
est assez révélatrice en dehors d'un contexte de sur-
sollicitation des muscles.
A côté de ces épisodes aigus, on constate en toile
de fond, des douleurs articulaires ou musculaires
diffuses : le spasmophile a souvent l'impression
d'être « rouillé ».

 Les fasciculations :
ce sont des contractions involontaires et
irrégulières d'un muscle au repos apparent, se
traduisant par des tressaillements plus ou moins
étendus.

 Les myoclonies ou tressautements de la paupière.

 Le bruxisme ou grincement des dents.

 La pollakiurie : c'est l'augmentation anormale du


nombre de mictions

 L'éjaculation précoce
Les signes sensitifs

 Les paresthésies :
les fourmillements aux extrémités
des doigts et de la bouche en sont
les manifestations les plus
fréquentes. Elles peuvent revêtir
d'autres formes :
sensations de picotements,
d'engourdissement,
de ruissellement de liquide,
de chaud au contraire de froid.
Le signe de Chovstek

• Lorsque le signe est positif, la percussion d'une branche du


nerf facial située à mi-trajet entre l'oreille et la commissure de
la lèvre, déclenche une contraction du muscle supérieur de la
lèvre : la demi-lèvre, la lèvre, puis la bouche se contractent
pour former ce qu'il est convenu d'appeler un "museau de
tanche".

Cette réaction ne s'observe que chez 3/4 des spasmophiles.


Armand Trousseau
Armand Trousseau a fost un medic
francez ce a trăit între anii 1801 şi 1867.
Trousseau a fost educat în Paris, a finisat
studiile în 1825 şi în scurt timp devine o
persoană notabilă în domeniul medicinii
pariziene şi ca medic, şi ca un superb
profesor.
Trousseau a fost prima persoană în Franţa
care a efectuat traheotomia şi în 1843 a
introdus toracocenteza ca procedură
medicală.
În afară de semnul Trousseau acest
medic a descris şi sindromul Trousseau ce
constă în tromboflebita cauzată de un cancer
visceral.
Le signe de Trousseau
•  Ce signe apparaît comme une reproduction artificielle de la
crise de tétanie.
Cette manoeuvre consiste à poser un garrot veineux au niveau
du bras. Si le signe est positif, une crise de tétanie va se
produire au terme de quelques minutes ou à la levée du
brassard : les doigts se contractent, se collent les uns aux
autres en formant "une patte de poulet".
La manoeuvre de Trousseau s'interprète
de la façon suivante :
 signe positif : forte suspicion de   spasmophilie, 
 signe négatif : indétermination 
L'electromyogramme
•  L'électromyogramme peut révéler une activité
électrique musculaire particulière : le train
d'ondes présente des pics groupés (multiplets),
témoins de l'hyperexitabilité. Cet examen est
peu pratiqué du fait de sa lourdeur et de son
coût.
Les investigations biologiques
•  Le calcium 
Aussi, le métabolisme du calcium dans
l'organisme dépend :
– de la parathormone (PTH)
– de la vitamine D
– de la calcitonine
• Le magnésium 
• Le phosphore 
On peut distinguer 3 stades :
spasmophilie latente, avérée, paroxystique
•  La spasmophilie latente : 
quelques signes isolés sont évocateurs (fourmillements, crampes, ...) mais
ils ne durent pas,
 La spasmophilie avérée : 
les signes sont multiples, durables et répétitifs. Plusieurs organes se «
manifestent » et le « harcèlement somatique » est à l'origine d'épisodes
anxio-dépressifs qui eux-mêmes entretiennent la plainte physique,
 La spasmophilie paroxystique : 
elle s'exprime par la crise de tétanie qui signe un déficit en calcium. On la
distinguera aisément de la crise d'épilepsie par la localisation préférentielle
des contractures aux mains et aux pieds, et par l'absence de perte des urines
ou de morsure de la langue. L'attaque de panique et le malaise vagal
peuvent se rencontrer, mais ils ne sont pas spécifiques de la spasmophilie.
La crénothérapie 
• Les oligo-éléments, substances indispensables à l’organisme, sont un peu moins connus que les vitamines. Leur
carence pourtant peut être à l’origine de nombreux troubles : stress, fatigue, problèmes de peau, arthrose, etc. Les oligo-
éléments jouent en effet un rôle important dans le métabolisme et l’assimilation des aliments, ainsi que dans le processus de
renouvellement des tissus. Ils contribuent au renforcement du système immunitaire, à la diminution des réactions allergiques et au
maintien du bon équilibre de l’organisme.
• Une science s’est consacrée aux cures d’oligos destinées à redonner la forme ou à retrouver la santé : l’oligothérapie. C’est un
mode de traitement qui utilise les métaux et les minéraux pour guérir certaines affections. Chaque oligo-élément possède des
bienfaits et des indications spécifiques. Les besoins, les doses à administrer diffèrent selon l’âge, le sexe ainsi que l’état
physiologique de chaque individu. Voici un petit guide des principaux oligo-éléments.
•  Aluminium : Son action se fait sur le système nerveux. Ses indications principales sont l’anxiété, le stress, l’insomnie, et le
travail intellectuel.
 Argent : Il prévient des infections, et se prend associé à l’or ou au cuivre. Il est particulièrement recommandé en cas de
l’asthénie ou de convalescence.
 Bismuth : Il n’est à administrer que sous avis médical du fait de sa toxicité à certaines doses. Il est indiqué pour les pharyngites
et les angines.
 Calcium : Il renforce la solidité des dents et des os et aide à leur formation. Il contribue également à la fonction musculaire et la
coagulation. Il est essentiel pour la prévention de l’ostéoporose pendant la ménopause.
 Cobalt : Antispasmodique, il est indiqué pour les migraines. Associé au manganèse, il améliore la circulation et les problèmes
d’hypertension. Associé au nickel et au zinc, il traite le diabète et est conseillé pour les cures d’amaigrissement. Il stimule en effet
le foie et le pancréas.
 Chrome : Son action se situe sur le métabolisme des graisses. Il est recommandé pour faire baisser le taux de cholestérol.
 Cuivre : Ses propriétés anti-inflammatoires le rendent bien utile dans le traitement des rhumatismes. Il est aussi indiqué pour les
anémies car il améliore l’absorption du fer.
 Fer : Indispensable en cas d’anémie, il entre dans la composition de l’hémoglobine.
 Fluor : Il fixe le calcium au niveau de l’émail et des os.
 Iode : Il contribue au fonctionnement de la glande thyroïdienne.
 Lithium : Agissant sur le système nerveux, il est indiqué pour la régulation de l’humeur et du sommeil.
 Magnésium : Son action se situe sur le système circulatoire et nerveux. Ses principales indications sont la spasmophilie, les
allergies et les troubles de sommeil.
 Manganèse : Associé au soufre, il traite les états allergiques.
 Molybdène : Il est indispensable à la production d’ADN
 Nickel : Il est indiqué pour les troubles hépato pancréatiques
 Or : Cicatrisant, il stimule également le système cardio-vasculaire
 Phosphore : Il améliore les états nerveux, spasmophiles, et le surmenage intellectuel.
 Potassium : Il entre dans la régulation du rythme cardiaque et le contrôle de l’eau dans le corps.
 Sélénium : Préconisé contre le vieillissement, cet anti-oxydant s’utilise associé à de la vitamine E. - Silice : Il contribue à une
bonne qualité des os, de la peau, des articulations et protège la prostate.
 Sodium : Ses propriétés sont la régulation de l’eau dans l’organisme. Il favorise par ailleurs les fonctions musculaires et
nerveuses.
 Soufre : Il régule les terrains allergiques. Pris en association avec du manganèse, il lutte contre les rhinopharyngites et les otites.
 Zinc : Il est indiqué pour l’immunité, la croissance et la réparation cutanée.
• On considère que la spasmophilie est associée
dans près d'un tiers des cas à une névrose
d'angoisse, à un syndrome de conversion ou à
un trouble panique. Aussi, la prescription d'un
anxiolytique ou d'un antidépresseur ne serait
efficace que dans 15% des cas. Tous ces
médicaments sont prescrits par le médecin et
ne sont pas dénués d’effets secondaires.
 Les bêtabloquants : 
• principalement prescrits pour traiter les
troubles cardiaques, les bêtabloquants ont un
intérêt pour diminuer les symptômes de
l’anxiété (palpitations, tremblements, sueur
excessive).
 Les antidépresseurs : 
•  leur prescription n’est pas limitée à la
dépression mais peut se justifier pour
différents troubles anxieux (trouble panique,
trouble anxieux généralisé, TOC,...) et la
spasmophilie.
 Les anxiolytiques : 

• les anxiolytiques qui agissent sur l’anxiété et


l’angoisse. La principale famille de ces médicaments
est constituée par les benzodiazépines (BZP). Les
effets secondaires sont non négligeables (somnolence
dans la journée, effet amnésiant, insomnie de rebond
à l’arrêt du traitement, accoutumance,...) et justifient
une precription de courte durée.
Les méthodes de relaxation
•  La Méthode de Schultz ou « training autogène »
Conçue par l'allemand Schultz en 1932, à partir de l'observation de séances d'hypnose, cette méthode
consiste à amener le sujet dans un état hypnoïde.
Dans la mesure où l'individu maîtrise lui-même les stades progressifs de sa décontraction, la méthode
favorise son autonomie, d'où son nom. Pendant les séances, le sujet est assis ou couché sur le dos, les
yeux fermés. Le relâchement musculaire est atteint par la répétition de formules autosuggestives qui
installent une sensation locale de pesanteur et de chaleur. (ex : mon bras est très lourd... mon bras est tout
chaud). De proche en proche (bras droit puis gauche, jambe droite puis gauche, reste du corps), tous les
groupes musculaires sont irradiés. L'exercice s'achève par une focalisation sur le cour, la respiration , le
plexus solaire et les organes abdominaux, puis le front qui, contrairement aux autres parties du corps, doit
dégager une sensation de fraîcheur donc de calme. Cet exercice qui peut être pratiqué quotidiennement a
de multiples effets physiologiques bénéfiques : relâchement musculaire, dilatation des vaisseaux sanguins,
diminution des rythmes cardiaque et respiratoire, amélioration de la concentration.   
 La Méthode de relaxation progressive de Jacobson 


Introduite par Jacobson au début du siècle, la relaxation progressive vise à
éliminer les excès de tension neuromusculaire.
Dans un premier temps, le sujet apprend à provoquer une tension musculaire,
puis ayant cessé son effort, il se concentre sur les sensations liées au
relâchement. Par déplacements successifs de ces relaxations locales, le sujet
parvient à une détente générale. Dans un deuxième temps, le relâchement est
obtenu directement, sans passer par la phase initiale de contraction. Enfin, le
sujet apprend en dehors de l'exercice lui-même et dans son activité
quotidienne, à repérer et endiguer les contractions pour limiter le
retentissement corporel des situations stressantes.   
L'hygiène de vie Quelques règles de
base :
•  réduire les attitudes addictives : 
- l’excès d’alcool et de tabac
affaiblissent l’organisme
- le café et le thé sont des excitants
L'hygiène de vie Quelques règles de
base :

•  parvenirà ne pas se focaliser sur


les manifestations cliniques de
la spasmophilie : 
même si l’on n'est pas
hypocondriaque, il faut « tenir à
distance » les signes
de la maladie, les traiter sans «
s’observer le nombril ».
L'hygiène de vie Quelques règles de
base :

•  pratiquer une activité sportive 


(un exercice modéré mais
régulier est plus favorable qu’une
pratique intempestive) :
l’exercice physique permet de
substituer la perception de son
corps à son écoute anticipatoire
et d’autre part, libère des
endorphines, substances à l’effet
analgésique et régulateur des
réactions de l’organisme face au
stress.
L'hygiène de vie Quelques règles de
base :
•  adopter des heures
régulières de coucher et lever 
Evolution de la maladie
• Elle dépend d'une prise en charge globale
du patient, physique et psychologique.
• Les crises peuvent se répéter en cas de
tétanie.
• En cas de spasmophilie, les crises ont
souvent tendance à disparaître au cours
des années.
Le diagnostic différentiel
La spasmophilie est confrontée à deux écueils
diagnostiques :
• « ne pas la reconnaître » :  
le risque est au moins quadruple :
• laisser perdurer des troubles fonctionnels qui sur le long terme peuvent
entraîner des lésions organiques
• prescrire une batterie d’examens parfois pénibles et coûteux mais
toujours anxiogènes
• mettre en place des traitements inadaptés, parfois lourds et non dénués
d’effets secondaires là où des mesures simples peuvent être efficaces
(hygiène de vie, techniques de relaxation,...)
• face à une maladie parfois qualifiée d’ «imaginaire» parce que
difficilement saisissable et qui isole le malade dans sa souffrance, ne pas
affirmer son diagnostic en la nommant distinctement, c’est peut-être rater
la première étape de la guérison.
« la voir là où elle n’est pas » :  

le risque est principalement lié
à l’auto-diagnostic :
• ignorer un trouble ou une maladie autonomes : par exemple, associer au syndrome
spasmophile des troubles vasculaires des extrémités alors qu’ils relèvent d’un syndrome de
Raynaud ou associer des fourmillements au syndrome spasmophile alors qu’il s’agit d’un
syndrome du canal carpien ou d’une maladie neurologique dégénérative.
• attribuer des symptômes physiques à la spasmophilie, et en particulier ceux de
l’anxiodépression, alors qu’ils sont secondaires à une maladie organique. Beaucoup de
pathologies somatiques entraînent en effet des syndromes anxieux.
- Affections générales : cancer, sida
- Troubles endocriniens :
  syndrome de Cushing, maladie d’Addison,   diabète, hyper et hypothyroïdie,
- Troubles métaboliques : hypoglycémie
- Affections neurologiques :
  maladie de Parkinson, sclérose en   plaques,   démences débutantes,   hydrocéphalie,...

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