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gastroduodénale
DR ABDOU HALADOU
PLAN
Généralités
I. Signes
II. Diagnostic
III.Traitement
Conclusion
Généralités :
1. Définition :
Anomalie du mucus
Diminution de la sécrétion de
bicarbonate duodénale
Réduction de la synthèse des
prostaglandines
Généralités :
3. Physiopathologie :
Le rôle de l’Hélicobacter pylori HP :
HP augmente la sensibilité de la cellule pariétale à
la gastrine
Diminue la sécrétion de somatostatine par les
cellules D antrales (la somatostatine inhibe
normalement la sécrétion de gastrine par les
cellules G).
Ces deux phénomènes augmentent la sécrétion acide
basale et post-prandiale.
Généralités :
3.Physiopathologie :
Le
rôle de l’Hp :
L'hyperacidité provoque l'apparition de zones de
métaplasie gastrique au niveau du duodénum.
Ces cellules sont alors colonisées par l'H. pylori, et la
réaction inflammatoire conduit à l'apparition d'un
ulcère duodénal.
En cas d'ulcère gastrique, les lésions cellulaires
gastriques liées à l'infection prédominent, et
s'associent à une hypochlorhydrie ou une
normochlorhydrie
Généralités :
4. Facteurs de risque supplémentaires :
génétique : Avant
la découverte de l’HP un
facteur familial était évoqué.
Tabagisme: La consommation de tabac
(> 15 cigarettes par jour) multiplie par 2
le risque d'ulcère, rend plus résistant les
ulcères au traitement anti-sécrétoire, et
favorise les récidives après guérison.
Généralités :
4. Facteurs de risque supplémentaires :
Anti-inflammatoires non stéroïdiens et aspirine:
Leur prise multiplie par 5 le risque d'ulcère gastrique et par
3 celui d'hémorragie ulcéreuse.
Les AINS inhibent la cyclo-oxygénase, enzyme qui
conduit à la synthèse des prostaglandines à partir de
l'acide arachidonique .
L'aspirine a en plus une action locale en altérant la
barrière muco-épithéliale (ulcères gastriques ++), et de
plus son action anti-agrégante plaquettaire favorise les
saignements
Généralités :
4. Facteurs de risque
supplémentaires :
Facteurs psychologiques:
La pathologie ulcéreuse entrait
classiquement dans le cadre des
maladies psychosomatiques (influence
des facteurs psychologiques sur
l'évolution de la maladie), stress .
I. Signes :
A. Type de description : maladie
ulcéreuse gastroduodénale symptomatique non
compliqué chez un adulte de 55 ans.
1. Circonstance de découverte :
Douleur épigastrique,
Découverte lors d’une endoscopie
réalisée pour un autre motif.
I. Signes :
2.Étude clinique :
Signes fonctionnels:
La douleur ulcéreuse typique:
Siège : Elle est épigastrique,
Type : de crampe, de torsion ou de faim douloureuse,
postprandiale est séparée de la fin du repas par un
intervalle libre de 1 à 5 h.
Cette douleur est calmée par l’alimentation ou la prise
d’anti acide.
Rythmicité: évolution périodique
Irradiation : dorsale
I. Signes :
2. Étude clinique :
Signes fonctionnels:
La douleur atypique par :
→ son type : brûlure, manifestations
dyspeptiques, hyperalgique simulant
un abdomen chirurgicale aigue.
→ Ses irradiations possibles pouvant
orienter vers une pathologie biliaire,
pancréatique, ou coronarienne
I. Signes :
2. Étude clinique :
Signes fonctionnels:
La douleur atypique par :
→ Les ulcères sont asymptomatiques
dans 20% des cas préférentiellement
chez le sujet âgé, diabétiques, ayant
pris des AINS.
→ Dans 20% des cas l’ulcère peut être
révélé par une complication
I. Signes :
2. Étude clinique :
Signes fonctionnels:
Nausées
Vomissements peuvent être observés en
cas de localisation pylorique
I. Signes :
2. Étude clinique :
Signes généraux:
Suintement IB
IIA 17- 44% 12 - 37% 3-14%
Vaisseau visible
IIB
Caillot adhérant
Tache noire IIC
4-5% 3-13% 1%
Absence de III
stigmate
hémorragique
I. Signes :
3. Formes cliniques :
Formes compliquées :
→ . Perforations:
Le risque de perforation est de l’ordre de 0,5% par
an et la prévalence globale est de 5 à 10%.
Elle s’associe à une hémorragie digestive dans 7%
des cas.
La perforation peut révéler la maladie ulcéreuse dans
20 à 25% des cas.
Elle se manifeste par un tableau de péritonite
généralisée avec pneumopéritoine
I. Signes :
3. Formes cliniques :
Formes compliquées :
→ Sténoses:
L’incidence annuelle de sténoses est de 2,5% et la
prévalence peut être estimée entre 5 et 10%.
Cette complication survient habituellement après
plusieurs poussées symptomatiques ou non de
la maladie. Il s’agit presque toujours d’une
sténose pyloro-bulbaire.
Le diagnostic se fait par une endoscopie ou par un
TOGD.
I. Signes :
3. Formes cliniques :
Formes compliquées :
→ Dégénérescence:
Le risque de dégénérescence ne concerne que
l’UG (2% des cas).
Ce risque conduit à contrôler
systématiquement tout UG avec la
réalisation de multiples biopsies.
I. Signes :
3. Formes cliniques :